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    Les Caractères chinois et leur prévalence en Chine

     

    Les caractères chinois ont été adoptés par des peuples dont les langues diffèrent significativement de la langue chinoise.

      

    Les caractères chinois étaient ou sont toujours utilises en Corée, au Japon et Vietnam.

    Jusqu'à l’établissement de l’alphabet coréen avec seulement 24 lettres en 1446, les caractères chinois étaient utilisés en Corée du Sud (coréen : « hanjia »).

     

     

     

      

    Les lettres simples sont combinées pour former des syllabes.

    Les caractères chinois sont encore utilisés dans les publications scientifiques, des noms coréens, des noms de societe et de restaurant.

      

    Des élèves coréens apprennent toujours environ 170 caractères chinois a l’école mais en pratique ils les utilisent rarement et donc les oublient souvent.

     

      

    Environ 70% des entrées dans un dictionnaire coréen sont d’origine chinoise et la prononciation de beaucoup de mots coréens est similaire au mot correspondant chinois.

     

     

     

     

    Le Japonais utilise deux alphabets :

      

    Hiragana, un alphabet phonétique de 46 lettres pour écrire des mots japonais ;

      

    Katagana,  un alphabet phonétique de 46 lettres pour écrire des mots adoptés des langues occidentales et noms occidentaux.

      

    En plus, près de 1500 caractères chinois, en partie simplifiés, sont aujourd’hui utilisés.

      

    sources Wikipedia

    photos google

     

     

     

     


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    L'EMPEREUR SHIHUANGDI

     

    L'Empereur Shihuangdi des Qin (259 - 210 av. J.-C.), appelé Ying Zheng, fils du prince Zhuangxiang des Qin, est l'empereur fondateur d'une Chine unifiée.

     

    Il est monté sur le trône royal à l'à¢ge de 13 ans et s'est donné le titre d'empereur à l'à¢ge de 39 ans.

     

    A la fin de l'époque des Royaumes combattants, le royaume des Qin était le plus puissant. De 230 à 221 av. J.-C., il a anéanti successivement les six royaumes de Han, Wei, Chu, Yan, Zhao et Qi avant de fonder la dynastie des Qin, le premier Etat unifié, multiethnique, despotique et centralisé dans l'histoire de la Chine.
     

     

    Qin Shi Huangdi (秦始皇帝 pinyin : Qín Shǐ Huángdì ;

     

    anciennement Tsin Chi Hoang) (v. -25910 septembre -210) fut d'abord le roi de Qin de -247 à -221.

     

    Il mit fin à la période féodale en conquérant un à un l'ensemble des Royaumes combattants entre -230 et -221 et devint l'unificateur de l'empire de Chine,

     

    et par conséquent l'empereur fondateur

    de la dynastie Qin (-221 à -207).

     

    Il standardisa l'écriture, la langue, la monnaie, les poids et les mesures et il est vu comme le père de la Grande Muraille de Chine. Pourtant, si son œuvre posa les bases de la période impériale chinoise, c'est pour le caractère cruel et autoritaire de son règne, inspiré par la philosophie légiste,

    que l'on se souvient surtout de lui. Sa dynastie lui survécut moins de trois ans, à la suite de quoi le pays replongea dans une guerre civile que seul le fondateur de la Dynastie Han parvint finalement à éteindre.

     

    On le connaît principalement par les Annales Historiques

    de Sima Qian (Ier siècle av. J.‑C.).

     

      

    La redécouverte en 1974 de son monumental mausolée à Xi'an et de ses milliers de soldats en terre cuite fascine aujourd'hui encore les archéologues autant que le public du monde moderne.

      

    Ying Zheng a inventé un titre d'honneur suprême et s'est donné le titre de Shihuangdi (Premier Empereur) dans l'intention que ses descendants règnent de génération en génération sans interruption. Il a remplacé, à l'échelle nationale, le système d'inféodation par le système de préfecture et de district, mis en place un système complet d'appareil bureaucratique placé sous le contrôle direct de l'empereur, et promulgué des lois basées sur les anciens règlements du royaume des Qin et assimilant certaines réglementations des six autres royaumes.
     

    Dans le domaine économique, l'Empereur Shihuangdi des Qin préférait l'agriculture au commerce et encourageait le développement de la propriété privée des terres. En 216 av. J.-C., il a donné l'ordre de reconnaître et de protéger les terres détenues par les propriétaires fonciers et les cultivateurs à condition que ceux-ci paient convenablement les impôts. 
     

    L'Empereur Shihuangdi des Qin a unifié les mesures, les monnaies et les voies de transport.


    Dans le domaine culturel et idéologique, l'Empereur Shihuangdi des Qin a généralisé les caractères de style sigillaire. En 213 av. J.-C., il a ordonné de brà»ler le "Livre des Odes", le "Livre de l'Histoire" et les différents ouvrages philosophiques et interdit les écoles privées.

     

    Plus tard, il fit enterrer vivants à Xianyang, capitale des Qin, 400 lettrés et alchimistes.


     

    L'Empereur Shihuangdi des Qin a fait relier les tronÇons de la Grande Muraille construits respectivement par les Qin, les Zhao et les Yan à l'époque des Royaumes combattants, ce qui a donné naissance à la Grande Muraille de dix mille lis.
     

    Après l'unification du pays, l'Empereur Shihuangdi des Qin a fait construire un palais luxueux et un tombeau magnifique. Il a fait cinq grandes tournées d'inspection et visité beaucoup de sites pittoresques. Afin d'obtenir des pilules d'immortalité, il a envoyé quelques milliers de garÇons et filles, dirigés par l'alchimiste Xu Fu, rechercher les Immortels du côté de la mer orientale.

      

      

    En 210 av. J.-C., l'Empereur Shihuangdi des Qin est mort d'une maladie. Peu après l'intronisation de son fils Huhai, éclata l'insurrection paysanne dirigée par Chen Sheng et Wu Guang, ce qui provoqua la disparition de la dynastie des Qin.

     

      

     

     

     

    Voyage - Xi'An, la cité des guerriers en terre cuite -

     

     

    Capitale impériale à l'Antiquité, Xi'An a renoué avec son prestigieux passé grâce la découverte de sa fameuse armée de soldats en terre cuite en 1974.

     

     

     

    C'est le premier empereur de la dynastie des Qin qui est à l'origine de cette gigantesque armée, estimée à 8 000 soldats. Effrayé par la mort, Qin Shi Huang a décidé de se faire construire une armée, censée le protéger dans l'au-delà. Chaque statue a été façonnée à l'image d'un des réels soldats composant son armée de son vivant.

     

     

     

    Enfouies près de son tombeau, les statues sont donc restées cachées de tous pendant 2 000 ans. Aujourd'hui, il est possible d'en découvrir une partie dans un vaste musée érigé dans les environs de Xi'An à l'endroit de leur découverte. Ces immenses rangées de soldats en disent long sur l'avancée de la civilisation chinoise à l'Antiquité. Une destination à ne pas manquer lors d'un séjour en Chine.

     

     

     

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    Située dans la province du Shaanxi, au centre de la Chine, Xi'An tient sa renommée de son armée en terre cuite, découverte en 1974.

     

    Issues de la dynastie des Qin, ces milliers de statues de guerriers sont aujourd'hui à découvrir dans un vaste musée installé à l'endroit même des fouilles.

     

     

     

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    Située dans la province du Shaanxi, au centre de la Chine, Xi'An tient sa renommée de son armée en terre cuite, découverte en 1974.

     

    Issues de la dynastie des Qin, ces milliers de statues de guerriers sont aujourd'hui à découvrir dans un vaste musée installé à l'endroit même des fouilles.

     

     

     

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    Aussitôt après la découverte fortuite du paysan chinois, des fouilles archéologiques ont été entreprises pour montrer au monde ce patrimoine vieux de 2 000 ans.

     

    Pour saluer cette découverte majeure, l'Unesco a d'ailleurs classé le tombeau de l'empereur Qin et son armée au patrimoine mondial de l'humanité en 1987.

     

     

     

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    Commanditée par l'empereur Qin Shi Huangdi, cette armée symbolique devait le protéger dans l'au-delà. Cavaliers, archers, arbalétriers ou simples fantassins... plus les 8 000 statues de soldats ont été enfouies dans le tombeau de l'empereur Qin Shi Huangdi

     

     

     

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    Chaque statue de pierre est unique. Elle est la réplique d'un soldat ayant servi l'empereur Qin. Celui-ci a en effet souhaité que son armée éternelle soit à l'image de celle qu'il possédait de son vivant.

     

     

     

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    Le musée, consacré aux célèbres guerriers de Xi'An, a été installé à l'endroit de leur découverte. Les visiteurs peuvent admirer des milliers de statues alignées en rang militaire dans plusieurs fosses.

     

     

     

     

     

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    La première fosse regroupe plus de 1 000 soldats, une seconde près d'un millier et une troisième près de 100. Mais les archéologues estiment que la majorité des statues n'a pas encore été découverte.

     

     

     

     

     

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    Ancienne capitale impériale et point de départ de route de la Soie, Xi'An recèle aussi d'autres trésors.

     

     

     

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    La Tour de la Cloche se trouve dans le centre historique de Xi'An, juste derrière les remparts de la ville. Elle servait à indiquer l'heure à la population.

     

     

     

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    Erigée face à la Tour de la Cloche, la Tour du Tambour marque l'entrée du quartier musulman, appelé Hui.

     

    Les musulmans de Xi'An étaient des marchands sédentaires, venus s'installer dans la ville située à l'extrémité Est de la route de la Soie.

     

     

     

     

     

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    Compte tenu de la population musulmane de Xi'An, rien d'étonnant à ce que la ville possède une mosquée.

     

    Considérée comme la plus ancienne mosquée de Chine, la Grande Mosquée aurait été construite dès 742, comme en atteste une stèle. Mais la plupart des bâtiments visibles aujourd'hui dateraient du XIV au XVIIe siècle.

     

     

     

     

     

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    Une fois à Xi'An, il n'est pas rare d'aller faire une escapade aux grottes de Longmen. L'endroit fait partie des trois plus grands sites chinois de sculptures anciennes consacrées aux figures bouddhistes.

     

    D'impressionnantes statues y sont à découvrir.

     

     

    sources wikipedia

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  • La dynastie Ming (明朝[1], en pinyin : míng cháo), est une lignée d'empereurs qui a régné sur la Chine de 1368, date à laquelle elle remplace la dynastie Yuan, à 1644 quand elle se voit supplantée par les Qing. Par métonymie, le terme désigne aussi la durée du règne de celle-ci. Fondée par la famille des Zhu, elle compte seize empereurs.

    Au milieu du XIVe siècle, après pratiquement un siècle (89 ans) de domination mongole sous les Yuan, la population chinoise se révolte contre le « tyrannique règne des étrangers ». Une suite de révoltes paysannes repousse la dynastie Yuan dans les steppes de Mongolie et établit la dynastie Ming en 1368. Elle s'ouvre par une renaissance culturelle : les arts, particulièrement l'industrie de la porcelaine, se développent comme jamais auparavant.

      

    Avec la protection de la dynastie pendant plus de deux siècles de règne, la culture du peuple Han est restaurée et s'épanouit, ce qui évite l'oubli des traditions et la décadence culturelle qui fut le destin d'autres grandes cultures du monde, comme la civilisation hellénistique ou la civilisation égyptienne, disparues après des invasions. Les marchands chinois explorent et commercent dans tout l'océan Indien, atteignant l'Afrique lors des voyages de Zheng He ; on construit une grande flotte comprenant des navires à quatre mâts de tonnage supérieur à 1 500 tonnes.

      

    L'armée régulière compte un million d'hommes ; plus de 100 000 tonnes de fer sont produites par an, en Chine du Nord, et de nombreux livres sont imprimés à l'aide des caractères mobiles inventés au XIe siècle. Il a été dit [Qui ?] que la Chine du début de l'ère Ming était le pays le plus avancé de la Terre.

     

     

    FONDATION de la DYNASTIE MING :

     

    À partir du milieu du XIVe siècle, de nombreuses catastrophes naturelles suivies de rébellions paysannes, la guerre civile contre la domination mongole, et la conversion des gouvernants à un mode de vie chinois avaient affaibli la dynastie Yuan et finalement bouté les Mongols hors de Chine, vers ce qui est de nos jours la Mongolie. Le chef de file de cette rébellion était incarné par Zhu Yuanzhang.

     

    Orphelin dès son adolescence, Zhu Yuanzhang (朱元璋), futur empereur Hongwu (洪武), entra dans un monastèrebouddhiste pour éviter la famine, après quoi il fut forcé de rejoindre en 1352 l'armée de Guo Zixiang et devenait l'un des chefs des Turbans rouges, un grand mouvement de rébellion dont certains meneurs étaient membres de la Lotus blanc.

     

     

     

    Plus tard, alors qu'il était devenu un chef rebelle déterminé, il fit la connaissance d'un lettré confucéen qui lui enseigna les affaires d'État. Il se redéfinit alors comme un défenseur du confucianisme et des conventions néo-confucéennes, et non plus comme un simple chef rebelle populaire. Malgré ses humbles origines, il devint la figure de proue du mouvement patriotique du peuple Han contre la dynastie vieillissante des Yuan.

     

     

     

    Une fois ses rivaux battus, il se proclama empereur le 23 janvier 1368, établissant sa capitale à Nanjing qu'il avait nommée Yingtianfu (應天府), et adoptant Hongwu comme nom de règne. La tradition populaire prétend qu'il aurait choisi le nom de sa dynastie Ming, « lumière », pour continuer de bénéficier du soutien populaire accordé par les masses au « Roi de lumière » attendu en sauveur par les mouvements religieux d'inspiration manichéenne soutenant la rébellion. Il devint ainsi à plus de 1 000 ans d'intervalle le deuxième fondateur dynastique extrait de la classe paysanne, le premier étant l'empereur Gao Zu de la dynastie Han, plus d'un millénaire auparavant.

     

    Étant donné que les envahisseurs mongols, même repoussés, restaient un danger très présent, Hongwu n'adopta pas la position classique confucéenne qui considérait les militaires comme une classe inférieure aux bureaucrates qui devaient les contrôler. Maintenir une armée forte était tout simplement indispensable tant que les Mongols restaient une menace. Le nom « Hongwu » signifie d'ailleurs « vaste armée » et reflète bien le prestige agrandi des militaires.

     

    Par contre, il partageait pleinement l'aversion confucéenne pour le commerce et encouragea l'établissement de communautés agricoles indépendantes. La gestion féodalisée des terres qui avait repris cours sous les dynasties Song et les Yuan fut supprimée dès l'établissement de la nouvelle dynastie. Les grands domaines fonciers furent confisqués par le gouvernement, morcelés et loués ; l'esclavage privé fut interdit. Par conséquent, après la mort de l'empereur Yongle

     

    (Yung-lo), les petits paysans propriétaires et indépendants formaient la part majeure de la population agricole.

     

     

      

    Création de l'Administration :

    Hongwu réussit à renforcer son contrôle sur tous les aspects du gouvernement pour que personne ne puisse posséder assez de pouvoir pour le détrôner. Pour parer aux menaces extérieures, il tenta d'améliorer les défenses des frontières nord du pays. À l'intérieur, il concentra de plus en plus le pouvoir entre ses propres mains. Il abolit le Secrétariat Impérial, qui était l'administration principale sous les dynasties précédentes, après avoir étouffé un complot dont il accusait son premier ministre. Très longtemps auparavant, lorsque le statut d'empereur était devenu héréditaire, le poste de premier ministre avait été instauré dans le but de garantir un niveau de continuité et de compétence dans le gouvernement au cas où des empereurs incompétents se succèderaient.

      

    Mais Hongwu, recherchant une autorité absolue, abolit ce poste et supprima ainsi l'unique protection contre l'incompétence d'un empereur. Son petit-fils Jianwen lui succéda, mais le trône fut vite usurpé par son oncle Zhu Di, fils de Hongwu, qui régna alors sous le nom d'empereur Yongle (Yung-lo) de 1402 à 1424.

     

    Sous le règne de Hongwu, les bureaucrates mongols et issus d'ethnies non-Han, qui avaient dominé le gouvernement durant près d'un siècle, sont remplacés par des Chinois. On restaure et renouvelle le système traditionnel des examens impériaux, qui sélectionnait les fonctionnaires d'après leur mérite et leurs connaissances en littérature et en philosophie. Les candidats pour des postes de fonctionnaire civil ou d'officier militaire devaient passer le concours traditionnel de connaissance des classiques chinois, avec des épreuves de tir à l'arc et d'équitation pour les officiers militaires. L'élite confucéenne, marginalisée sous le règne des Mongols, reprit son rôle prédominant au sein de l'État. Ils sont alors la classe la plus élevée de la société.

     

     

    Les MAGISTRATS

    Les officiers de l'armée étaient supposés occuper à un rang supérieur à leurs homologues civils. Dans les faits, quoique quasiment tous les officiers disposaient de titres de noblesse, la situation était plutôt opposée. Dans la Chine des Ming, la fonction va de pair avec la propriété foncière, mais l'élite militaire et civile élevée par les Ming a aussi une grande importance politique. Une fonction dans l'administration représentait pour un chinois du XVe siècle une dignité, une fortune et un statut élevé dans la hiérarchie sociale.

     

    C'est là une véritable démocratisation des privilèges sociaux, une véritable méritocratie puisque les magistrats de l'Empire du Milieu étaient censés être choisis pour leur compétences morales et leur vertu. Les examens étaient ouverts à tous les chinois mâles, les études étaient peu coûteuses et le gouvernement attribuait des bourses.

     

    Le concours d'entrée de l'administration impériale était un examen écrit qui avait lieu tous les trois ans, et tous les cinq ans pour les magistrats militaires ; il se composait d'essais, de poèmes, de questions tirées de quatre livres (Lunyu, Mencius, etc.) de questions sur les classiques confucéens, de mémoires sur les commentaires néo-confucianistes ainsi que de dissertations sur des problèmes administratifs. D'autres concours pouvaient ensuite être passés pour gravir les échelons de l'administration.

     

    Il était nécessaire de passer trois concours de pré-sélection dont le troisième conférait le titre d'étudiant officiel de l'empire, le premier degrés de l'élite. Le lauréat avait alors le droit de passer les concours provinciaux, qui offraient 60 à 70 places pour plus de 8 000 étudiants. Les lauréats pouvaient postuler aux plus hautes charges de la magistrature.

     

    Ceux qui échouaient pouvaient néanmoins prétendre à une place plus modeste dans l'administration. Ceux des étudiants qui avaient passé les examens provinciaux avec succès pouvaient accéder au concours de la capitale puis à celui du palais pour devenir docteur[3]. Il était néanmoins possible aux plus riches d'acheter la charge de Chang Yuan pour entrer dans la fonction publique.

    Les diplômés étaient admirés et devenaient des modèles pour le peuple ; afin de se démarquer ils portaient un bouton sur leur chapeau, argent, or ou perle et rubis suivant le concours et pouvaient porter du jaune, couleur traditionnellement réservée à l'empereur. De plus, ils avaient préséance et ne pouvaient être insultés sans que le coupable n'écope de soixante-dix coups de bâton.

     

    Ils ne pouvaient pas être cités comme témoins dans un procès et étaient libres de comparaître ou non en personne au tribunal. Ils étaient exempt de punitions et de corvées publiques ainsi que de toutes les taxes personnelles, sans compter les dons en nature dont ils jouissaient. Cette élite privilégiée représentaient environ 3 % de la population.

    Les officiers militaires étaient plus nombreux (environ 100 000 à la fin de la dynastie). Ceux qui étaient choisis par l'empereur pour assurer une fonction publique passaient un an en observation puis entraient dans une hiérarchie à neuf grades, dont chacun comportait deux degrés, progressant en moyenne d'un grade tous les trois ans. Cette classe sociale était sous la surveillance des eunuques, qui procédaient à des inspections surprises.

    Tous les trois ans les autorités décidaient de remplacer certains magistrats ; les magistrats avares, trop vieux, malades, fainéants, cruels ou incapables étaient mal notés et souvent punis. Les autres pouvaient recevoir des charges honorifiques.

     

      

    Les Eunuques :

    Ils étaient les agents de l'empereur, agents de renseignement et d'exécution des ordres impériaux. Depuis les Han, ils sont la puissance rivale des magistrats. On comptait 70 000 eunuques au palais et 100 000 autres répandus dans tout l'empire. Volontaires, ils provenaient de familles modestes : paysans, soldats ou vagabonds. Ils étaient organisés en quatre office et huit bureaux ; ils transmettaient les ordres, conseillaient l'empereur et ses ministres et représentaient le Dragon dans l'empire.

     Ils étaient également responsables de la police politique, pouvaient enquêter sur tout le monde, faire inculper quiconque et mettre l'empereur au courant de n'importe quelle affaire. Ils surveillaient la garde impériale, les prisons, les militaires lors des campagnes, les magistrats et le peuple, contrôlaient le trésor de l'état et les manufactures. Ils bénéficiaient donc d'une main-d'œuvre gratuite personnelle en plus des domaines impériaux qu'ils possédaient. De plus ils avaient la possibilité d'éditer des édits : leur puissance politique était très importante et facteur d'une grande mobilité sociale.

     La menace mongole

    Même après leur victoire sur les Genghiskhanides les empereurs Ming n'ont jamais cessé de prendre au sérieux la menace mongole. Hong Wu après sa victoire sur les Yuan va continuer de les repousser au nord jusqu'à Karakorum. Yongle a lancé plusieurs campagnes contre eux, et déplacé la capitale de Nankin à Pékin en 1421 pour mieux les contenir. Après la défaite chinoise de Tumu contre les Oïrats en 1449, l'empire se replie sur lui-même mais profite des divisions entre les Mongols. À la fin du XVe siècle, les Mongols lancent des raids annuels sur la frontière. Pékin, protégée par les forteresses de Xuanfu et de Datong, est constamment menacée. Avec la réunification des Mongols orientaux par Dayan Khan, vers 1500, la menace se fait plus précise.

    La cour des Ming est partagée entre deux stratégies : les partisans d'une politique offensive veulent organiser des expéditions militaires pour récupérer notamment la boucle des Ordos ; d'autres souhaitent le renforcement de la Grande Muraille et le doublement du rempart, ce qui est fait dans les années 1570.

      

    Les derniers préconisent également l'envoi d'ambassades et l'ouverture de marchés frontaliers périodiques pour commercer avec les Mongols. Le débat reprend après la reprise des raids des Mongols orientaux menés par Altan Khan, notamment en 1529, 1530 et 1542. En 1550 il pille et incendie les faubourgs de Pékin. En 1553, on décide de renforcer les murailles entourant Pékin, mais les raids d'Altan durent jusqu'aux accords de paix et de commerce de 1570[.

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    TOMBEAU des MING

      

    Fin de la dynastie Ming

    À compter du début du XVIIe siècle, les Ming doivent affronter la rébellion des Mandchous : en 1618, Nurhachi émit une liste de Sept Griefs contre le régime impérial, unifiant les tribus Jurchens sous sa bannière. Unis aux Mongols, les Mandchous conquièrent lentement le pays, gagnant le ralliement d'une partie de l'administration Ming. L'Empire doit parallèlement combattre les armées de paysans révoltés, conduites notamment par Li Zicheng et Zhang Xianzhong. En 1636, Huang Taiji adopte pour l'État mandchou le nom de Grand Qing, abandonnant le titre de Khan pour celui d'Empereur.

    Le 25 avril 1644, les troupes de Li Zicheng rentrent dans Pékin, tandis que l'Empereur Ming Chongzhen se suicide. Li Zicheng, s'étant proclamé Empereur, est bientôt lui-même battu par les Qing, qui prennent Pékin et revendiquent officiellement la succession de la dynastie Ming. Des funérailles sont organisées pour Ming Chongzhen, afin d'officialiser la transmission du Mandat du ciel. Les Ming continuent cependant de tenir des territoires au sud du pays, établissant ce qui est désigné du nom de Dynastie des Ming du sud (南明). Les loyalistes Ming résistent plusieurs années, grâce notamment à des chefs militaires de valeur comme Koxinga, qui tient l'île de Taïwan. En 1662, Zhu Youlang (empereur sous le nom de règne de Yongli), petit-fils de Ming Wanli et dernier prétendant Ming, est capturé et exécuté par les Qing, mettant un terme définitif à la dynastie. Les successeurs de Koxinga tiennent Taïwan jusqu'en 1683.

      

    SOURCES : WIKIPEDIA -

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    Le lac Poyang : triangle des Bermudes de l’Orient

     

    Le 20 octobre dernier, plusieurs grands médias de Chine ont déclaré que les eaux du lac Poyang, le plus grand lac d’eau douce en Chine, étaient dangereuses. Le lac Poyang est connu comme le «Triangle des Bermudes de l’Orient».

    Pendant 30 ans, à compter du début des années 1960 jusqu'à la fin des années 1980, plus de 200 bateaux ont coulé dans ses eaux, entraînant la disparition de 1.600 personnes et causant des problèmes de santé mentale à 30 survivants.

    Ce «Triangle des Bermudes» est situé dans la partie nord du lac Poyang, dans le comté de Duchang, province de Jiangxi. Sur la rive nord du lac, il y a un temple appelé «Temple Laoye». Les résidents appellent donc les eaux près du temple les «eaux du Temple Laoye».

    Parmi les bateaux disparus dans cette région, il y en a un très imposant, pesant près de 2000 tonnes. Il a été confirmé que, le 3 août 1985, 13 bateaux ont subi des accidents dans les eaux du Temple Laoye. Ce qui est mystérieux, c’est que ces bateaux n’ont pas pu être récupérés, peu importe ce qu'on a tenté de faire.

     

    Les tempêtes peuvent survenir à tout moment

     

    Selon plusieurs rapports des médias, de nombreux pêcheurs locaux prient et brûlent de l'encens ou organisent des cérémonies avant de voyager sur ces eaux.

    Hang Xiaojin, âgé de 51 ans, a pêché dans les eaux du Temple Laoye pendant 20 ans. «Les tempêtes peuvent frapper à n’importe quel moment», a déclaré Zhang. Lui et d'autres pêcheurs savent observer attentivement tous les petits changements sur le lac, peu importe la distance qu'ils parcourent.

    «Je me souviens d’une journée d’hiver en 2001, nous étions sur le lac et tout allait bien; puis, le temps a subitement changé. Les vagues sont devenues si intenses que tous les bateaux ont essayé de regagner le rivage», a déclaré aux médias Wang Fangren, un pêcheur ayant 50 ans d’expérience en navigation. «L’une des extrémités d’un cargo transportant du sable a subitement coulé, l’ensemble du bateau a été submergé.»

      

      

      

    Selon Wang, il y a généralement des signes avant une violente tempête. Toutefois, les tempêtes sur les eaux du Temple Laoye frappent en un clin d’oeil. «La tempête a duré moins de 20 minutes et tout est rentré dans l’ordre, comme si rien n’était arrivé.»

    Le 16 avril 1945, un bateau japonais a coulé dans les eaux du Temple Laoye. Aucune des 20 personnes à bord n'a survécu. Par la suite, les Japonais ont envoyé une équipe de sauvetage sousmarin. Un seul membre de l'équipe est revenu à la surface, tandis que les autres ont disparu. Après avoir enlevé sa combinaison de plongée, le survivant était terrifié, et il a perdu la raison peu de temps après.

    Plus tard, la mission de sauvetage a été menée sur plusieurs mois, mais rien n’a été trouvé, et plusieurs plongeurs américains ont disparu.

    Selon Han Lixian, un résident du comté de Duchang, en 1977, la population du comté a construit trois barrages dont l’un était près des eaux du Temple Laoye. Une nuit, le barrage qui était de 610 mètres de longueur, par 50 mètres de large, et s’élevait 5 mètres au-dessus de l’eau, a coulé sans faire de bruit.

     

    Le «mauvais vent»

     

    Il y a quelque temps, un journaliste du Jiangxi Daily est allé avec plusieurs scientifiques dans les eaux près du Temple Laoye. Quand il est arrivé au Temple Laoye, il a senti le vent souffler du sud vers le nord. Par contre, quand il regardait l’eau, l’embrun montrait qu'il y avait un vent soufflant du nord au sud. Il semble que le vent soufflait dans deux directions opposées.

    Entre-temps, lorsque le vent soufflait, l’embrun du lac ne se déplaçait pas en ligne droite, mais dans une forme de «V». Le vent étrange et l’embrun rendaient l'orientation difficile aux pêcheurs.

     

    Des bateaux renversés sans vague ni vent

     

    Toutefois, les gens croient que les vents étranges ne sont pas ce qui rend ces eaux dangereuses. Jin, l'abbé du Temple Laoye, a déclaré que le 5 mars de cette année - qui était une journée calme et ensoleillée - un bateau de 1000 tonnes a été renversé dans les eaux. Personne ne sait pourquoi. Aux yeux de la population locale, une légende peut expliquer ce qui s'est passé. Alors que Zhu Yuanzhang - le père fondateur de la dynastie des Yuan, était en guerre contre son rival Youliang Chen, près du lac Poyang, Zhu allait perdre la bataille et s'est donc retiré au bord du lac. Il n'y avait pas un bateau sur le lac, mais une tortue géante est apparue et a aidé Zhu à traverser le lac.

    Après être devenu empereur, Zhu a fait de la tortue un général et a construit le Temple Laoye près du lac en mémoire de la tortue. Les gens du pays croient que l'esprit de la tortue provoque des troubles aux pêcheurs.

    Un expert local a déclaré aux médias qu'ils ont découvert ce qui rend les eaux dangereuses. «Une image infrarouge montre qu'il y a un banc de sable énorme sous les eaux du Temple Laoye. Il est d'environ 2 kilomètres de long et va d'est en ouest. Le banc de sable bloque le débit d'eau et crée un tourbillon sous le lac. Il est fort possible que le tourbillon coule les bateaux», lit-on dans le rapport.

    Cependant, cette théorie ne peut toujours pas expliquer pourquoi les restes de bateaux coulés n'ont jamais été retrouvés.

    Source  


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    La fôret de bambou de Hei Zhu Gou.

    La fôret de bambou de Hei Zhu Gou est située dans une gorge profonde dans le sud-ouest de la province du Sichuan. Il s'agit d'une région primitive et mystèrieuse et qui cache bien des mystères non résolus. Les populations locales la nomme "la terrible vallée de la mort». Elle est aussi connu sous le nom de "Bermudes de la Chine".

    Il y a beaucoup de légendes à propos de ce lieu mystérieux. On a trouvé la trace des traces supposée appartenir à des hommes primitifs, dans les années cinquante et on y a également découvert dans les années quatre-vingts, le squelette d’un immense oiseau qui avait des ailes d'un mètre de long, et deux crânes.

    Au début des années 50, 30 soldats de l'armée du Kuomintang sont entrés dans la foret de bambou de Hei Zhu Gou mais aucun n’en est ressortit. En Juin 1955, deux soldats de l’armée y ont également disparus.

    En 1964, l'équipe d'enquête des ressources forestières décide de mener une expédition pour perçer les secrets de ce lieu. L’expédition avait deux chasseurs expérimentés comme guide. En arrivant à l'entrée de la gorge, les deux chasseurs ont lachés deux chiens de chasse...aucun n’est revenu. Les deux chasseurs, inquiets, ont appelé leurs chiens de chasse. Soudain, un immense brouillard a jaillit hors de la vallée. Bien que les membres de l'équipe étaient très proches les uns des autres, ils ne se distinguient plus. La panique s’est emparé du groupe qui a décidé une fois que le brouillard ai subitement disparu de faire demi-tour.

    En 1976, trois autres membres de l'Unité d'exploration des forêts de la province du Sichuan décident de se lançer à la découverte de ce lieu. Trois mois plus tard, une équipe de secours trouvera leurs trois squelettes, sans que les causes de la mort ne puissent être expliquées.

    A ma connaissance, aucune expédition n’y a été organisée depuis cette date...avis aux amateurs.

      

      

      


  • éléments de costume impérial en damas jaune

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    Robe dragon, Chine XIXe siècle, photo courtesy Coutau-Begarie

    taffetas de soie bleu, broderie en couchure or de dragons poursuivant une perle de feu dans des nuées au dessus de pics et flots, manches en sabot brodées, fermeture en y à 5 boutons grelots en métal doré ajouré, (des fils détachés, quelques faiblesses).-

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    Robe dragon, Chine fin XIXe siècle,  photo courtesy Coutau-Begarie

    en gaze de soie façonnée bleue et filé riant doré. Décor de 9 dragons poursuivant des perles de feu parmi des nuées, svatiskas, fleurs, chauve-souris au dessus de pics et flots, fermeture en y à boutons grelots, (petites usures).-

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    Deux éléments de costume impérial en damas jaune, Chine XVIIIe - XIXe siècles, photo courtesy Coutau-Begarie

    médaillon aux deux dragons affrontés poursuivant une perle de feu, sur une pièce non taillée. Panneau d'une robe démontée à décor de nuages filants, 48 x 77 cm et 96 x 360 (taches).-

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    Robe dragon, Chine, fin XIXe - début XXe siècle, photo courtesy Coutau-Begarie

    satin violet brodé en couchure or et soie polychrome de dragons poursuivant des perles de feu au dessus de pics et flots, manches en sabot, fermeture en y par 5 boutons grelot, (bon état).-

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    Manteau, Chine fin XIXe - début XXe siècle, photo courtesy Coutau-Begarie

    en satin rouge brodé soie polychrome au point lancé et en couchure or de 8 dragons au dessus de pics et flots. Fermé devant par 5 boutons, grelots en métal doré.-

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    Manteau de femme Han, Chine fin XIXe - début XXe siècle, photo courtesy Coutau-Begarie

    satin bleu brodé soie polychrome au point passé nuancé et en couchure or de nombreux personnages, animaux et papillons parmi des pagodes, balustrades et terrasses fleuries ; ouatiné et doublé, (légères usures, modifié).-

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    Manteau de femme Han, Chine fin XIXe siècle, photo courtesy Coutau-Begarie

    satin de soie corail brodé soie polychrome au passé plat et point de Pékin de huit médaillons de potiches fleuries dans des nuées au dessus de pics et flots, fermeture en y à huit boutons grelot, (usures et trous).-

      

      

    SOURCES : http://elogedelart.canalblog.com/tag/Damas

      

      

     


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    Les fouilles sur le site archéologique de Sanyangzhuang offrent aux archéologues une vue de la Chine antique rurale pendant la dynastie des Han; comparable à Rome en terme de taille et de richesse.

    Tuiles à Sanyangzhuang, mises de côté pour réparer une maison de Han

      
      
    Le village de Sanyangzhuang dans la province du Henan était lieu rural agricole jusqu'à il y a environ 2.000 ans, quand il a été soudainement inondé par le fleuve Jaune.
    Avec jusqu'à 70 centimètres de limon le protégeant contre les ravages du temps, le site offre aujourd'hui une vue exceptionnellement bien préservé de la vie quotidienne de la classe inférieure dans l'Ouest de la Chine sous la dynastie des Han.

    La dynastie des Han (206 avant JC-220 après JC), a régné environ 600 ans après que Qin Shi Huang unifia la Chine et ordonna la construction de son armée de terre cuite.
    La durée de leur règne est souvent considéré comme l '«âge d'or» de l'histoire chinoise.

    Au cours de ces 400 ans, l'agriculture et le commerce ont fleuri, et il y avait d'importants progrès dans la science et la technologie, dont l'invention du papier.

    Le professeur d'anthropologie Tristram Randolph Kidder, de l'Université de Washington, fait parti de l'équipe de fouille à Sanyangzhuang.
    "C'est une incroyable découverte", annonce t-il à propos de ce site découvert en 2003, "nous sommes littéralement assis sur une mine d'or de l'archéologie qui est inexploité."

    Selon Kidder, le site pourrait être beaucoup plus grand qu'on ne le soupçonne. Le flot des sédiments du fleuve Jaune qui a enseveli la ville couvre une superficie de plus de 1.800 kilomètres carrés...

    «Nous avons là, des changements environnementaux à travers le temps, associé à la crue du fleuve Jaune et de ses interactions avec l'environnement. Nous avons l'opportunité d'examiner tout un paysage datant des Han et de périodes antérieures », explique Kidder.

    Les fouilles de la Pompéi chinoise, ont jusqu'à présent révélé des toits de tuiles, des fondations de briques, des toilettes et des routes. Ont également été découverts des traces de chars ont été et des empreintes de pieds.

    Curieusement, car la ville est dans ce qui était une section isolée de l'empire des Han, les résidents de Sanyangzhuang semblent avoir été assez à l'aise.
    Une abondance d'outils en métaux, y compris des socs de charrue, ont été trouvés, ainsi que des meules et des pièces; et même fossilisées: des impressions de feuilles de mûrier (Photo). Les chercheurs y voient un signe de la culture de la soie.

    Impression de feuille de mûrier, découvert sur le site Sanyangzhuang. Les chercheurs y voient un signe de la culture de la soie dans l'ancienne ville.
     

    "On pourrait faire valoir que c'est là que la route de la soie a commencé», suppose Kidder.

    Les fouilles ont aussi révélé deux autres communautés enterrées sous Sanyangzhuang, et on espère que les vestiges d'un mur mis au jour à proximité du site pourrait révéler une ville fortifiée, encore enfouie dans la vase...

     
      

    1. Néolithique Reliques Xiaohuangshan, province du Zhejiang

     

     

    Les reliques ont été trouvées dans Xiaohuangshan Village Shangdushan de Shengzhou ville dans la province chinoise orientale du Zhejiang.

     

    Le site néolithique, qui remonte à environ 9000 années, couvre une superficie de plus de 50.000 mètres carrés. Sa découverte peut très bien provoquer histoire archéologique du pays à être réécrit car ils sont beaucoup plus âgés que ceux trouvés sur le site Hemudu dans la province, qui était auparavant pensé avoir été le foyer de la première culture néolithique au sud de la Chine autour d'il ya 7.000 ans.

     

    A la place des chercheurs ont trouvé plusieurs fossés profonds, qu'ils croient étaient magasins, et quelques signes de barbecue.

     

    2. Néolithique Reliques Gaomiao, province du Hunan

     

     

    Trouvé au village de Yanli Hongjiang Ville, centre de la Chine la province du Hunan, le site Gaomiao, en grande partie un monticule coquille, est l'un des endroits les mieux préservés de l'époque néolithique.

     

    Le site, d'une superficie de quelque 30.000 mètres carrés, a produit plus tôt dans le pays poterie blanche. En outre, une grande quantité de faïence décorée avec des photos d'animaux, d'oiseaux et le soleil a été fouillé ici. Les motifs d'oiseaux sont des réminiscences de l'image du phénix adoré dans la Chine ancienne.

     

    Les résultats suggèrent que le culte de Phoenix peut être datée 7400 années en Chine centrale. Le culte de créatures imaginaires comme le dragon origine dans les temps anciens quand les gens priaient pour le soleil, la pluie et de bonnes récoltes, a déclaré He Gang, un chercheur à l'Institut d'Archéologie du Hunan.

     

    Le plus intrigant est celui de trouver des squelettes d'une femme 7400 ans de. Il Gang a déclaré le squelette bien conservé, ce qui est de 153 centimètres de longueur, suggère la femme était d'environ 160 centimètres de hauteur avant sa mort.

     

    3. Prehistoric Reliques Zhongshui Fournir Preuve de Culture du riz

     

    Grains de riz ont été trouvés dans un certain nombre de fosses sacrificielles au Zhongshui de Weining County, Province du sud-ouest de la Chine Guizhou. Le site préhistorique couvre une superficie totale de près de 3000 mètres carrés. 

    La découverte montre que le riz était systématiquement cultivé plus de 3.000 ans, a révélé une source du bureau du Guizhou du patrimoine culturel.

     

    4. Néolithique Reliques Liuzhuang, province du Henan

     

     

    Un total de 336 tombes datant de plus de 3.000 ans ont été exhumés dans la province centrale du Henan.

     

    Disposées en forme de U, les tombeaux ont été découverts au village près de Hebi Liuzhuang Ville. Objets funéraires ont été découverts dans des tombes 208, y compris des tomahawks, des colliers de perles turquoise, récipients de cuisson ancienne et bassins.

     

    Les plus notables est une tombe contenant un cercueil fait de 13 morceaux de pierre. Le sarcophage est de 2,25 m de long et 0.45-0.5 m de large. En outre, les archéologues ont trouvé que dans les pierres des tombeaux près de 20 avait été mis aux côtés de la tête ou les pieds de la personne ensevelie. À en juger par les objets funéraires dans chaque tombeau et leur forme et leur structure, les archéologues pensent qu'ils appartiennent aux ancêtres du peuple de la dynastie des Shang suivantes (c.1600-c.1100 BC).

     

    5. Sites Kiln de la dynastie des Shang sur la Montagne Mao'ernong, province du Fujian

     

     

    Six fours de la dynastie Shang (c.1600-c.1100 BC) ont été découverts en Septembre 2005 sur la crête de la montagne dans le Mao'ernong Pucheng Ville, Province du Sud-Est de la Chine Fujian. Plus frappant encore, un long, en forme de dragon four est estimée à détenir jusqu'à 100 morceaux de poterie à la fois. Il a été considéré comme le plus ancien et le mieux conservé «four dragon» en Chine.

     

    Un grand nombre d'artefacts de poterie noire et couverte ont été découverts. Les travaux d'excavation se poursuit sur le site.

     

    6. Ouest Dynastie des Zhou Cimetière à Hengshui, province du Shanxi

     

     

    Il ya des comptes de Huang Wei (Pall) dans le classique du confucianisme, Ji Li (Le Livre des Rites) écrit autour de 2000 ans. Un tissu recouvrant un cercueil », Huang désigne la partie de tissu sur le cercueil, et Wei signifie ce s'affaisse sur ses côtés", le livre explique.

     

    Une série de 10 en bronze carillon de cloches, de grande valeur dans l'étude de l'histoire musicale de la Chine, ont également été découverts dans les tombes.

     

    7. Cimetière aristocratique de la dynastie des Zhou de Liangdai Village, province de Shaanxi

     

     

    Une enquête sur le terrain de trois mois à partir d'avril 2005 a révélé un total de 103 tombes, dont quatre tombes grande avec des passages et 17 fosses de chars dans Liangdai Village de Hancheng Ville, province de Shaanxi. Les travaux d'excavation suivante produit un grand nombre d'objets funéraires en bronze, en jade et en or de trois tombes et une fosse. À en juger par la taille, la forme et la structure des tombes ainsi que des objets funéraires en abondance, des archéologues a déterminé que le cimetière, couvrant une superficie totale de 330.000 mètres carrés, est à l'inhumation des membres de l'aristocratie d'un royaume remontant année environ 2800 de la fin de Zhou occidentaux (c.1100-c.771 BC) au début de la dynastie Zhou de l'Est (770-256 avant JC).

     

    Plus de 500 pièces de jade finement sculptés ont été retrouvés dans le tombeau de l'épouse du souverain. Il s'agit notamment de bijoux de jade incrusté de pierres précieuses et des sculptures de jade du ver à soie et des tortues.

     

    8. Tombeaux Mound au Jurong et Jintan, province du Jiangsu

     

    Dans les comtés de Jurong et Jintan la province du Jiangsu, d'Avril à Septembre 2005 archéologues excavé 40 monticules, 233 tombes et fosses sacrificielles 229 datant de la dynastie des Zhou (c.1100-256 BC), et produit plus de 3800 articles funéraires.  

      

    Les nouvelles découvertes montrent que sous un monticule il ya soit un seul ou de plusieurs tombeaux, et dans la plupart des cas, une fosse d'enfouissement a été creusé, ce qui est différent par rapport aux hypothèses précédentes.

     

    9. Restes de Han Dynasty cours intérieures au Sanyangzhuang, province du Henan

     

     

    Les restes d'un total de neuf cours de la dernière dynastie Han de l'Ouest (206 av JC-25) ont d'abord été découvert en Juin 2003 le long de l'ancien cours du fleuve Jaune dans le village de Sanyangzhuang Neihuang Comté, province du Henan.

     

    Considéré comme le "Pompéi oriental» lorsqu'elle est découverte, les archéologues disent le village a été submergé plus de 2.000 ans, quand le fleuve Jaune sorti de son lit dans une inondation.

     

    Les inondations du fleuve Jaune a été considéré comme l'un des dangers majeurs à travers l'histoire chinoise. Découvertes dans les ruines Sanyangzhuang fourni de nouvelles informations pour l'étude de l'histoire hydrologique du bassin du fleuve Jaune, disent-ils.

     

    10. Peintures murales Tombeau des Wei du Nord à Datong, province du Shanxi

     

     

    En Juillet 2005 archéologues mettent au jour 12 tombes de la dynastie des Wei du Nord (386-534) dans Shaling Village de Dalong Ville, province du Shanxi. Dans une des tombes bien préservées peintures murales ont été trouvées, occupant une superficie totale de 24 mètres carrés.

     

    Les peintures murales ont été peintes en rouge, noir et bleu sur les quatre murs de la tombe et sur un sentier menant à elle. Inscriptions sur un morceau de laque indiquent que le propriétaire de la tombe était la mère d'un général, une dame Xianbei décédé en 435.

     

    La découverte a fourni riche preuves de première main pour aider à la recherche de vêtements ethniques précoce et les rituels, a déclaré Liu Junxi, directeur de l'Institut d'Archéologie de Datong.

     
      
    Source:

                       http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2010/06/fouilles-sanyangzhuang-la-pompei.html

      

     


  • Chine: une série de complexes rituels mis au jour sur le site de Wadian

     
     

    Des archéologues chinois ont découvert une série de complexes rituels disposés de façon symétrique sur un site de la culture Longshan à Wadian, près de la ville Yuzhou, dans la province du Henan.
     

    Les experts pensent qu'ils peuvent être considérés comme étant à l'origine d'un style architectural connu: le "temple des ancêtres sur la gauche tandis que l'autel est à droite"; la caractéristique de ces complexes rituels disposés symétriquement est qu'ils sont situés au sud des colonies ou des villes.

     

      
      
    La superficie actuelle du site de Wadian est d'environ 1 million de mètres carrés et est un gigantesque site de la culture Longshan au sein de la province du Hunan. La recherche pour comprendre la formation de ce lieu d'occupation fait partie du projet d'exploration de la civilisation chinoise.

    Ces dernières années, l'Institut d'Archéologie et des Reliques Culturelles de la Province du Henan et l'Université de Pékin ont mené conjointement une série de travaux sur le site de Wadian avec des enquêtes archéologiques, des fouilles, et des recherches multidisciplinaires.

    Sur la terrasse nord-ouest du site de Wadian ont été découverts d'énormes fossés arrondis: ils sont le signes de lieu d'occupation datant de la fin de la troisième culture Wangwan (début de la dynastie Xia) de la période Longshan.

    Son système de défense était formé à partir des fossés en trois dimensions (Est, Ouest et Sud) et la rivière Ying au nord.


    En se basant sur l'analyse de la forme et des conditions de création de ces immenses fondations en terre battue, les chercheurs ont pu démontrer qu'il y avait toutes les caractéristiques liées à des activités rituelles.

    Cette structure pourrait être à l'origine du style du "temple des ancêtres sur la gauche tandis que l'autel est à droite".

    Parmi ces caractéristiques, l'Est de la fondation en terre battue a été formé à partir de plusieurs fossés en carrés homocentriques, tandis que l'Ouest de ces fondations est formé de trois architectures indépendantes.

    L'une de ces architectures pourrait être un lieu de culte connu sous le nom de Shan: de forme rectangulaire avec une zone autour de mille mètres carrés, comme mentionné dans les littératures anciennes.


    Les archéologues ont découvert 10 restes de squelettes humains utilisés pour les fondation ou pour le sacrifice: leurs têtes ont été séparées de leurs corps. Certains de ces restes étaient mélangés avec ceux d'animaux et dispersés autour des fondations de chaque logement.

    Fang Yanming, de l'Institut d'Archéologie, pense que la découverte de ces gigantesques fossés arrondis et de ce complexe rituel permet de qualifier ce site comme une importante colonie sur le fleuve Ying.


    Avec ces récentes fouilles archéologiques, c'est une grande quantité d'objets extravagants qui ont été déterrés sur le site de Wadian, certains sont des poteries en forme de gobelet, de tête sculptée, d'oiseau à longue queue, d'autres avec des symboles gravés, des oiseaux, des spirales ou des motifs géométriques.

    En outre, un ensemble complet d'instruments à vin en poterie blanche, noire ou grise ont également été identifiés.
    Enfin, plusieurs artefacts rares, comme des objets de jade et d'énormes os utilisés pour la divination ont été trouvés.

    Source:

      

     

    Le site historique d'une ville antique a été découvert l'année dernière dans le sud-ouest de Suzhou, dans la province Est du Jiangsu. L'annonce de cette découverte a été faite ce mardi à Suzhou.
    Les archéologues pensent que le site était une grande cité qui a prospéré durant l'époque des Printemps et Automnes.
     

    En novembre 2009, des archéologues de Beijing et Suzhou ont fait équipe pour démarrer des fouilles dans la zone nord-est du lac Taihu.
     

    Selon les données archéologiques, la distance entre les murs Nord et Sud de cette ancienne ville était d'environ 6700 mètres. La distance entre les murs Est et Ouest était d'environ 6800 mètres. La superficie totale est d'environ 25 kilomètres carrés.
     

    Dans la seconde moitié de 2010, les archéologues ont trouvé des tombes de nobles dans lesquelles se trouvaient des porcelaines et des jades de l'époque des Printemps et Automnes. Dans le village de Wufeng, dans le district de Mudu, les archéologues ont également trouvé des tombes datant des dynasties Han, Ming et Qing.
     

    Xu Lianggao, chercheur
    Académie des Sciences sociales de Chine
     

    "L'ancienne ville de Mudu est très grande. Elle reste bien conservée, comme les murs de la cité, les voies navigables, les ateliers et les tombes. C'est la plus grande découverte de l'époque des Printemps et Automnes et cela va nous aider à répondre à des questions historiques sur cette période."
     

    Cette découverte est considérée comme l'une des six grandes découvertes archéologiques en Chine en 2010. Cette année, les archéologues vont continuer les fouilles sur le site.

     

    Source: CCTV

     

      

     


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    Les caractères de l'écriture chinoise étaient à l'origine des dessins ou des signes. L'évolution de l'écriture a donné naissance à un art calligraphique indépendant.

      

    Les œuvres de grands calligraphes

    des différentes dynasties restent représentatives de la calligraphie de leur époque. La passion des calligraphes et des amateurs pour cet art s'est transmise jusqu'à nos jours.

    Différente de la peinture à huile occidentale, la peinture traditionnelle chinoise a ses formes d'expression particulières. Les dessins sur les poteries néolithiques d'il y a 6 000 ou 7 000 ans sont les plus anciennes œuvres picturales de Chine. Ces dessins, comme l'écriture, représentés principalement par des lignes, sont tracés avec les mêmes outils que pour celle-ci, d'où l'expression « la calligraphie et la peinture ont les mêmes origines ». Des vers ou des caractères sont toujours écrits

     

    sur le tableau pour associer poésie, calligraphie et peinture en une seule œuvre d'art. Les peintures de personnages, de paysages, de fleurs et d'oiseaux font partie intégrante de la peinture traditionnelle chinoise. De nombreux tableaux réalisés au cours des différentes dynasties ont été peints de manière expressive.

     

      

      

    La création calligraphique et picturale est toujours très dynamique dans la Chine actuelle. Tout au long de l'année, les différents musées des Beaux-Arts, dont le Palais des Beaux-Arts de Chine, organisent régulièrement des expositions d'œuvres d'un peintre ou de plusieurs peintres. Parallèlement, la peinture chinoise est exposée chaque année partout dans le monde. Outre la peinture traditionnelle chinoise, les techniques occidentales telles que la peinture à huile, la gravure et l'aquarelle se sont développées également en Chine. Certains peintres chinois, en associant les techniques de la peinture traditionnelle chinoise à celles de la peinture occidentale, produisent des œuvres aux styles variés. L'art contemporain ayant pour support les matières, les formes, les cadres et les moyens modernes, progresse énormément ; les œuvres artistiques issues des  nouveaux médias, comme la vidéofréquence, le numérique, les dessins animés et l'art acoustique, font fréquemment leur apparition dans des expositions chinoises et étrangères d'art contemporain. 

      

      

      

      

      

      

      

      

    Sources http://www.otchine.com/Culture_Chinoise_9_La_calligraphie_et_la_peinture.htm

      

     


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    Située dans le Nord de la Chine, la Région autonome de la Mongolie intérieure couvre 1,183 million de km2. Elle est limitrophe des provinces du Heilongjiang, du Jilin et du Liaoning à l'est, de celles du Hebei, du Shanxi et du Shaanxi au sud, de la Région autonome Hui du Ningxia et de la province du Gansu à l'Ouest et limitée par la Mongolie et la Russie au nord. La ligne frontière nationale s'étire sur 4221 km aux bornes de la Mongolie intérieure.
     


    La Région autonome de la Mongolie intérieure est essentiellement occupée par les massifs. Le plateau s'étend sur 3000 km du nord‑est au sud‑ouest et la plus grande partie de son territoire se situe à plus de 1000 m au‑dessus du niveau de la mer. Toute la région a 880000 km2 de prairies, soit 21,7% de la superficie totale des prairies de la Chine. La partie est est recouverte de forêts vierges des Grands Hinggan, tandis que la partie ouest occupée par le plateau d'Ordos désertifié. Au pourtour de la steppe de la Mongolie intérieure s'étendent les plaines du Grand Méandre du fleuve Jaune et de Liaonen dans le bassin du fleuve Liao. En Mongolie intérieure, les massifs, les montagnes et les plaines alternent et un millier de cours d'eau qui les traversent arrosent son vaste territoire.

    Autrefois, une dizaine de minorités ethniques vécurent dans la région de la Mongolie intérieure. Au XIIe siècle, l'ethnie mongole est devenue puissante. Gengis Khan conquit les diverses tribus du plateau de la Mongolie et fonda le pouvoir des nobles de la peuplade nomades. Après avoir divisé le pays en plusieurs circonscriptions administratives sous la dynastie des Yuan, la région de la Mongolie intérieure relevait séparément de la province du Zhongshu et de plusieurs autres. A la moitié du XVe siècle, Dayan Khan, descendant de Gengis Khan, unifia à nouveau la région de la Mongolie intérieure. Plus tard, Altan Khan, petit‑fils de Dayan Khan et chef du clan de Tumd, réussit à placer toute la partie ouest de la Mongolie intérieure sous son autorité et établit des relations politique et économique avec la dynastie des Ming. Au cours de ces cent dernières années, les habitants de diverses ethnies de la Mongolie intérieure prirent part activement aux mouvements révolutionnaires. Sous la direction du Parti communiste, ils s'engagèrent dans la voie de l'autonomie régionale nationale. La fondation de la Région autonome de la Mongolie intérieure le 11, mai 1947 mit fin à l'histoire longue des centaines d'années marquée par la division du pouvoir et les conflits entre les différentes ethnies.

    Dans la Région autonome de la Mongolie intérieure vivent 49 ethnies, entre autres les Han, les Mongols, les Hui, les Mandchous, les Dahours, les Ewenki et les Crochons, totalisant 23,45 millions d'habitants. Les moeurs populaires particulières et les paysages sauvages constituent ses atouts pour développer le tourisme.

    Depuis toujours, l'élevage occupe une place dominante dans l'économie de la Mongolie intérieure. Les habitants de diverses ethnies qui sont nés et grandissent sur le dos de cheval ont créé une riche floraison de cultures brillantes.



    Sites touristiques

    Zone touristique de Hulun Euir : La zone touristique de Hulun Euir est limitrophe des provinces du Heilongjiang et du Jilin à l'est et limitée par la Russie et la Mongolie. Dans cette zone, les us et les coutumes de la population sont variés, car y vivent en groupes compacts les Mongols, les Dahours, les Ewenki, les Orochons et d'autres minorités ethniques. Les forêts des Grands Flinggan et la prairie de Hulun Buir qui offrent des paysages magnifiques sont les attractions principales de cette zone.

    Lac Hulun : Le lac Hulun se trouve à 45 km à l'est de Manzhouli et s'étend sur 2339 Km2. bénéficiant d'un climat agréable et dotée de paysage pittoresque, la zone lacustre est un lieu idéal pour fuir la chaleur de l'été. Ses sites célèbres ouvriront aux touristes des horizons nouveaux. Par ailleurs, on peut prendre bain de soleil et de sable, pêcher à la ligne au bord du lac, faire une promenade en bateau dans le lac ou prendre un repas «tout poisson» en été et regarder la pêche sous glace en hiver.

    Prairie de Hoh Nur : Le site est situé au bord du lac Hoh Nur au centre de la prairie de Chen Barag dans la municipalité de Hulunbuir et couvre 20 km2. L'herbe tapisse le sol, une rivière serpente sur la prairie incrustée de lacs miroitant sous un ciel d'azur. En hiver, la prairie est devenue une immense étendue de neige toute blanche. C'est l'un des sites les plus représentatifs ouverts au tourisme de la ligue de Hulun Buir.

      Prairie de Bayan Huxu : Situé dans la partie sud‑ouest de la bannière autonome Ewenki à 39 km de Hailar, le site pittoresque ouvert au tourisme couvre 5 km2. Sur la prairie, les herbes poussent à merveille, les fleurs s'épanouissent et la colline Obon Xil domine la rivière Yimin qui serpentant dans la prairie. Les touristes peuvent pratiquer des sports de différentes ethnies, participer à la cérémonie de sacrifice devant un Obo (tas de pierres), ou rendre visite chez des bergers.


    Hameau de montagne du Phénix : Situe à 8 km à l'est ce la ville de Yakeshi, à 87 km de Hailar, le site couvre 99 ha. Les terrains plats alternent avec les collines, les plans d'eau et les forêts; des bâtiments de style européen et des chalets se disséminent ça et là. C'est un lieu optimal pour admirer les paysages pittoresques, fuir la chaleur de l'été et se promener sur la glace. Bien équipé, le hameau de montagne du Phénix est en mesure de recevoir des groupes de nombreux touristes et des conférences de tout genre.

    Zone touristique de Horqin : Située dans la Partie sud‑est de la Mongolie intérieure, elle couvre la ligue de Hinggan et la municipalité de Tongliao. Dans cette zone, il y a la plaine de Liaoxi, le massif de la section moyenne du Grand Hinggan, les célèbres sources chaudes d'Arxan, la prairie de Horquin, ainsi que des forêts et des lacs. Disposant de ressources inépuisables, elle s'avère bonne pour organiser les voyages de cure aux sources chaudes, de découverte des us et coutumes des bergers, d'étude de la culture des Liao et de découverte des forêts alpines.

    Temple de Gengis Khan : Elevé sur la colline du Nord d'Ulanhot, c'est un temple de style original. La salle principale en forme de montagne est flanquée de deux salles latérales un peu moins élevées que la principale. La statue de Gengis Khan haute de 2 m est érigée au centre de la salle principale, tandis que les deux salles latérales abritent respectivement celles de Kubilaï Khan (1214‑1294) et de Tiemuer. Au centre de la toiture conique de la salle principale est accrochée une tablette carrée portant le nom du temple en chinois et en mongol.

    Village de vacances de Qarsan : Situé dans la prairie au nord‑est du lac Qarsan, ce site n'est pas très éloigné des villes de Shenyang, Qiqihar et Zalantun. Au printemps et en été, la prairie parsemée de fleurs évoque un moelleux tapis d'herbe. Les installations de service sont complètes et modernes. Les touristes peuvent monter à cheval ou à chameau, pratiquer le tir à l'arc ou participer aux autres activités intéressantes.

    Sources chaudes d'Arxan : Sur 800 m de long au pied du mont de l'Est de la ville d'Arxan dans la ligue de Hinggan sont réparties 48 sources. Selon la température de l'eau, on les divise en 4 zones. Ainsi, on compte du sud au nord la zone des sources froides dont la température de l'eau varie entre 3,4 et 4,5°C, celle des sources tièdes d'une température de 10,5 à 29°C, celle des sources chaudes de 31 à 47,4°C et celle des sources tièdes d'une température variant autour de 20°C.

    Réserve naturelle nationale de Daqinggou : Situé au sud‑ouest de la ville de Tongliao, c'est une réserve naturelle nationale couvrant 8100 ha. La vallée Daqinggou est un échantillon du relief terrestre originel de la prairie de Horquin et l'unique en son genre à préserver des protophytes subsistants, Dans la vallée poussent une centaine d'essences et plus de 400 espèces de plantes herbacées. Verdoyante pendant toutes les saisons, elle est digne d'être un jardin botanique naturel rarissime.

    Prairie de Jurh : La zone touristique de la prairie de Jurh se situe au nord‑ouest de la bannière centrale de Horquin Zuoyi à 86 km de Horqin. Jurh, signifiant en mongol «coeur», est une des premières bases d'élevages de la Mongolie intérieure. Il possède 123000 ha de pâturages naturels. Avec ses terrains plats, ses prés excellents, son cadre naturel superbe, son climat agréable, la commodité des transports et ses yourtes de style original, il est déjà devenu une zone touristique attrayante.

    Zone touristique de Chifeng : Située dans la partie est de la Mongolie intérieure, cette zone est limitrophe de la municipalité de Beijing et de la province du Hebei. La culture de Hongshan et la culture des Liao, très connues toutes les deux en Chine, tirent leur origine dans cette région. La longue histoire, les us et coutumes particuliers et les paysages champêtres de cette région sont autant de conditions favorables au tourisme. Ses attractions comprennent essentiellement les ruines des capitales supérieure et centrale des Liao, les sources chaudes de Shenshuitang, etc.

    Pagode Daming : Construite en 1035, la pagode Daming se trouve en dehors des ruines de la capitale centrale des Liao. Reposant sur une terrasse en terre pilonnée, c'est une pagode octogonale pleine en briques de 13 étages à toitures serrées, de 74 m de hauteur avec un socle de 14 m de diamètre dont le côté est de 14 m.

    Réserve naturelle de Dalai Nur : Situé dans la bannière de Hexigten, la réserve naturelle de Dalai Nur possède divers systèmes écologiques : lacs, marécages, prairies, terrains désertique, dunes, etc. Dans cette réserve vivent 134 espèces d'oiseaux dont 23 sont protégées par l’Etat, telles que la grue à tête tachetée de rouge, la grue blanche, le cygne, l'outarde, etc. Elle possède 22 lacs de taille différente.

    Reshuitang et Huanggangliang : Située dans le nord‑est de la bannière de Hexigten, cette zone est un lieu touristique réputé permettant de faire une cure de repos, de passer les vacances et de faire des visites. Elle comprend essentiellement les sources chaudes de Reshuitang et le parc forestier de Huanggangliang. Sous la dynastie des Liao, l'empereur Taizong et ses successeurs vinrent prendre un bain à cet endroit. L'empereur Kangxi des Qing, y vint aussi se laver dans l'eau chaude et le puits pour lui puiser de l'eau existe encore. Huangganglianq est un parc forestier. La zone pittoresque de Shisandaowan dans ce parc est une station estivale réputée.

      

    Zone touristique de Xilin Gol : Située dans la partie centrale de la Région autonome de la Mongolie intérieure, la grande steppe de Xilin Gol est mondialement connue. Elle est limitée par la Mongolie au nord et bornée par la province du Hebei au sud. Dans cette région, la steppe s'étend à perte de vue, mais on y trouve également des terrains sablonneux, des lacs et des traces de volcan. Doté d'un paysage typique de la steppe de la Mongolie intérieure, c'est l'une des régions

     

    où les Mongols représentent une forte proportion de la population. Les vestiges historiques foisonnent dans cette région.

    Prairie de Xilin Gol : Située à 55 km au sud‑est de Xilinhot, elle s'étend sur 3730 km2. Cette zone touristique possède des prés luxuriants, une flore et une faune riches. Les plus importantes attractions sont le lac Jagstai, les terrains sablonneux, les forêts de différentes essences, la vallée de Habq, la plate‑forme karstique, le terrain de course de chevaux sur la prairie, les jardins des animaux sauvages et des plantes sauvages, etc. En 1987, cette zone éco-touristique a été inscrite sur le programme «Homme et sphère» par l'UNESCO.

    Prairie de Xiri Tal : Situé à 15 km au sud‑est de Xilinhot dans la ligue du même nom, le village de vacances couvre 9 km2. D'un relief faible et avec un pâturage luxuriant et paisible, cette zone qui offre un paysage typique de la steppe de Xilin Gol permet aux touristes de goûter à cœur joie le charme de la steppe. Dans la zone touristique ont été installées plus de 50 yourtes, formant un village de vacances grandiose sur la prairie.

    Zone touristique du centre-ouest de la Mongolie intérieure : Située dans le centre‑ouest de la de la Mongolie intérieure, cette zone couvre l'angle d'or limité par Hohhot, Baotou et Ordos. Les ressources touristiques de cette zone comprennent essentiellement les déserts typiques, les prairies et les montagnes, les us et coutumes de l'ethnie mongole, les monastères et d'autres vestiges historiques. Les attractions principales sont les célèbres sites touristiques des prairies de Xar Moron, de Gegen Tal et de Huiteng Xil, le monastère Wudang, le mausolée de Gengis Khan, la dune de sable sonore, le tombeau de Wang Zhaojun, etc.

    Hohhot et Baotou : Hohhot est la capitale et le centre politique, économique et culturel de la Région autonome de la Mongolie intérieure. Fondée en 1572, cette ville a une histoire de plus de 400 ans. Ses attractions principales sont le tombeau de Wang Zhaojun, la pagode blanche des Liao, le site de la culture de Dayao, le temple Wuta et la lamaserie de Dazhao.
    Située dans la partie ouest de la Mongolie intérieure, la ville de Baotou est le grand noeud de communication de la Chine du Nord. Les attractions principales sont le monastère Wuclang, la lamaserie Meidai, les zones touristiques de Saihan Tal et de Xar Moron, etc.

    Pagode blanche : Elle se situe dans le village Baita à 17 km de Hohhot. Construit sous les Liao, c'est une pagode octogonale de 7 étages en bois et en briques, haute de 55,5 m. Dans le mur de la façade est incrusté une tablette de pierre portant son nom ‑ Pagode du Soutra de la Guirlande de fleurs en dix mille tomes. Dans le tronc de la pagode ont été sculptés en bas‑relief des Bouddhas, des bodhisattva, des vajras et des gardiens célestes.

    Tombeau de Wang Zhaojun : Situé sur la rive de la rivière Dahei, il est aussi appelé le tombeau verdoyant. Wang Zhaojun était la concubine impériale de la dynastie des Han. Le tumulus est d'une hauteur de 33 m. En l'an 33 av. J.­C., sous le règne de l'empereur Yuandi des Han, elle se maria volontairement avec Huchanyu, chef de la tribu Xiongnu dans le Nord. Depuis son mariage, les Han et les Xiongnu s'entendirent bien pendant 60 ans. A la fin de l'automne, ce tombeau reste verdoyant, d'où son autre nom.

    Lamaserie Dazhao : Ce monstère fut construit en 1579 sous les Ming sous le patronage de Aletan Khan, chef de la tribu Tumd de l'ethnie mongole. Une statue de Bouddha en argent pur de 2,5 m de hauteur est installée dans le monastère. Le IIIe Dalai Lama du Tibet y vint personnellement présider la cérémonie d'inauguration de ce Bouddha. La lamaserie Dazhao conserve un grand nombre de vestiges religieux dont les plus précieux sont le Bouddha d'argent, les dragons sculptés et les fresques.

    Lamaserie Xiret : Construit en 1585, ce monastère se trouve dans l'arrondissement de Yuquan à Hohhot. Le professeur du IV, Dalai Lama y vécut longtemps, c'est pourquoi on donna son nom à ce monastère. Le toit de la salle des Soutras est surmonté d'une roue de la Loi gardée par les cerfs et les dragons. Des deux côtés de l'esplanade devant la salle des Soutras sont deux kiosques abritant chacun une stèle commémorant l'expédition dirigée par l'empereur Kangxi des Qing contre Gerdan. Dans la cour est est élevé un dagoba de marbre blanc de 15 m de hauteur.

    Temple Wuta : Construit en 1727 sous la règne Yongzheng de la dynastie des Qing, ce temple se situe dans la rue Houji à Hohhot. La pagode mesure 16,5 m de hauteur. Elle est composées de trois parties: soubassement, socle et partie surélevée. Sur le socle s'élèvent 5 pagodons de belle forme. Dans les murs de cette pagode a été sculptés en bas-relief plus de 1560 Bouddhas, ce qui lui vaut l'autre nom de «Temple aux mille Bouddhas.

    Grande Mosquée : Situé à Tongdao Nanjie, c'est la plus ancienne et la plus grande mosquée de la ville de Hohhot. Construite sous le règne Kangxi des Qing, cette mosquée fut restaurée et reconstruite à maintes reprises sous les règnes Yongzheng et Qianlong pour prendre la dimension actuelle. Il comprend une salle sainte, une salle de cours de Coran et une salle de bain. Plus tard, on y construisit un minaret haut de 36 m. Dans cette mosquée sont conservés sept stèles anciennes et un Coran en 33 tomes.

    Hippodrome : Situé à Hulun Beilu à Hohhot, c'est l'installation sportive la plus gigantesque de la Mongolie intérieure et l'un des plus grands hippodromes d'Asie, Il comprend une piste circulaire, un terrain de polo, une aire de démonstrations d'adresse et un terrain de course d'obstacles. Cet hippodrome peut recevoir 100000 spectateurs. Sur le gazon à l'est de l'hippodrome sont installées de nombreuses yourtes.

    Prairie de Xar Moron : Dans la prairie de Xar Moron à 80 km au nord de Hohhot est sis un monastère lamaïste construit en 1769 sous les Qing. Au début, ce fut le palais d'été du Vil Bouddha vivant de la lamaserie Xiret. Le monastère comprend trois cours entourées de bâtiments splendides. Derrière ce monastère, la rivière Xar Moron serpente au pied de la colline Alben Obo dont le sommet permet d'avoir un magnifique panorama sur la steppe qui s'étend à perte de vue. C'est la plus importante zone touristique sur la steppe de la Mongolie intérieure.

    Prairie de Gegen Tal : Situé à 138 km de Hohhot, c'est une zone touristique nationale 4A permettant de goûter le charme de la steppe. On y peut rendre visite chez des bergers, se promener sur le dos de cheval ou de chameau, prendre la charrette «lele», participer au tir à l'arc, assister à des séances de lutte mongole et de course de chevaux ou a des spectacles de chants et de danses des Mongols ou participer à la soirée autour d'un feu de bivouac.

    Prairie de Huiten Xil : La zone touristique est située dans la prairie de Huiten Xil à 135 km de Hohhot. Chaque année, de mai en septembre, les fleurs parsèment la prairie luxuriante. Occupé par une plate‑forme de lave volcanique, Huiten Xil est d'un relief légèrement accidenté. Des lacs et des mares d'eau parsèment la prairie. Les nombreux villages de vacances formés de yourtes offrent des services de tout genre, y compris les spécialités mongoles, les spectacles de chants et de danses et la promenade à cheval.

    Monastère Wudang : Construit sur le modèle du monastère Tashilumpo à Xigaze sous le règne Kangxi des Qing, le monastère Wudang se trouve dans les monts Yinshan. Ses 6 salles, 3 demeures, une salle de cours et 94 pavillons destinés à loger les lamas, totalisant 2538 pièces, sont échelonnés sur la montagne. Ce monastère abrite plus de 1500 statues de Bouddhas en or, argent, bronze, bois ou argile et de nombreuses fresques ayant pour thème des personnages historiques, les coutumes locaux, des histoires mythologiques, etc.

    Lamaserie Meidai : Situé dans la bannière droite de Tumd non loin de la ville de Baotou, la lamaserie Meidai fut construite sous les Ming sur l'ordre d'Alatan Khan, descendant de la 17e génération de Gengis Khan. Elle marque le centre d'activités d'Alatan Khan dans la plaine de Tumd et le centre de diffusion du bouddhisme tibétain depuis son introduction en Mongolie par ce chef des Mongols.

    Dune de sable sonore : Située dans la bannière de Dalad à la lisière nord du désert de Hobq, à 45 km de Baotou, la dune de sable sonore s'élève à 90 m de hauteur avec une pente de 45°. Quand on se glisse de haut en bas sur la pente, un bruit se fait entendre comme si des automobiles et des trains roulaient à proximité. Ce phénomène reste encore une énigme de la nature à dévoiler de nos jours. On y peut se glisser à bord d'un «bateau» sur la pente de sable et se promener sur le dos de chameau.

    Mausolée de Gengis Khan : Situé dans la municipalité d'Ordos, le mausolée de Gengis Khan comprend trois bâtiments juxtaposés à dôme recouvert de tuiles vernissées, évoquant des yourtes mongoles, reliés entre eux par deux galeries couvertes. L'ensemble est composé d'une salle principale, de deux salles de derrière. Devant l’édifice se dresse la statue de Gengis Khan en marbre blanc, haute de 5 m. Dans la salle de derrière est installé les cercueils de Gengis Khan et son épouse. Chaque année, les Mongols de Darhut, descendants de Gengis Khan, y viennent participer à la grande cérémonie de sacrifice aux ancêtres

    Lac Harsu : S'étendant au pied du mont Daqing à 73 km d Hohhot, le Harsu est un lac naturel surnommé «lac de l'Ouest au‑delà de la Grande Muraille». Le village de tourisme et de vacances au bord permet aux touristes d'admirer les paysages merveilleux de la steppe, de déguster des spécialités régionales e de participer aux activités distractives sur l'eau.

    Zone touristique d'Arxa : Située dans la partie ouest de la Région autonome de la Mongolie intérieure, elle comprend la municipalité de Wuhai et la ligue d'Arxa. Influencé par un climat sec, cette zone offre principalement des paysages de désert qui n'en sont pas moins miraculeux pour autant, avec les scènes magnifiques dues au fleuve Jaune et aux monts Heian. En fonction de changement du milieu écologique et d'aggravation de la désertification des terrains, de nombreux monuments historiques ont été enfouis dans le sable.

    Ruines de la cité Noire : Situées sur la rive est du cours inférieur de la rivière Ejin à la lisière du désert Badain Jaran, la cité Noire (Heicheng) est la ville la mieux conservée sur l'ancienne Route de la Soie. Elle fut la capitale du pouvoir des Xia de l'Ouest établi par la tribu Dangxiang. Le plan de la cité Noire est rectangulaire et au milieu de ses murs d'enceinte est et ouest furent respectivement percée une porte protégée par un bastion semi‑circulaire. Les remparts de cette cité restent encore de 10 m de haut au‑dessus du sol, Au sud‑ouest de la ville se dresse solitairement une chapelle dans le désert.

      


     

    Gastronomie

    Moutons entiers grillés : C'est un aliment traditionnel de mongol Intérieur. Un mouton pesant environ 20 kilogrammes est envoyé à la boucherie et nettoyé les cheveux étant coupés mais la peau restante. Il est alors rôti avec son abdomen rempli d'oignon, de gingembre, de poivre, et de sel verts. Le mouton rôti en position de accroupissement est servi dans un plat en bois carré.

    Mouton bouilli : En outre un prix traditionnel en Mongolie intérieure, il est préparé et servi d'une manière unique. Le mouton est coupé aux joints en plusieurs morceaux avec les os dessus et mis dans un pot avec de l'eau. Il est bouilli avec un incendie violent et puis un feu modéré. Quand la couleur du mouton change, elle est faite et servie.

    Farine d'avoine : L'avoine moulue s'appelle la farine d'avoine, il contient à haute valeur protéique, gros, le calcium, le phosphore, et des oligoéléments d'othe. La farine peut être transformée en diverses sortes de nourritures, tel que le cuoyuyu, le tuiwuowo, et le juanturtun. Selon le goût et les différentes saisons des personnes, différents assaisonnements peuvent être ajoutés et mélangés aux conserves de légumes, au potage de mouton, ou au potage par sel de légume frais. L'ail et le poivre chaud peuvent également être ajoutés.

    Boisson au lait de la jument : La boisson au lait de la jument est brassée avec du lait de la jument. Elle contient peu d'alcool. Elle est préparée en versant le lait dans un sac de peau et en accrochant le sac au soleil. Remuez vers le haut du lait plusieurs fois par jour avec un bâton spécial afin de le faire fermenté et acidifier, quand la couleur du lait devient limpide et propre et lui goûte aigre et chaud, ce s'appelle la boisson au lait de la jument.

    Thé de laiterie : Une boisson chaude traditionnelle en Mongolie intérieure, il est fait en thé de brique avec du lait frais. Une fois servi, un peu de sel ou beurre est habituellement ajouté. Il peut être bu avec du riz soufflé ou d'autres produits laitiers. Les aides de thé rendent l'estomac à un chaud, éteignent la soif, apaisent la faim, et la digestion d'aide.

     

    sources  http://www.otchine.com/Destinations_Mongolie_Interieure.htm

     


  • Guizhou  
         
     

    Située dans le sud-ouest de la Chine, la province du Guizhou s’appelle « Qian » en abrégé. Les montagnes et les collines constituent 97 % du total de la superficie de Guizhou qui se trouve dans la zone subtropicale. Il figure parmi les régions du relief karstique les plus vastes du monde. Avec un environnement particulier et un relief varié, cette province jouit d’un climat modéré. Sa température moyenne annuelle est de 15°C. Il ne fait ni très froid en hiver
     

    ni très chaud en été.


    Guizhou est riche en ressources touristiques qui sont diversifiées, haut de gamme et disséminées partout. Cascades, vallées, monts, forêts de pierres, lacs, sources thermales et grottes karstiques parsèment toute la province. Citons les sites les plus célèbres: les hait zones nationales des sites pittoresques (Huangguoshu, Longgong, Zhijindong, Yanghe, Hongfenghu, Lipozhangjiang, Malinghe, Chishui), cinq réserves naturelles nationales (faune et flore des monts Fangjingshan, forêt vierge de la région karstique Maolan, cryptogames vasculaires de Chishui, oiseaux du lac Caohai et arbres à feuilles persistantes et larges de la zone tropicale de l’Asie Centrale de Xishui), et vingt-quatre zones provinciales des sites pittoresques (Huaxi, forêt de pierres de Nidang, etc.) qui ont leur propre singularité.

      On constate au Guizhou la simplicité antique du folklore national, la particularité de la culture nationale et la singularité des us et coutumes. Ayant une longue histoire, il laisse un trésor des monuments historiques: siège de la réunion Zunyi, tombeau de Yangcan, vestiges paléontologiques des Grottes Pudingchuan, Grotte du Dragon vert de Zhengyuan, tour de tambour du village des Dong de Congjiang, villa du chef de la tribu des Yi de Bijie, tombeau de Mme Shexiang de Dafang, ancien emplacement du camp de concentration Xifeng. On énumère ci-dessus neuf monuments historiques nationaux et il y en a aussi 239 du province.

     

    Ces derniers ans, le Guizhou a connu un bond en avant dans le domaine du tourisme. On a élaboré, avec Guiyang au centre, quatre itinéraires principaux: celui de l’est avec les folklores des minorités nationales, celui

    de l’ouest avec les paysages naturels, celui du nord avec les villes célèbres et les alcools fameux et celui du sud avec l’intégration des folklores et des paysages naturels.

    Connu sous le nom de la « province des parcs » et avec le spectacle de la nature et la sincérité du peuple, le Guizhou attire de plus en plus de touristes chinois et étrangers.

     



    Sites touristiques

    Zunyi
    Le département de Zunyi qui se trouve dans le nord du Guizhou a sous sa juridiction l’arrondissement Honghuagang et douze districts. La ligne ferroviaire Sichuan-Guizhou le traverse. Il y a ancien siège de la réunion Zunyi, tombeau au héros de l’Aimée Rouge, temple Xiangshansi, tombeau de Yangcan, temple Taoxisi, passe Loushanguan, zone pittoresque de Chishui, réserve naturelle des cryptogames vasculaires (cyathea spinulosa). La ville de Zunyi est une ville ancienne du plateau du Guizhou. Il constitue une des villes nationales célèbres de l’histoire et de la culture et le centre touristique dans le nord du Guizhou.

      Ancien siège de la réunion Zunyi se situe dans la cité de l’arrondissement Honghuagang. C’est un batiment à deux étages qui donne sur le nord. L’Armée Rouge qui entreprenait la Longue Marche arriva à Zunyi au mois de janvier 1935. Le bureau politique du comité central du PCC convoqua « la réunion Zunyi » dans cet édifice mi-chinois mi-occidental en Structure brique bois. C’est un événement de grande portée historique.


    La zone pittoresque de Chishui se trouve dans le nord-ouest du Guizhou. Il y a cinq catégories des paysages naturels (chutes d’eau, mer des bambous, cryptogames vasculaires, terre rouge et forêt vierge) et les traces historiques et culturelles de la Longue Marche. Elle a pour sites importants chute d’eau de Shizhangdong, mer des bambous de Hushi, cryptogames vasculaires de Jinshagou, chutes d’eau de Sidonggou, Lac de la Lune de Changqi. Les experts chinois et étrangers l’appellent aussi «la région de mille chutes d’eau», «le pays des bambous», «le royaume des cryptogames vasculaires», « le champion de terre rouge », et il est digne de as grande réputation.

    Guiyang
    Guiyang est le chef lieu du Guizhou. Il est son centre politique, économique, culturel et transporteur. Avec une population de 3,1143 millions d’habitants, il s’étend sur une superficie de 8032 km2 et a cinq arrondissements, trois districts et une municipalité sous as juridiction.

    Guiyang se trouve au centre du Guizhou. Il se baptise son nom parce qu’il est au sud du mont Guishan. Cette ville a une altitude de 1071 m, entourée de collines de tous cotés. Les arbres y sont verts au cours de toute l’année. Guiyang se trouve dans la zone subtropicale, son climat est humide, modéré et agréable. La température annuelle moyenne est de 15,6°C. Cette « seconde ville du printemps » est le lieu idéal pour les estivants et les touristes.  


    Guiyang a une longue histoire. A 1’époque des Royaumes combattants, il faisait une partie de Chu. Depuis la dynastie des Jin, toutes les autorités ont installé les services administratifs, soit le service du district, soit le service du département. En 1941, on y a installé la municipalité.

    Guiyang offre aux visiteurs un spectacle impressionnant et de nombreux monuments historiques. Il y a en ville pavillon Jiaxiu, temple Hongfusi, colline Qianlingshan, lac Qianlinghu, belvédère Wenchang et dans la banlieue parc Nanjiao, ruisseau Huaxi, étang Tianhe, lac Hongfeng, parc de la vallée de la rivière Nanjiang de Kaiyang, lac Baihua, ancien emplacement du camp de concentration Xifeng.

      Anshun
    La ligne ferroviaire Guiyang-Kunming traverse la ville d’Anshun qu’on appelle aussi « le ventre du Guizhou et la gorge du Yunnan ». Anshun est à 97 km de Guiyang, il est le centre touristique de l’ouest du Guizhou. Durant l'époque aussi éloignée que celle des Royaumes combattants, on y installa les autorités. La production du batik a une histoire de plus de 2000 ans. Ce pays du thé est célèbre pour la chute d’eau Huangguoshu.


    Kaili
    La ville de Kaili, chef-lieu du département autonome des Miao et des Dong, se trouve dans le sud-est du Guizhou. Il est le centre touristique dans l’est du Guizhou. Il y a sept villages qui représentent respectivement les façons de vivre des sept minorités nationales. Alors c’est un itinéraire du folklore.

    Dujun
    La ville de Dujun est le chef lieu du département autonome des Bouyi et des Miao La ligne ferroviaire le traverse et il est le centre touristique dans le sud du Guizhou.

     

    Sauvegarde écologique
    Guizhou a une riche ressource de la faune et de la flore grâce à son environne Ment écologique bien favorable. On y compte 3800 espèces de plantes et plus de mille
    espèces d’animaux sauvages. Parmi ces

     

    ressources zoologiques et botaniques rarissimes et précieux, singe au nez retroussé, presbytis françoisi, tigre de sud de Chine, grue, cigogne, sapin de Chine, davidia involucrata, cyathea spinulosa.

      

      

      

    SOURCES : http://www.otchine.com/Destinations_Guizhou.htm

      

      

      


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    Situation géographique et territoire
    Située en Asie orientale et sur la rive ouest du Pacifique, la Chine couvre 9600000 Km2, avec une côte longue de 18000 Km. Ses eaux territoriales sont parsemées de 5000 îles dont Taiwan et Hainan sont les plus grandes.

     


     

    Relief et cours d’eau
    Le continent chinois descend d’ouest en est. Cette configuration favorise la pénétration de l’air humide de la mer à

     

    l’intérieur du pays et la descente des cours d’eau vers l’est. Le Yangtsé et le fleuve Jaune sont parmi les plus grands fleuves du monde.

      En Chine, des montagnes majestueuses alternent avec des plaines, des bassins, des collines et des plateaux qui occupent 2/3 de sa superficie. On y compte 2000 lacs. Le point culminant du globe, le mont Qomolangma (8848 m), se trouve au Tibet, à la frontière sino-népalaise, et le point le plus bas de la Chine se trouve à Turpan, à 154 m au-dessous du niveau de la mer.

     


     

    Climat
    La Chine, de par l’immensité de son territoire, est soumise à divers climats, climat continental dans le Nord, régime de moussons dans le sud et zone tempérée entre les deux. Ainsi il n’y a pas d’été au Heilongjiang et pas d’hiver dans l’île de Hainan. Les quatre saisons sont distinctes dans le bassin du fleuve Huaihe, tandis que le sud du plateau du Yunnan-Guizhou jouit d’un continuel printemps. La région du Nord-ouest présente de grands écarts de

    température entre le jour et la nuit.

     

     


     

     

    Ressources naturelles
    La Chine est dotée d’immenses ressources naturelles et de nombreuses réserves minérales dont beaucoup sont encore inexploitées. Elle possède une faune et une flore rares. Le panda géant, le rhinopithèque et l’alligator du Yangtsé n’existent plus qu’en Chine. Le metasequoia et le ginkgo, très répandus dans le pays, sont considérés comme des “fossiles vivants”. En vue de protéger ces différentes espèces en voie de disparition,

    la Chine a créé quelque 700 réserves naturelles dans diverses régions.



    Histoire

    La Chine a une des plus vieilles civilisations du monde encore existantes. Son histoire remonte à 5000 ans.

     

    Après une longue période de société primitive, la Chine connut vers le XXI’ siècle avant J.-C. l’avènement de la dynastie des Xia qui fut suivie par celles des Shang, des Zhou de l’Ouest et des Zhou de l’Est.

     

    Déjà sous les Shang, les Chinois maîtrisaient les techniques de fonte et de coulage du bronze et savaient fabriquer des instruments en fer. Peu à peu, la civilisation s’approfondit et au cours des siècles qui vont suivre apparaissent nombre de penseurs, de scientifiques, d’artistes et de lettrés. La fabrication du papier, l’imprimerie, la boussole et la poudre sont les “quatre grandes inventions” de la Chine ancienne.

     

     

    En 221 avant J.-C., Qinshihuang fonda, dans l’histoire de Chine, le premier Etat féodal au pouvoir centralisé, sous le nom de dynastie des Qin. A partir de cette époque et jusqu’en 1911, la Chine connut la succession de nombreuses dynasties, comme celles des Han, Tang, Song, Yuan, Ming et Qing.

    La révolution de 1911, dirigée pas Sun Yat-sen, renversa la dynastie des Qing, mit fin au régime monarchique qui avait duré plus de 2000 ans et établit le gouvernement provisoire de la République de Chine.

    Le 1er octobre 1949, a été fondée la République populaire de Chine. Depuis l’application récente de la politique de réforme et d’ouverture, la Chine cherche à développer une économie de marché socialiste et définit petit à petit une voie de

     

    modernisation socialiste à la chinoise.

     


     

     

    Population
    La Chine est peuplée de plus de 1,2 milliard d’habitants, soit 22% de la population mondiale. Pour contrôler la forte croissance démographique, le gouvernement appli­que depuis les années 70 le planning familial.

     


     

    Ethnies
    La Chine est un pays unifié et pluriethnique comprenant 56 nationalités. A côté des Han qui représentent environ les 92% de la popu­lation totale, on compte 55 minorités ethniques: mongole, hui, tibétaine, uygur, miao, yi, zhuang, buyi, coréenne, mandchoue, dong, yao, bai, tujia, hani, kazak, dai, li, lisu, wa, she, gaoshan, lahu, shui, dongxiang, naxi, jingpo, kirghise, tu, daur, mulao, qiang, bulang, salar, maonan, gelao, xibo, achang, pumi, tajik, nu, uzbek, russe, ewenki, de’ang, bao’an, yugu,jing,

     

    tatar, drung, oroqen, hezhe, menba, luoba et jino. Toutes ces nationalités jouissent des mêmes droits.

     


     

     

    Religions
    En Chine, il existe différentes religions, dont les plus importantes sont le taoïsme, le bouddhisme, l’islam, le catholicisme et le protestantisme. Le gouvernement chinois respecte la liberté de croyances, et les activités religieuses normales sont protégées par la Constitution.

    Langues et écritures Le chinois est la langue communément utilisée en Chine, mais la plupart des minorités ethniques ou

    des provinces ont leur propre dialecte. L’écriture chinoise est très ancienne.


     

     

    Noms de famille
    Les noms des familles chinoises remontent à la plus haute antiquité. On en compte environ 5000, dont quelque 300 sont les plus usités. Contrairement aux habitudes occidentales, le nom de famille est suivi du prénom.

     


     

    Division administrative
    Sur le plan administratif, la Chine est divisée en 23 provinces : Hebei, Shanxi, Liaoning, Jilin, Heilongjiang, Shaanxi, Gansu, Qinghai, Shandong, Jiangsu, Zhejiang, Anhui, Jiangxi, Fujian, Taiwan, Henan, Hubei, Hunan, Guangdong, Sichuan, Guizhou, Yunnan et Hainan; 5 régions autonomes : Mongolie intérieure, Ningxia, Xinjiang, Guangxi et Tibet; 4 municipalités relevant de l’autorité centrale : Beijïng, Tianjin, Shanghai et Chongqing et 2 régions administratives

     

    spéciales : Hongkong et Maeao. Au-dessous de l’échelon de province, c’est l’échelon de district (municipalité). Encore au-dessous, c’est l’échelon de canton.

    Deux régions administratives spéciales: Hongkong et Macao.

     


     

     

    Capitale
    Beijing: Elle est non seulement le centre politique, économique et culturel de la Chine, mais aussi une ville historique en plein développement.

     

     
     

     

    sources  http://www.otchine.com/A_propos_de_la_Chine.htm

      

      


  • Exploration des « pyramides de la civilisation des ethnies han et tibétaine »

    sur le plateau Qinghai-Tibet

      

    Une tombe ancienne de Reshui.

    Une tombe ancienne de Reshui.

      

      

    En roulant 140 km sur la route Qinghai-Tibet vers l'ouest depuis le célèbre lac salé Chaka, on arrive à Dulan, un bourg historique et culturel. C'était un lieu incontournable sur la Route de la soie méridionale. Il dépendait du royaume antique de Tuguhun, durant la période des dynasties du Sud et du Nord (420-581).

      

      

    A Dulan, on ne peut pas manquer d'explorer les « pyramides de la civilisation des ethnies han et tibétaine », qui sont en réalité un ensemble de tombes anciennes situées dans le canton de Reshui, à 30 km du chef-lieu de Dulan. Cette appellation vient de l'envergure de l'ensemble des tombes, de leur grand nombre, et de la grande quantité d'objets découverts au cours des fouilles. Ces objets anciens étaient originaires de la Plaine centrale, Tubo et Tuguhun, dans l'antiquité. Comme un monument historique, l'ensemble des tombes de Reshui témoigne du mélange des ethnies han, tibétaine et d'autres depuis des milliers d'années, selon Xu Xingguo, expert de l'institut d'archéologie de la province du Qinghai.

      

      

    La rivière de Chahan Wusu serpente dans la vallée de Reshui entourée par des montagnes, dans lesquelles des milliers de tombes anciennes reposent paisiblement. Dans un rayon de 200 km allant de Xiariha à Balong se trouvent plus de 2 000 tombes anciennes de différentes tailles, dont 200 rien que dans la vallée de Reshui, explique Mao Lansheng, chef du service de gestion des vestiges du district de Dulan.

     

    L'ensemble des tombes anciennes de Reshui.

    L'ensemble des tombes anciennes de Reshui.

      

      

    On suppose que la plus grande des tombes est celle du roi Tuguhun. À flanc de montagne, le tombeau royal ressemble à un aigle déployant ses ailes. Il comprend un tumulus et une chambre mortuaire.

      

    Le royaume de Tuguhun a maintenu sa capitale dans le district de Dulan pendant 271 ans, de 417 à 688, et était un lieu important reliant la Plaine centrale à Tubo. Selon Xu Xinguo, pendant longtemps après le VIIe siècle, le Corridor de Hexi a été bloqué à cause de guerres, et seul le chemin passant par Chaidamu au sud était praticable. Basé autour du lac de Qinghai, le royaume de Tuguhun a bâti des châteaux et des postes de relais, tout en organisant des échanges commerciaux et en entretenant la Route de la soie. C'est ainsi qu'il assuma une grande responsabilité dans les contacts entre l'Orient et l'Occident.

      

    Selon Xu Xingguo, des milliers d'étoffes de soie de couleurs vives et aux motifs clairs ont été découvertes dans les tombes de Reshui. « Tant les chambres mortuaires que les objets anciens exhumés sont du style de la dynastie Tang (618-902) », affirme Xu. « Presque toutes les grandes tombes comprennent des chambres antérieures, postérieures et latérales, une structure de mausolée utilisée par l'ethnie han depuis la dynastie des Han (206 av. J.-C. -220). Le tombeau du roi Tuguhun ressemble particulièrement à une tombe des Han découverte à Beijing. Cela signifie qu'à cette époque-là, cette structure de mausolée était largement utilisée au sein de la communauté tibétaine et dans les tribus de Tuguhun. 80 % des objets anciens exhumés sont des soies ornées de motifs d'oiseaux et de bêtes. D'autres articles comme des pièces de monnaie et des miroirs portent des caractères chinois ».

      

      

    Le centre de préservation culturelle de Tuguhun à Dulan est en cours d'agrandissement pour une présentation détaillée de 200 trésors découverts dans les tombes, afin de faire mieux connaître la diffusion des cultures de différentes ethnies sur le plateau Qinghai-Tibet.

      

    « Nous espérons que l'ensemble des tombes deviendra une fenêtre de connaissance sur les cultures tibétaine, han, de Tuguhun, et même sur les contrées occidentales », souligne Mao Lansheng.

      

     

     
      
      
      
      
      
     
      
     

  • Population et ethnies
     
         
     
     
     

          La population chinoise comprend 56 ethnies identifiées. La population des diverses ethnies connaît de grands écarts ; les Han sont beaucoup plus nombreux, et les 55 autres groupes sont appelés « ethnies minoritaires ».

          Selon une enquête effectuée au moyen de sondages auprès de 1 % de la population du pays en 2005, la population totale des 55 ethnies minoritaires était de 123,33 millions, représentant 9,44 % de la population nationale. Parmi les ethnies minoritaires, 18 comptent plus d'un million de personnes, dont les Zhuang, environ 16,1788 millions, sont les plus nombreux, alors que les Luoba, seulement 3 000, sont au bas de l'échelle.

          Les Han se trouvent sur tout le territoire du pays, mais la plupart vivent dans les bassins du Huanghe (fleuve Jaune), du Changjiang (Yangtse) et de la rivière des Perles et dans la plaine de Songhua-Liaohe. Les ethnies minoritaires, malgré leur faible proportion, sont dispersées sur plus de 60 % du territoire national. Depuis longtemps, les Han et les ethnies minoritaires gardent des liens politiques, économiques et culturels étendus, formant ainsi des relations d'interdépendance et de développement commun. Toutes les ethnies du pays ont apporté leur contribution à la fondation d'un pays multiethnique unifié, à la création de la longue et brillante civilisation chinoise et à l'histoire de la Chine.

        

      

      Les ethnies

          Selon le cinquième recensement national effectué en 2000 :

         

    Han : Presque 1,2 milliard, les Han constituent la principale ethnie de la Chine. Les grandes masses sont regroupées dans les bassins du Huanghe (fleuve Jaune), du Changjiang (Yangtse) et de la rivière des Perles, mais on trouve des Han dans presque toutes les régions. La langue chinoise est généralement utilisée par les Han comme par la plupart des ethnies minoritaires.

         

    Mongols : Au nombre de 5,8139 millions, ils vivent pour la plupart dans la région autonome de Mongolie intérieure (3,9953 million, soit 68, 7 % de la totalité). De plus, les régions qui comptent plus de 100 000 Mongols sont le Hebei, le Liaoning, le Jilin, le Heilongjiang et la région autonome ouigoure du Xinjiang. Jadis nomades, les Mongols se sont sédentarisés pour la plupart. Ils ont leurs propres langue et écriture.

         

    Hui : Quelque 9,8168 millions, répartis principalement dans la région autonome hui du Ningxia (1,8625 million, soit 18,9 % de la totalité). De plus, les régions où habitent plus de 200 000 Hui sont Beijing, le Hebei, la région autonome de Mongolie intérieure, le Liaoning, l'Anhui, le Shandong, le Henan, le Yunnan et la région autonome ouigoure du Xinjiang. Les Hui pratiquent l'islam.

         

    Tibétains :

    Parmi les quelque 5,416 millions de Tibétains, 2,4272 millions vivent dans la région autonome du Tibet, soit 52,84 %. Les autres sont dispersés dans le Sichuan, le Gansu, le Qinghai et le Yunnan. Ils pratiquent le bouddhisme tibétain (ou lamaisme) et utilisent la langue et l'écriture tibétaines.

         

    Ouigours : Parmi les quelque 8,3984 millions de Ouigours, 8,3456 millions vivent principalement dans la région autonome ouigoure du Xinjiang, soit 99,36 %. Ils pratiquent l'islam et utilisent généralement la langue et l'écriture ouigoures.

       

      

    Miao : Environ 8,9401 millions, les Miao vivent principalement dans la province du Guizhou (4,2999 millions, soit 48,1 %). Les régions où habitent plus de 100 000 Miao sont les provinces du Yunnan, du Hunan, du Hubei, du Guangdong, du Sichuan, la municipalité de Chongqing et la région autonome zhuang du Guangxi. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Yi : Une des ethnies anciennes de la Chine, elle compte quelque 7,7623 millions de personnes concentrées principalement dans les provinces du Yunnan, du Sichuan et du Guizhou et dans le nord-ouest de la région autonome zhuang du Guangxi. Les Yi ont leurs propres langue et écriture.

         

    Zhuang : C'est l'ethnie minoritaire la plus nombreuse avec quelque 16,1788 millions de membres dont au moins 14,2071 millions vivent dans la région autonome zhuang du Guangxi, soit 87,81 %. Les régions peuplées de plus de 100 000 Zhuang sont les provinces du Yunnan et du Guangdong. Dans les provinces du Guizhou, de Hainan, du Hunan et du Hebei, la population des Zhuang est supérieure à 10 000. Ils utilisent la langue zhuang et les écritures zhuang et chinoise.

         

    Buyei : Les Buyei sont au nombre de 2,9715 millions et vivent principalement dans le sud de la province du Guizhou ; les autres vivent dans les provinces du Yunnan, du Sichuan et la région autonome zhuang du Guangxi. Ils utilisent la langue buyei et les écritures buyei et chinoise.

         

    Coréens : Plus de 1,9238 million, ils sont principalement concentrés dans le département autonome coréen de Yanbian au Jilin, et d'autre part, disséminés dans le Heilongjiang, le Liaoning et la Mongolie intérieure. Ils utilisent leurs propres langue et écriture.

         

    Mandchous : Au nombre de quelque 10,6823 millions, ils forment la deuxième grande ethnie minoritaire de Chine après les Zhuang. Ils sont principalement concentrés dans le nord-est du pays surtout dans la province du Liaoning et, en petit nombre, dispersés dans certaines moyennes et grandes villes.

         

    Dong : Leur population de 2,9603 millions vit principalement dans les provinces du Guizhou, du Hunan et la région autonome zhuang du Guangxi. Ils utilisent la langue dong et les écritures dong et chinoise.

         

    Yao : Disséminés principalement dans le Guangxi, le Hunan, le Yunnan, le Guangdong, le Guizhou et le Jiangxi, les Yao sont au nombre de 2,6374 millions. Ils possèdent leur propre langue qu'ils utilisent en combinaison avec l'écriture chinoise.

         

    Bai : 1,8581 million de personnes dont la plupart vivent dans le département autonome bai de Dali au Yunnan; une minorité de Bai sont dispersés dans le Guizhou, le Sichuan, le Hunan. Ils pratiquent le bouddhisme et utilisent la langue bai et l'écriture chinoise.

         

    Tujia : Ils sont au nombre de 8,0281 millions. La plupart sont disséminés dans le département autonome tujia et miao de Xiangxi du Hunan et le département autonome tujia et miao de Enshi du Hubei ; les autres sont concentrés dans le Sichuan et le Guizhou. Ils utilisent la langue tujia et l'écriture chinoise.

         

    Hani : Concentrés principalement dans les régions montagneuses entre la rivière Rouge et le fleuve Lancang, dans le sud du Yunnan, ils vivent d'agriculture et ont une population de 1,4397 million. Ils cultivent des « champs en terrasses », et ont leurs propres langue et écriture.

         

    Kazakhs : Quelque 1,2505 million, dont 99,57 % concentrés au Xinjiang, et une minorité dispersée dans le Gansu et le Qinghai. Ils pratiquent l'islam et possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Dai : Vivant à Xishuangbanna et dans d'autres régions du Yunnan, leur population de 1,159 million pratique le bouddhisme du « Petit Véhicule ». Les Dai utilisent leurs propres langue et écriture ainsi que les caractères chinois.

         

    Li : D'une population de 1,2478 million, ils sont installés principalement dans les régions centre et sud de la province de Hainan. Ils utilisent leurs propres langue et écriture ainsi que les caractères chinois.

         

    Lisu : Au nombre d'environ 634 900, ils vivent principalement dans le nord du Yunnan et les régions limitrophes du Yunnan et du Sichuan. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Wa : D'environ 396 600 personnes, la population est répartie dans le sud-ouest du Yunnan. Les Wa possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    She : D'une population de 709 600, ils sont disséminés principalement dans les régions montagneuses du Fujian et du Zhejiang du sud-est du pays, et en minorité dans le Jiangxi, le Guangdong et l'Anhui. Ils utilisent la langue chinoise.

         

    Gaoshan : Environ 400 000 concentrés principalement dans la région montagneuse du centre et la plaine de l'est de la province de Taiwan. Ils forment la première grande ethnie minoritaire de Taiwan, avec un petit nombre de personnes dispersées dans le Fujian et le Zhejiang. Ils possèdent leur propre langue.

         

    Lahu : Ils vivent surtout dans le bassin du Lancang situé au sud-ouest du Yunnan. Population de plus de 453 700. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Sui : Plus de 406 900, concentrés principalement dans le sud-est du Guizhou et la partie ouest du Guangxi. Ils utilisent la langue shui et l'écriture chinoise.

         

    Naxi : Une population de 308 800, ils vivent principalement dans la région de Lijiang au Yunnan. L'écriture dongba, créée par cette ethnie il y a plus d'un millénaire, est considérée comme l'unique écriture hiéroglyphique parfaitement conservée dans le monde actuel. Ils utilisent la langue naxi et l'écriture chinoise.

         

    Dongxiang : Des 513 800 membres de cette ethnie, la plupart vivent dans le Gansu, et une petite partie dans le Qinghai, le Ningxia et le Xinjiang. Ils utilisent la langue dongxiang et l'écriture chinoise.

         

    Jingpo : Quelque 132 100. Cette ethnie habitait à l'origine le sud du plateau Qinghai-Tibet et s'est déplacée progressivement vers le sud jusqu'à l'ouest du Yunnan. Elle possède ses propres langue et écriture.

         

    Blang : Plus de 91 900 qui vivent principalement dans le district de Menghai du département autonome dai de Xishuangbanna au Yunnan. Ils utilisent la langue blang et l'écriture chinoise.

         

    Kirgiz : Une ethnie de 160 800 personnes, passée de la vie nomade à la vie sédentaire, finalement fixée dans le sud-ouest du Xinjiang. Ils utilisent leurs propres langue et écriture.

         

    Tu : Plus de 241 200, installés principalement dans l'est du Qinghai. Ils utilisent la langue tu et l'écriture chinoise.

         

    Daur : D'une population de 132 400, cette ethnie réside principalement sur les deux rives du Nenjiang dans le nord-est du pays et la région de Tacheng au Xinjiang. Ils utilisent la langue daur et l'écriture chinoise.

         

    Mulam : De leur population de 207 400, 90 % sont concentrés dans le district autonome mulam de Luocheng au Guangxi. Ils utilisent la langue mulam et l'écriture chinoise.

         

    Qiang : Une ancienne ethnie minoritaire. Dans des inscriptions sur carapaces et sur os de l'époque de Yin (il y a 3 000 ans), les Qiang sont mentionnés. Comptant une population de plus de 306 100 actuellement, cette ethnie est principalement concentrée dans les districts de Maowen du département autonome tibétain et qiang de Aba au Sichuan. Ils utilisent la langue qiang et l'écriture chinoise.

         

    Salar : Ils sont répartis principalement entre le Qinghai et certaines régions du Gansu et du Xinjiang et ont une population de quelque 104 500. Ils utilisent la langue salar et l'écriture chinoise.

         

    Tadjiks : Une population de 41 000, qui résident sur le plateau du Pamir au sud-ouest du Xinjiang. Ils vivent d'élevage et d'agriculture. Ils utilisent la langue tadjike et l'écriture ouigoure.

         

    Maonan : L'ethnie a une population de 107 200 principalement concentrée dans le district de Huanjiang du nord-ouest du Guangxi. Ils utilisent la langue maonan et l'écriture chinoise.

         

    Gelao : Une population de 579 400 principalement établie dans le district autonome Gelao de Wuchuan de la province du Guizhou et le district autonome Gelao et Miao de Daozhen de la même province. Les autres sont disséminés dans le Yunnan et le Guangxi. Ils utilisent la langue gelao et l'écriture chinoise.

         

    Xibe : 188 800 personnes principalement disséminées dans le district autonome Chabuchaer et Xibe de la préfecture de Ili au Xinjiang, le Liaoning, le Jilin et le Heilongjiang. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Achang : Population de 33 900, ils résident dans les districts de Longchuan et Lianghe du département autonome dai et jingpo de Dehong au Yunnan. Ils ne se mêlent pas aux Dai et aux Han, utilisent la langue achang et l'écriture chinoise.

         

    Pumi : Venus de la région nord-ouest du pays, ils se sont finalement fixés dans les régions montagneuses du nord-ouest de la province du Yunnan et ont une population de 33 600. Ils utilisent la langue pumi et l'écriture chinoise.

         

    Nu : Plus de 28 800, ils vivent sur les deux rives du fleuve Nu au Yunnan et cohabitent avec les autres ethnies minoritaires. Ils utilisent la langue nu et l'écriture chinoise.

         

    Ouzbeks : Plus de 12 400 répartis dans le sud et le nord du Xinjiang. Ils vivent en harmonie avec les Ouigours et les Kazakhs. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Russes : En Chine, ils sont au nombre de 15 600, installés principalement dans la préfecture de Ili et les villes de Tacheng et d'Urumqi au Xinjiang, et une partie d'entre eux est répartie dans le Heilongjiang et la Mongolie intérieure. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Ewenki : Population de plus de 30 500 personnes principalement concentrée dans la ligue de Hulun Buir de Mongolie intérieure et certaines régions du Heilongjiang. Cette nationalité est aussi la seule qui fait l'élevage du renne dans le pays. Ils parlent leur propre langue, utilisent les écritures mongole et chinoise.

         

    Bonan: Leur population de 16 500 vit dans le Gansu. Il s'agit d'une nouvelle ethnie qui s'est formée depuis la dynastie des Yuan par le mariage entre les Mongols musulmans, les Hui, les Han, les Tibétains et les Tu. Ils utilisent la langue bonan et l'écriture chinosie.

         

    De'ang : Au nombre de 17 900, ils habitent principalement le Yunnan et utilisent la langue de'ang et l'écriture chinoise.

         

    Yugur : Une population de 13 700 principalement concentrée dans le district autonome yugur de Sunan et le canton yugur de Huangnibao de la ville de Jiuquan du Gansu. Ils utilisent la langue yugur et l'écriture chinoise.

         

    Tatars : 4 900 personnes qui vivent dans les villes de Yining, de Tacheng et d'Urumqi au Xinjiang et pratiquent l'islam. Ils possèdent leurs propres langue et écriture.

         

    Luoba : D'une population de 3 000, les Luoba sont l'ethnie la moins nombreuse de la Chine. Installés principalement dans la région de Nyingchi au Tibet. Ils utilisent leur propre langue et les écritures tibétaine et chinoise.

         

    Jino : D'une population de 20 900, ils vivent dans le canton des Jino de la ville de Jinghong relevant du département autonome dai de Xishuangbanna au Yunnan. Ils utilisent la langue jino et l'écriture chinoise.

         

    Derung : D'une population d'environ 7 400, ils vivent principalement sur les deux rives du fleuve Dulong à l'ouest du Yunnan. Ils utilisent la langue derung et l'écriture chinoise.

         

    Oroqen : Au nombre de 8 200, ils sont principalement concentrés dans la ligue de Hulun Buir en Mongolie intérieure. Ils utilisent la langue oroqen et l'écriture chinoise.

         

    Hezhe : Population de 4 600, qui vit principalement à l'est du Heilongjiang et sur les deux rives du Heilongjiang et du Wusuli. C'est aussi l'unique ethnie vivant de la pêche au pays. Ils utilisent la langue hezhe et l'écriture chinoise.

         

    Monba : Environ 8 900, principalement concentrés dans les districts de Medog et de Cona, au Tibet. Ils possèdent leur propre langue et utilisent l'écriture tibétaine.

         

    Gin : Au nombre de plus de 22 500, les Gin vivent principalement dans quatre villages de la région de Fangchenggang au Guangxi. Ils possèdent leur propre langue et utilisent l'écriture chinoise.

      

      

     


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    Les Pumi qui regroupent plus de 32.000 personnes, sont concentrés dans les districts de Lanping, Lijiang, Weixi et Yongsheng de la province du Yunnan, de même que dans le district autonome yi de Ninglang. Certains autres vivent au Sichuan. Ils habitent surtout dans des régions de hautes montagnes.
     

      

      

    Selon les légendes et les registres historiques, les ancêtres des Pumi appartenaient à une tribu nomade qui circulait sur le plateau Qinghai-Tibet. Leurs descendants se seraient déplacés vers les régions plus chaudes et plus verdoyantes de la chaîne des Hengduan. À partir du XIIIe siècle, les Pumi se sont peu à peu sédentarisés. Depuis lors, ils cultivent la terre et font de l'élevage, surtout de bétail et de moutons. L'agriculture occupe la place prédominante de leur économie, surtout la culture du maïs, du blé, des fèves, de l'orge, de l'avoine et du sarrasin.
     

      

      

      

    Chez les Pumi, les activités autres que celles liées à l'agriculture incluent la fabrication de pulls en laine, d'articles en lin et en bambou, la transformation de l'alcool et des herbes médicinales. La chasse, l'apiculture, l'élevage de volailles et de porcs sont aussi des occupations courantes. De nouvelles industries ont également été édifiées : traitement du fer et du sel et exploitation de mines d'aluminium. Certains Pumi excellent dans l'artisanat : les bols en bois laqués du district de Ninglang sont particulièrement renommés pour la finesse de leur artisanat.
     

    Les Pumi parlent une langue qui appartient à la famille des langues sino-tibétaines. Autrefois, ils utilisaient des caractères tibétains, mais habituellement pour des raisons religieuses. Peu à peu, ils ont délaissé les caractères tibétains et utilisent maintenant les caractères chinois.

      

    Les villages pumi sont habituellement parsemés à moins de 500 mètres les uns des autres et ils sont bâtis sur des versants de montagne peu abrupts. Les Pumi construisent leur maison en bois, et celle-ci comporte le plus souvent deux étages, l'étage inférieur pour les animaux et l'étage supérieur pour les personnes. Les activités familiales ont généralement lieu autour du foyer, placé au centre de la grande salle de l'étage supérieur.
     

      

      

      

    Histoire.

    Selon les légendes et les registres historiques, les ancêtres des Pumi appartenaient à une tribu nomade qui circulait sur le plateau Qinghai-Tibet. Leurs descendants se seraient déplacés vers les régions plus chaudes et plus verdoyantes de la chaîne des Hengduan. Au VIIe siècle, les Pumi vivaient dans les régions de Yuexi, Mianning, Hanyuan, Jiulong et Shimian du Sichuan, et ils formaient l'un des groupes ethniques les plus importants de la préfecture de Xichang. À partir du XIIIe siècle, les Pumi se sont peu à peu sédentarisés. Depuis lors, ils cultivent la terre et font de l'élevage, surtout de bétail et de moutons. L'agriculture occupe la place prédominante de leur économie, surtout la culture du maïs, du blé, des fèves, de l'orge, de l'avoine et du sarrasin.

      

      

      

    Exploitation.

    Chez les Pumi, les activités autres que celles liées à l'agriculture incluent la fabrication de pulls en laine, d'articles en lin et en bambou, la transformation de l'alcool et des herbes médicinales. La chasse, l'apiculture, l'élevage de volailles et de porcs sont aussi des occupations courantes. De nouvelles industries ont également été édifiées : traitement du fer et du sel et exploitation de mines d'aluminium. Certains Pumi excellent dans l'artisanat : les bols en bois laqués du district de Ninglang sont particulièrement renommés pour la finesse de leur artisanat.

      

      

      

      

    Habitation.

    Les villages pumi sont habituellement parsemés à moins de 500 mètres les uns des autres et ils sont bâtis sur des versants de montagne peu abrupts. Les Pumi construisent leur maison en bois, et celle-ci comporte le plus souvent deux étages, l'étage inférieur pour les animaux et l'étage supérieur pour les personnes. Les activités familiales ont généralement lieu autour du foyer, placé au centre de la grande salle de l'étage supérieur.

      

      

      

      

    Alimentation.

    Chew les Pumi, l'alimentation de base est constituée de maïs, mais les Pumi mangent également du riz, du blé et de l'orge des plateaux. Les fruits et légumes sont limités au chou, aux carottes, aux aubergines et aux melons. L'un des plats favoris des Pumi est la « viande pipa »-- une sorte de porc salé enveloppé dans une couenne de porc qui épouse la forme d'un pipa, un instrument à cordes chinois. Ils aiment également le tabac, le thé et l'alcool. En fait, l'alcool est utilisé à la fois pour les rites sacrificiels et comme cadeau.

     L'un des plats favoris des Pumi est la « viande pipa »-- une sorte de porc salé enveloppé dans une couenne de porc qui épouse la forme d'un pipa, un instrument à cordes chinois. Ils aiment également le tabac, le thé et l'alcool. En fait, l'alcool est utilisé à la fois pour les rites sacrificiels et comme cadeau.

      

    Habillement.

      

    Les femmes de Ninglang et de Yongsheng enserrent souvent leur tête d'un grand mouchoir, et dans leurs cheveux tressés, elles insèrent des poils de queue de yak et des fils de soie. Les tresses sont considérées comme une belle parure, et plus elles sont grosses, plus elles sont appréciées. Habituellement, les femmes portent des vestes boutonnées sur le côté, de longues jupes à plis, de larges ceintures multicolores et une peau de chèvre qu'elles drapent dans leur dos.

      

    Dans les régions de Lanping et de Weixi, les femmes aiment porter le pantalon, des vestes vertes, bleues ou blanches à manches longues, sous une autre veste sans manches, et des ceintures brodées. Elles se parent de boucles d'oreilles et de bracelets en argent.

      

      

      

    Les hommes portent des vêtements semblables : des vestes en lin, un pantalon ample et des vestes sans manches en peau de chèvre. Les plus riches portent des manteaux en laine. La plupart transportent une épée.

     

      

    Etant des descendants de nomades, les enfants Pumi doivent à l'age de 13 ans participer à une cérémonie censée marquer leur passage à l'âge adulte. Cette journée a une importance particulière pour les enfants de mon ethnie. Car une fois terminée la cérémonie, ils sont considérés comme des adultes. Les membres de la famille s'assoient autour du feu, devant lequel se trouve une colonne sacrée. Les enfants piétinent des sacs pleins de céréales, symbole d'une vie future prospère. Les garçons tiennent à la main un couteau et des taëls d'argent, et les filles des bracelets ou des étoffes... C'est pour elles le signe qu'elles sont adroites.

      

     

      

     

    Les Pumi sont de confession Dongba, une religion primitive. La légende raconte que Dongba est une déesse ravissante, vêtue tout de blanc et conduisant un cheval de la même couleur. Elle ne boit, en plus de l'eau, que du lait de vache ou de brebis mais ne mange jamais de céréales. Fondée par une personne nommée Dongba, cette religion établit que tous les éléments de la nature tels que les monts, les cours d'eaux, les plantes et autres..., ont une âme. Et que si l'on rencontre une difficulté, c'est qu'elle a été engendrée par les démons. On fait donc des cérémonies pour chasser les mauvais esprits.

     

  •   Jillian Mitchell

    Photographe JULLIAN MITCHELL

    son merveilleux blog

    http://www.imagesbyjillian.com/2011/09/03/fengjie-before-destruction-in-2002/

      

     

    Bonjour,

     

    Je suis un photographe professionnel actuellement basé à Yangshuo, en Chine et un voyageur fréquent dans toute la région.

     

    Ma spécialité est le voyage et la photographie d'art, mais je suis aussi un éditorial très forte, l'architecture, des entreprises et le tireur de mariage à cause de ma passion pour l'artisanat, de nombreuses années d'expérience et une formation officielle de photographie à l'Institut de Technologie de Sydney, en Australie.

     

    Mon travail a été présenté dans un large éventail de publications internationales ainsi que dans une vaste gamme de matériel publicitaire et de sites Web.

     

    En plus de cette collection en ligne j'ai aussi des charges d'images des années de tournage sur le film qui n'ont pas encore été numérisés, et je suis également disponibles pour des missions à peu près n'importe où!

     

    Si vous souhaitez acheter une de mes images s'il vous plaît n'hésitez pas à nous contacter.

     

    Jillian Mitchell

     

      

    Une ville antique avec une histoire de quelque 2000 ans assis à l'entrée de la gorge de Qutang imprenable sur la rive nord du fleuve Yangtze, en Chine, Fengjie a été l'un des premiers à être détruites pour faire place au projet du barrage des Trois Gorges.

    Cette série d'images a été prise en Juillet 2002 mois à peine avant le déménagement définitif de résidents du centre ville nouvelle et la vaporisation de la vieille ville.

      

    Fengjie - destruction avant en 2002

     

    Fengjie - un ensemble de ville de la destruction

    Fengjie - un ensemble de ville de la destructionFengjie - un ensemble de ville de la destruction

    Fengjie - un ensemble de ville de la destructionFengjie - un ensemble de ville de la destructionFengjie - un ensemble de ville de la destructionFengjie - un ensemble de ville de la destruction

     



     

     

     


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    Huashan peintures rupestres, Guangxi, Chine

      

    Enveloppé de mystère, les peintures rupestres anciennes de Huashan ont été créées il ya 2000 ans par le peuple Luoyue, les ancêtres de la minorité Zhuang moderne.

    Accessible en bateau, le voyage le long du fleuve Ming est un préambule panoramique qui vous permet de prendre dans le collimateur de la vie rurale le long du chemin.Les habitants glissent sur les radeaux de bambou traditionnelle entre les banques fluviales fertiles parsemées de petits jardins maraîchers bien entretenus, tous apparemment cernée par les champs du paysage karstique de canne à sucre et montagneux.

    Beaucoup des faits entourant ces images rudimentaires restent floues.Comme la façon dont les peintures ont été réalisées sur la falaise face à au moins 70 mètres du sol, et pourquoi les images restent étonnamment vives après une couple de mille ans?

    Contemplant le haut, résident local et mon chauffeur pour la journée, Liu Hui était perplexe: «Je peux les voir, mais je ne comprends pas ce qu'ils veulent dire».Une telle opinion a été exprimée par beaucoup, y compris les experts qui ont été incapables d'interpréter de manière décisive le sens de cette peintures rupestres antiques.

    Les peintures rupestres sont Huashan meilleure accessible par bateau à partir de Ningming ou Panlong proximité.L'entrée est Y80, mais le coût de transport par bateau est en plus de cela et est facturé sur une base par bateau, en solo pour voyager peut finir par une cher.Les bus publics et les trains sont disponibles pour Ningming.

      

    SOURCES : super blog.. " l'écrivain de voyage paresseux "  

    http://www.thelazytravelwriter.com/2011/06/30/huashan-rock-paintings-guangxi-china/

      

      

     

      

     


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    Chaozhou sculpture sur bois, répartis sur Chaoshan dans le sud de la Chine la province du Guangdong et est populaire dans les villes comme Chao'an, Jieyang, Chaoyang, Puning, et Raoping, qui ont tous été dans l'ancienne préfecture de Chaozhou.Pour cette raison, le style de la sculpture a été appelé de sculpture sur bois de Chaozhou.Avec la sculpture sur bois de Dongyang dans la province du Zhejiang, il est l'un des deux grandes écoles de sculpture sur bois traditionnelle.

      

      

      

    Chaozhou sculpture sur bois a été développé à partir d'un bois, l'architecture robuste sculpture à la sculpture fine pour les articles d'usage quotidien, comme des écrans suspendus, écrans debout, tables sanctuaire, les armoires de thé, et brûler de l'encens tableaux.Parmi tous les articles, la sculpture sur bois de la table sanctuaire est le plus raffiné.

      

      

      

      

    À Chaozhou, la crête, arasement et la paroi extérieure de la maison sont toujours décorés de sculptures en brique ou pierre à sculpter, mais les sculptures sur bois sont installés sur les linteaux et les chapiteaux des portes, des fenêtres et les couloirs avant.Comme pour les meubles tels que des paravents, tables, lits, armoires et lampwicks sont toutes décorées avec des sculptures sur bois.Dans le passé, sculptures sur bois ont été très fréquemment trouvée dans des articles utilisés dans les cérémonies sacrificielles telles que des tabernacles et des bougeoirs.

      

      

    Sculpture sur bois Choazhou a commencé dès la dynastie des Tang (618-907), et s'est développée rapidement dans les Song (960-1279) et Ming (1368-1644) dynasties.Elle atteignit son apogée sous la dynastie des Qing (1644-1911).A la fin de la dynastie des Qing et le début de la République de Chine, chinois à l'étranger sont revenus dans les inondations de construire de nombreux temples ancestraux et des maisons magnifiques.Ils ont utilisé une grande partie de la sculpture sur bois de Chaozhou dans leurs splendides édifices.La plupart des sculptures en bois d'aujourd'hui sont de cette époque.

      

      

      

    Bois local est utilisé pour la sculpture sur bois de Chaozhou. Bien sûr, le choix du bois varie selon la sculpture sur bois.Par exemple, sculptures sur bois utilisé dans l'architecture sont toujours faites de sapins et de sculptures en bois utilisés dans les meubles sont toujours faites de camphre.

      

      

    Chaozhou sculpture sur bois est étroitement liée à la vie des gens ordinaires et de leurs sentiments et leurs goûts.Ses thèmes proviennent généralement de la mythologie, les légendes, les drames et récits historiques populaire parmi le peuple.Dans le même temps, ces choses comme les fleurs, les animaux et les modèles géométriques sont aussi des thèmes de la sculpture sur bois de Chaozhou.

      

      

      

    Il est célèbre pour être gravé dans les différentes couches, avec des décorations dorées exagérées qui sont brillants et exquis.

      

      

    Chaozhou sculpteurs sur bois utilisent une variété de méthodes, y compris: la sculpture relief, la sculpture concave, la sculpture circulaire, et la sculpture avec pénétration.Méthodes pour l'or patcher comprennent la peinture noire vernie en or, décoration d'or à cinq couleurs et plus-totalité de l'or patcher.


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    Les grottes de Maijishan (麦积山 石窟) sont une série de 194 grottes taillées dans le flanc de la colline du Majishan à Tianshui, province du Gansu, au nord-ouest de la Chine.Cet exemple de l'architecture de coupe de roche contient plus de 7200 sculptures bouddhistes et plus de 1.000 mètres carrés de peintures murales.La construction a commencé tard dans la période des Qin (384-417 CE).

      

      

      

      

    Maijishan montagne est placé sur la première liste des clés de l'État par ses sites pittoresques grottes particulière, exquise sculptures en argile végétation luxuriante, toutes sortes géologies et les reliefs, pics montagneux.Son principal domaine est 142km2 dont Grottes Maijishan, le Cliff Immortel, la Porte de pierre, ruisseau Quxi et Jieting Hot Spring.Grottes Maijishan a d'abord été construit dans la suite des Qin (384-417.D) construites successivement au cours des 12 dynasties qui sont l'Ouest Qin, Wei du Nord, l'Ouest Wei, Zhou du Nord, des Sui, Tang, Cinq dynastie, Song, Yuan, Ming et Qing.

      

      

      

      

    Bien que nombreux tremblements de terre et de l'incendie, il reste encore 194 grottes, 7200 sculptures, 1000 carrés M fresque qui sont excatived sur la falaise d'environ 30-80m de haut forme le sol, plus de 70 pour cent étaient des grottes creusées dans la dynastie du Nord.Lorsque la sculpture d'argile ont été très populaires, bien en forme et d'art excellents, ils atteignent le point culminant des travaux de sculpture en début de période.

      

      

      

    Chaînes de Qinling dans la région pittoresque de la frontière sont grandes entre le Nord et la géographie la nature du Sud.Il ya deux zones de l'usine, la Chine et le Japon, la Chine et de l'Himalaya domaines.Ils comprennent la nature beaucoup de plantes de Chine du Nord, en Chine centrale, et l'Himalaya.

     

     

     

    Menxinduo plante supérieure 223 genres, 873 catégories, 2738 espèces, dont des plantes bryophytes a 53 genres, 98 catégories, 138 espèces, 21 genres Ptéridophytes, 43 catégories, 92 espèces, 141 genres angiospermes, 712 catégories, 2456 espèces, gymnospermes 8 genres, 20 catégories, 48 ​​espèces.Préserver Xyophyta 20 espèces dont metase quoia, kinkgo, écorce de pin blanc, etc rares plantes clé protégée énumérés par l'Etat dispose de 31 espèces, (1 niveau 1 espèce, deux de niveau 7 espèces, 23 espèces de niveau 3), la couverture atteint 76% de reboisement sauvages animaux, des oiseaux 12 classes, 34 genres, 95 espèces, bête 6 classes, 18 genres, 29 espèces, les animaux rares protégés par l'Etat, 6 classes.7 genres, 18 espèces.

      

      

      

      

      

    Les sites pittoresques réside dans l'articulation des chaînes Qinlin Qilian-Nord.

      

    Il fait géologies très compliqué et les reliefs dus à la circulation en Yinzi, Yanshan, et l'Himalaya.Flux chaud printemps et Quxi n'est roches métamorphiques.Maiji Mountain, le clitt lmmortal, est pourpre de roche de grès rouge, tandis que le granit Stone Gate.

      

    Ils ont la géologie et les différentes formes de relief dans la zone de petite, la forêt abondante et de fleurs, le flux et composer chute de plus de 180 sites pittoresques.Ils montrent l'abondance et la variété du paysage.La raison de la vanne globuleux protubérantes: Les grottes gardé sa sculpture amende de 12 dynasties féodales.Il possède musée de la sculpture à grande échelle avec 1600 ans.

      

      

      

    Il fournit du matériel précieux, la sculpture bonnettes, peinture, arts et artisanat, l'architecture et la religion comme le bouddhisme.La grotte construite en Amérique du Nord Wei (408-534A.D) jouent un rôle important pour sa longue histoire en Chine, même dans le monde, bien conservé et en forme, la figure animée.Il ya plus grand palais - la construction en forme de dynasties du nord de grottes chinois dans ces 21 grottes.

      

      

      

      

    Bulding dans le mur - peinture, les méthodes de compétences et de méthodes sont à la fois achevée la meilleure des œuvres importantes et précieuses.

      

    Ce matériau de construction abondant dans le nord de dynasties est l'illustration la plus précieuse et importante dans l'étude du nationalisme grottes, construction ancienne, et freseo.

      

    Il ya environ 2738 plus de végétation dans l'endroit pittoresque, dont 60 du genre du 3ème âge xylophta 20 genres, la végétation rare 31 et 18 genres d'animaux rares protégés par l'Etat.Il ya une telle abondance de biologie dans la zone de température chaude de 34 de latitude nord; ses variétés ont une signification typique.

     

    Usine Maijishan est accepté comme membre par l'UICN.

      

    Spectaculaire Maiji pointe, exquise d'argile dans la construction des temples sculpture sur la falaise, le relief particulier, près de l'unité de gaz clairs et d'une cascade de combiner tout naturellement constitué un paysage harmonieux de l'humanité et la nature.

     

    Recommandées Vidéo Grottes Maijishan

     

     

     


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    Mt. Taishan Sculptures de pierre se référer à des sculptures en Mt. Taishan, la prééminente parmi Chine Cinq montagnes sacrées.

    Situé dans le centre de la province du Shandong, le mont.Taishan sommets toutes les montagnes en Chine avec ses paysages naturels uniques et abondants vestiges culturels, tels que des œuvres d'art.Sculptures en pierre constitutive une partie significative du mont.Patrimoine culturel de Taishan.Il ya autant de morceaux de 1687 sculptures de pierre essentiellement éparpillant sur Dai Temple, Pond Divinité impératrice, le Temple de l'Illumination universelle, Sanyang temple taoïste et le Temple de printemps de Jade (Yuquan Si).

      

      

    Les sculptures en pierre premières en Mt.Taishan peut être datée de la dynastie des Qin (221 avant JC - 206 avant JC).En plus de 2200 années suivantes, excellents morceaux ont été continuellement ajoutés à la collection.Les sculptures de pierre varie types de scripts ainsi que des styles calligraphiques, grandioses ou de plaine, élégant ou vivace, alors faire Mt.Taishan un musée naturel pour le chinois sculpture sur pierre calligraphique.

      

      

    Inscrite par les empereurs, les hauts fonctionnaires et des célébrités, les sculptures sur pierre en Mt.Taishan sont doués avec une diction exquise, la calligraphie poli et artisanat délicat.Les sculptures de pierre incarnent le développement culturel de la nation chinoise dans l'histoire.


  • Les Blangs

     

     

     

    Les Blangs, dont on dénombre près de 90.000 individus, vivent principalement au mont Blang, dans la région du Xishuangbanna, dans la province du Yunnan.Les Blangs aiment bien manger des aliments aigres et piquants. Ils apprécient également boire du vin maison et fumer.

      

    Les femmes mâchent du bétel et considèrent comme belles les dents teintes en noir.Les Blangs vivent dans des maisons en bambou à étages. Le rez-de-chaussée sert d’étable et d’entrepôt pour les outils utilisés pour décortiquer le riz.

      

      

      

    À l’étage, on trouve les pièces qui servent d’habitat, et au milieu de la salle principale, il y a un foyer servant à chauffer, à faire la cuisine et fournir l’éclairage.

      

    Lorsqu’une famille décide de construire une maison, presque tous les villageois viennent donner un coup de main, de sorte que l’ouvrage est achevé en deux ou trois jours.Leurs instruments de musique préférés comprennent les tambours en patte d’éléphant, les cymbales et des instruments à trois cordes.

      

      

      

      

    La danse préférée des Blang est celle du Couteau, très énergique.Les hommes portent une veste sans col, boutonnée sur le devant, et un pantalon noir ample. Ils se coiffent d’un turban noir ou blanc. Selon la coutume, ils tatouent leurs membres, leur poitrine et leur ventre.

      

    Les femmes blang, comme leurs voisines dai, portent une veste cintrée sans col et une jupe étroite noire ou avec des rayures. Elles nouent leurs cheveux en chignon et les couvrent de différentes épaisseurs de tissu.

     

  • Les 26 lettres de l'Alphabet

    Dans l'Alphabet chinois, les minuscules sont écrites comme les majuscules et vice-versa.

     

    A ā
    B bèi
    C
    D
    E 饿 è
    F 艾弗 ài fú
    G
    H 阿什 ā shí
    I
    J
    K
    L 艾勒 ài lè
    M 艾马 ài mǎ
    N 艾娜 ài nà
    O ó
    P pèi
    Q
    R 艾和 ài hé
    S 艾丝 ài sī
    T
    U
    V wéi
    W 独布勒维 dú bù lè wéi
    X 伊克斯 yī kè sī
    Y 伊格黑克 yī gé hēi kè
    Z 贼德 zéi dé

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    Les Gaoshans regroupent l’ensemble des minorités de Taiwan, soit un peu plus de 400.000 personnes.

    Les Gaoshans sont surtout des paysans qui cultivent le riz, le millet, le taro et la patate. Ceux qui vivent sur les côtes tirent surtout leur subsistance de la pêche. Les Gaoshans sont monogames et ont un système familial patriarcal, bien que la tribu Amei conserve encore des vestiges de pratiques matriarcales.

    Les chefs de communes sont élus parmi les vieilles femmes, et les familles sont également dirigées par des femmes. C’est la fille aînée qui hérite de la propriété familiale. Leur art comprend beaucoup de gravures et de peintures de figures humaines, d’animaux, de fleurs et de motifs géométriques sur bois, que ce soit des panneaux, des colonnes, des seuils, des linteaux, des instruments de musique ou des ustensiles.

    On y dépeint aussi la chasse et d’autres aspects de la vie; des figures à tête humaine et à corps de serpent sont aussi un thème courant.

    Les Gaoshans sont des animistes qui croient à l’immortalité et au culte des ancêtres. Ils tiennent des rites sacrificiels en toutes sortes d’occasions, dont la pêche et la chasse.

    Les morts sont enterrés sans cercueil dans le cimetière du village.

    Taiwan compte 21 millions d’habitants, dont 97 % sont Han et 2 % sont Gaoshan. La plupart des Han de Taiwan sont venus des provinces du Fujian, notamment de Quanzhou et de Zhangzhou, et du Guangdong, notamment de Meixian et de Chaozhou.

      

    Les Gaoshan sont les indigènes. Leurs ancêtres sont venus à Taiwan de l’Indochine et des îles de Nanyang - à savoir d’Asie du Sud-Est. Selon leurs langues et leurs coutumes, ils sont divisés en neuf clans : taiya, saixia, bunong, paiwan, amei, cao, beinans, lukai et yamei. Sur la plaine occidentale vivent les Pingpu.

      

    Outre les Paiwan qui vivent sous le régime de la noblesse héréditaire, les autres clans conservent encore certains des caractères du régime clanique. Chez les Amei, les anciennes coutumes matriarcales sont toujours vivaces. Les us et coutumes des Gaoshan sont proches de ceux des Zhuang, des Dong du continent, tandis que leur langue relève de la langue indonésienne.

      

      

    Les Gaoshan n’ont pas leur propre écriture, et leur langue appartient au groupe indonésien de la famille des langues polynésiennes-malaises.

    L’île de Taiwan, berceau des Gaoshan, jouit d’un climat subtropical avec des précipitations abondantes et une terre fertile qui donne deux récoltes de riz par année (trois dans l’extrême sud). On y trouve également quelque 80 sortes de fruits, dont la banane, l’ananas, la papaye, la noix de coco, l’orange, la mandarine et le longane. La chaîne des monts Taiwan s’étend du nord au sud de l’île dans sa partie est qui est boisée à 55 %. Soixante-dix pour cent du camphre du monde vient de Taiwan. L’île possède également d’abondantes ressources d’or, d’argent, de cuivre, de charbon, de gaz naturel et de soufre. Le sel est un produit important sur la côte sud-est.

    Les Gaoshan sont surtout des paysans qui cultivent le riz, le millet, le taro et la patate. Ceux qui vivent sur les côtes tirent surtout leur subsistance de la pêche.

          Histoire

    Il existe plusieurs versions sur l’origine de cette ethnie. Selon la théorie principale, les Gaoshan seraient indigènes, venus de l’ouest ou du sud, selon les différentes sources. La théorie selon laquelle ils seraient venus de l’ouest est basée sur leur coutume de se tondre les cheveux et de tatouer leur corps, de vénérer les serpents comme étant leurs ancêtres et sur leur langage, tous des indices qu’ils auraient été des descendants des Baiyue du continent. Selon une autre théorie, leur langue et leur culture auraient des ressemblances avec celles des Malais des Philippines et de Bornéo, de sorte que les Gaoshan seraient venus du sud. Selon la troisième théorie et la plus plausible, l’ethnie gaoshan proviendrait d’une branche des anciens Yue qui vivaient le long de la côte du continent chinois à l’âge de pierre. Ils auraient par la suite été rejoints par des immigrants des Philippines, de Bornéo et de la Micronésie.

    À l’époque des Ming et des Qing (1368-1911), grâce à leurs liens économiques et culturels, tous ces peuples ont été fusionnés en une nouvelle ethnie connue sous le nom de Fan, ou Fan de l’Est, aujourd’hui appelée Gaoshan.

    Selon les découvertes archéologiques, les Gaoshan auraient toujours maintenu des liens étroits avec le continent, car il y a 30 000 ans, Taiwan était physiquement soudé au continent chinois. On croit que les humains se seraient déplacés vers Taiwan au pléistocène, et les découvertes archéologiques suggèrent que l’âge de pierre sur le continent aurait été introduit à Taiwan il y a 3 000 à 4 000 ans.

    En 230 av. J.-C., deux généraux du royaume de Wu, Wei Wen et Zhuge Shi, ont dirigé une armée de 10 000 hommes à travers le détroit de Taiwan et en auraient rapporté plusieurs indigènes sur le continent. À ce moment-là, les ancêtres des Gaoshan appartenaient à plusieurs tribus matriarcales primitives. Au début du VIIe siècle, les Gaoshan avaient déjà commencé à cultiver et à élever des animaux, en plus de chasser et de faire la cueillette. Durant les Song et les Yuan ((960-1368), le contrôle du gouvernement central a été étendu aux îles Penghu et Taiwan, qui ont alors été placées sous la compétence administrative des districts de Jinjiang et de Tong’an de la province du Fujian. Durant les Ming (1368-1644), la culture, la chasse et l’élevage ont continué de se développer. Au début du XVIIe siècle, un grand nombre de Han du continent se sont installés à Taiwan, ce qui donna un grand essor économique à la côte ouest de l’île. Les Gaoshan et les Han ont lutté ferme pour repousser les envahisseurs et les seigneurs féodaux locaux. Les pirates japonais ont envahi Keelung, en 1563. En 1593, les dirigeants japonais ont demandé aux Gaoshan de leur payer tribut, mais sans succès. De 1602 à 1628, les invasions des pirates japonais ont sans cesse été repoussées.

    Vers la fin des Ming, les Hollandais et les Espagnols ont effectué des incursions répétées à Taiwan, mais ils ont été repoussés. Toutefois, en 1642, les Hollandais ont défait les Espagnols, saisi l’île et imposé un régime tyrannique sur les habitants de l’île. Au milieu du XVIIe siècle, un soulèvement antihollandais, dirigé par Guo Huaiyi, a été le plus important en envergure. En avril 1661, Zheng Chenggong a dirigé une armée de 25 000 hommes à Taiwan et a libéré l’île des Hollandais avec l’aide des Gaoshan et des Han qui y vivaient, ce qui a mis fin à un régime colonial de 38 années.

    Après avoir libéré Taiwan des Hollandais, Zheng Chenggong a institué une série de mesures pour accélérer le développement économique et culturel. Une économie féodale a commencé à se développer. Le fils de Zheng a succédé à son père qui était mort cinq mois seulement après avoir libéré l’île. En 1683, la cour des Qing amena l’île sous le contrôle du gouvernement central et ce régime a duré 212 ans, jusqu’à ce que Taiwan tombe sous le régime japonais à la suite de la signature du traité de Shimonoseki en 1895.

    Après la guerre de l’Opium de 1840, les Britanniques, les Américains, les Japonais et les Français ont envahi Taiwan à tour de rôle, mais tous ont affronté une vive résistance. Pour combattre les Britanniques, les habitants de l’île ont formé une armée de 47 000 volontaires qui a réussi à repousser les envahisseurs. Taiwan est tombée aux mains des Japonais en 1895. De 1895 à 1915, les Taiwanais ont organisé quelque 100 soulèvements armés contre l’occupant. L’un d’eux, le soulèvement de Wushe, a été organisé par les Gaoshan en 1930. Après la victoire sur le Japon en 1945, Taiwan a été rendue à la Chine, puis placée sous le régime du Guomindang qui a fui vers l’île après la victoire des communistes sur le continent en 1949.

    Us et coutumes

    • Mariage. Les Gaoshan sont monogames et ont un système familial patriarcal, bien que la tribu Amei conserve encore des vestiges de pratiques matriarcales. Les chefs de communes sont élus parmi les vieilles femmes, et les familles sont dirigées par des femmes. C’est la fille aînée qui hérite de la propriété familiale. Dans la tribu Paiwan, c’est l’aîné ou l’aînée qui hérite. Tous les jeunes de la tribu Amei et certains de la tribu Paiwan doivent vivre dans une salle commune pendant une période de temps avant d’être initiés à la vie d’homme adulte lors d’une cérémonie spéciale.
    • Habillement. Les vêtements des Gaoshan sont habituellement confectionnés de chanvre et de coton.  Les hommes portent des capes, des vestes, des vestons courts et des pantalons, des guêtres et des turbans décorés de dentelles, de coquillages et de pierres. Dans certaines régions, les vestes sont finement tissées avec du rotin et de l’écorce de noix de coco. Les femmes portent des chemisiers courts avec ou sans manches, des tabliers et des pantalons ou des jupes, ainsi que des parures, dont des bracelets aux bras ou aux chevilles. Elles sont habiles à tisser des vêtements et à les teindre dans des couleurs vives, et elles aiment décorer les poignets, le col et l’ourlet de broderies magnifiques. Elles utilisent aussi des coquillages et des os d’animaux en guise d’ornements. Dans certains endroits, la tradition de tatouer le visage et le corps a été conservée, tout comme celle de faire des entailles dans les dents. Certaines vieilles Gaoshan sont toujours fières de leurs broderies fort distinctives.
    • Habiletés particulières.
    • Pour le transport en terrains accidentés, les Gaoshan ont bâti des ponts en bambou ou en rotin, soit en arche ou suspendus, qui enjambent des ravins profonds. Ils sont aussi particulièrement habiles en artisanat. Leur tressage en rotin ou en bambou  –paniers, chapeaux, ustensiles, mortiers et pilons, ainsi que canots–  ont des motifs uniques. Dans les montagnes, les tribus Cao et Bunong excellent à tanner les peaux, alors que la tribu Taiya fabrique d’excellents filets de pêche.
    • Art et culture. Le chant et la danse font partie de la vie des Gaoshan. Aux jours de fête, ils se réunissent pour chanter et danser. Ils possèdent beaucoup de ballades, de contes, de légendes, d’odes aux ancêtres, de chansons de chasse et de chants pour accompagner le travail. Leurs instruments incluent l’orgue à bouche et la flûte. Un chant qui accompagne le battage du riz est typique des Gaoshan. Leur art comprend beaucoup de gravures et de peintures de figures humaines, d’animaux, de fleurs et de motifs géométriques sur bois, que ce soit des panneaux, des colonnes, des seuils, des linteaux, des instruments de musique ou des ustensiles. On y dépeint aussi la chasse et d’autres aspects de la vie; des figures à tête humaine et à corps de serpent sont aussi un thème courant.
    • Religion. Les Gaoshan sont des animistes qui croient à l’immortalité et au culte des ancêtres. Ils tiennent des rites sacrificiels en toutes sortes d’occasions, dont la pêche et la chasse. Les morts sont enterrés sans cercueil dans le cimetière du village. Il existe des vestiges de totémisme –animaux ou serpents– et certains tabous perdurent

    http://www.chinatoday.com.cn/lachine/2004/f20n12/p42.htm

      

    sources : http://yunnan-chine.blogspot.com/search/label/minorit%C3%A9%20chinoise%20zhuang


  • L'éventail et la guerre

     

     
     
    L’éventail n’est pas uniquement qu’un accéssoire de mode et de bien-être.
      
    Ainsi, en Chine l'éventail est présent dans l'art du Kung fu comme l'arme suprême anihilant le corps et l'esprit.
      
      
    Il est également présent au Tai-Chi-Chuan et dans la danse traditionnelle chinoise.
      
     
     
    Pendant le Moyen-Age au Japon, le chef de guerre (le shôgun) portait un "gunsen" (littéralement: "éventail de guerre") :
      
    ce type d'éventail avait une monture forgée en acier et servait à la fois de signe de ralliement et de direction des troupes (brandi ouvert), et à la fois de garde et de protection (une fois fermé) lors d'un combat au sabre.
     
     
      
    LeTessen, de forme plus européenne, était plutôt reservé aux femmes.

    Le tessen en photo est entièrement en métal et est utilisé aujourd’hui dans les arts martiaux.
      
      
      

    Les premiers éventails sont chinois.

      

    Ils seraient ori­ginaires de la région de Yushan, et on en trouve une représentation sur une théière en bronze da­tant des Royaumes Combattants (481-221 avant J.C.)

    Ils étaient réalisés en plumes et rigides.

     

    Afficher l'image d'origine

    Par la suite les mon­tures commenceront à être en bambous.

      

    Ce sont les Japo­nais qui auraient mis au point l'éventail qui se plie. Généralement dans ces pays, il servait à préserver de la cha­leur.

     

    Par contre, lorsque l'on avait besoin de se défendre, on pouvait l'utiliser comme une arme.

     

    Tessen : l’éventail de fer

    tessen

     

    Sa première qualité est l'effet de surprise car c'était un objet usuel.

    On ne peut pas tuer avec mais il peut servir à repousser une attaque, détourner une arme, voir blesser un adversaire.

     

    Il était courant au Japon d’avoir un éventail pour lutter contre les grosses chaleurs qui règnent en été.

     

    L’imagination débordante des bushi a transformé cet ustensile en un outil guerrier.

     

    Il a d’abord et avant tout été utilisé pour transmettre des signaux pour diriger les troupes sur un champ de bataille.

    Ces éventails étaient en papier, bois ou fer. 

    Leurs noms sont Gunsen, Saihai, Uchiwa et Tessen (鉄扇).

     

    Seul ce dernier était aussi fait pour combattre selon l’art du tessen-jutsu
    En savoir plus su

    Descriptif


    L'éventail est monté sur des lames de bambou ;

     

    par contre, pour le tessen-jutsu japonais ,

     

    Tessen

    celles-ci sont remplacées par des la­melles de fer ou d'acier.

    Ces lames permettent d'apporter du poids et de la résistance lorsque l'éventail est replié.

    De plus, lorsqu'elles sont pointues, on peut s'en servir déplié comme d'une griffe.

    Une technique usuelle consiste à atta­quer les yeux avec les pointes. Généralement, les panneaux sont en soie pour apporter résistance et légèreté.

     

    J'ai pu voir aussi des modèles qui comportaient un fermoir qui permet­tait de libérer par inertie des pointes tranchantes de 2 cen­timètres au bout de lames creuses.

    Effet de surprise et efficacités garantis !

    Nous verrons aussi qu'au Japon des tessens ont été réalisés monobloc pour le tessen jutsu.


    Le shan

    Mulan QuanEn Chine comme au Japon, la population n'ayant pas le droit d'être armée, on utilisait ce que l'on pouvait porter lé­galement.

    Un shan (éventail)Shan pouvait devenir redoutable lorsqu'il était manié avec dextérité.

    Il est généralement en soie avec monture en acier.

    On utilise ces claquements ré­pétitifs pour surprendre ou déstabiliser l'adversaire.

    On ne montre jamais l'envers du shan, car ses lames et leurs pointes sont cachées par le tissu ce qui provoque un effet de surprise à l'usage.


    Position fermée :

    en bloquant les attaques et riposter dans la même position.

    Zone cible : le poignet, la main, la tempe, la nuque, la gorgeAttaque Gorge

      

    Position ouverte :

    en le déployant afin de masquer l'adversaire puis de le lui porter une attaque.

     

    Zone cible: la gorge, le visage, les yeux, les parties...

      
    Sources :
      
    http://eventails.blogspot.com/
      
    http://www.style-li.org/index.php/fr/articles/fan  
      
      
      
      
     

  •  

     

      
    Depuis le Xème siècle, une mode redoutable permettait d’avoir les pieds de Lys pour apporter une démarche "légère", celle d’une hirondelle volante.
      
      
    Pourquoi ce terme de pied de lys ?
     
    Parce que les mamans bandaient les pieds de leurs filles en enroulant les orteils et en les incrustant sous la voute plantaire comme une corolle de lys.
     
    Le terme "souffrir pour être belle" a toujours été d’actualité, mais la pratique des pieds bandés reste dans les modes les plus traumatisantes, au point de développer deux pieds bots !
     
     
     
    C'était l'idéal de beauté de l'époque. Pour les femmes, il était presque obligatoire d'avoir les pieds bandés pour trouver un homme convenable, se marier et améliorer son niveau de vie
     
     
     
     
      femme pieds bandés
      
      mini pieds
      

    En raison de leurs petits pieds, [les femmes] étaient forcées de marcher avec une posture unique et cette démarche forçait le resserrement des muscles dans les cuisses, les hanches et le vagin.

     

    Avec le poids du corps constamment portée sur ses talons, ces femmes avaient plus de graisse dans les cuisses ce qui les rendaient plus voluptueuses aux yeux des Chinois de sexe masculin.

     

    La marche resserrait les muscles du vagin à un point tel que les Chinois affirmaient que faire l'amour à une femme aux pieds bandés,  c'était comme faire l'amour à une vierge à chaque fois.

     

    Ainsi, lorsqu'un homme regardait une femme aux pieds bandés marcher doucement, en vacillant, cela lui rappelait en permanence d'exquis délices sexuels...

     

    Ah, les hommes, tous les mêmes!

     
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    Les pieds bandés des fillettes de Chine

      

    Pendant plus de 1 000 ans, les mères chinoises ont enveloppé les pieds de leurs filles de bandages serrés afin de les rendre aussi petits que possible.
     

    Ces pieds déformés ont longtemps symbolisé pour l’Occident la barbarie et l’exotisme chinois.
    Cette mode a fait son apparition en Chine en l’an 950 de notre ère.

     

      

    Les pieds bandés des fillettes de Chine

      

      

    L’origine des pieds bandés

     

    Les origines de cette pratique mêlent histoire et légende.

     

    On sait que dès le VIe siècle avant notre ère, il existe des expressions chinoises pour décrire le procédé d’oppression employé mais sans précision sur la partie du corps concernée.

     

     

    Au début du IXe siècle, le poète Tu Mu rend hommage aux courtisanes qui ont de petits pieds mais il ne parle pas de déformation artificielle.

     

     

    Les historiens chinois situent l’apparition du bandage déformant sous les « Cinq petites dynasties », qui se partagent la Chine entre 907 et 962.
                 

    Cette méthode est alors spécifique aux courtisanes de haut rang.

     

     

     

    Illustration d'une femme chinoise se bandant les pieds auprès de son époux

    A l’origine, cette mode était donc une coutume des courtisanes de la cour impériale. Comment expliquer que cette coutume se soit répandue dans tous les milieux sociaux ?

      

      

      

     

    Piété familiale et prestige

    Partie du harem impérial, la mode du petit pied gagne progressivement toutes les classes sociales.
    Cette pratique semble s’être généralisée à la fin du XIe siècle. Les femmes perpétuent cette tradition de génération en génération.
                 

    L’éducation chinoise favorise surtout la soumission et au conformisme social.

    De plus, peu à peu, les chinois sont persuadés que de cette atrophie dépend le prestige de la famille. 

     

     


                 

      

      

    A leurs yeux, une jeune fille qui n’a pas de petits pieds ne pourra jamais trouver un mari qui fasse honneur à sa famille.
                 

    En effet, la taille du pied est un élément essentiel de la beauté. Les petits souliers deviennent un véritable critère standard de beauté.
    Le pied est, en Chine, la partie du corps la plus érotique.

      

     

    Soulier pour pied atrophié en satin et en bois de 13,5 cm de longueur

      

      

    On peut également y voir un moyen de restreindre la liberté des femmes car, devenues adultes, leur démarche ne pouvait être que lente et difficile.

     

     

      

    Une mode de plus de mille ans


    Pour le plaisir de l’empereur
     

    Au Xème siècle, cette mode part de l’empereur qui impose à une de ses concubines de se bander ses pieds pour mieux exécuter "la danse du lotus".
    Pour lui, cette vision nouvelle accroîssait son désir.


    Pendant un siècle, cette pratique restera réservée au "plaisir" du souverain et de sa cour.


    Pour les femmes de l’empireUn siècle plus tard, cette pratique "raffinée" va s’étendre à l’ensemble de l’empire.

    A la fin de la dynastie Qing, des femmes aux pieds bandés se retrouvent dans presque toutes les classes sociales, à l’exception des classes paysannes et des Hakka.
     

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    Trois styles de pieds apparaîssent :


    - les pieds de 15 cms, permettant à la femme de faire un riche mariage !
    Mais existent des femmes d’exception au pied de lys


    - les pieds d’argent, ne dépassant pas 10 cms


    - les pieds d’or, mesurant moins de 7,5 cms, pas plus large que le diamètre du mollet !

     

     

    Des pratiques de soumission

    Il s’agit bien de contraindre, de soumettre :
    - de soumettre la fillette à des critères imposés dès l’âge de 4 ou 6 ans,
    - de soumettre l’enfant à l’autorité du père,
    - d’en faire un objet de luxe permettant de créer un mariage intéressant pour la famille,
    - de soumettre la femme à un mari tout puissant
    - de s’entraîner à accepter d’autres formes de contraintes


    Nous sommes en pleine mode de pratiques SM.


    Notre époque n’a rien inventé avec son renouveau sado-masochiste.


    Le moment le plus raffiné des préludes amoureux pour le mari trouvait son paroxysme lorsqu’il déroulait lui-même les bandelettes pour découvrir la rareté des pieds de sa femme.


    Les bandes de 3 mètres de long devenaient des liens parfaits et servaient bien souvent à attacher la jeune mariée dans des pratiques de soumission.

     

     

      

      

    Pourquoi cette pratique fut-elle si pratiquée ?

    Parce que le pied était considéré comme la partie la plus sexy du corps.
    Le pied , objet fétiche parfait, était censé stimuler le désir chez l’homme.

    Un pied de lys représentait l’effort de la femme pour être séduisante.


    Ces pieds longuement préparés au fil des ans étaient étroitement liés au mariage.

     

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    Les minuscules souliers deviennent un symbole fétichiste par

    excellence, le standard de la beauté.

     

    Les souliers portés durant le mariage présentent des

    scènes érotiques plus qu’explicites.

     

     

    Cette soumission aux pieds bandés était avant tout un indice de soumission à l’homme.
    Une femme aux pieds bandés était un gage de mariage facile,

     


    la femme étant l’offrande et l’homme le consommateur.

    Un homme montrait son statut social en exhibant sa femme aux pieds "éduqués".
    Cette pratique machiste s’est perpétrée pendant 10 siècles.

     

     

     

     

    Une déformation à vie

     

    L’idéal est que le pied mesure 15 cm.

     

    Cette perfection est rare et donc très recherchée.

     

    La jeune fille qui possède cet atout fera un riche mariage.

    La réussite dépend de l’âge auquel la mère a commencé à bander les pieds de sa fille ainsi que des massages des articulations du pied.


    Il est impératif de commencer avant l’âge de 8 ans.

    Ainsi, il n’est pas rare que le bandage commence dès la quatrième année.


    Le bandage se porte jour et nuit.

     

    Photo de fillettes chinoises aux pieds bandés prise vers 1900

      

    La déformation la plus courante consiste à replier progressivement les derniers quatre doigts de pied sous le gros orteil.


    Puis, il faut le raccourcir en accentuant la courbure de la voûte plantaire avec un objet cylindrique qui la comprime.

     

    Il est évident que cette mode a infligé pendant 1 000 ans aux fillettes des douleurs difficilement tolérables.

     

    Les édits impériaux de 1902 interdisent la déformation des pieds. Mais, il faudra attendre 1911 et la naissance de la République pour que des mesures efficaces soient prises.

     

      V.B (10.2005)

        

    SOURCES : http://www.dinosoria.com/pied_chine.htm

      

    Histoire des pieds bandés en Chine

     

    La coutume des pieds bandés en Chine fut pratiquée du Xème au début du XXème siècle sur les filles et les jeunes femmes issues des classes sociales favorisées.

      

    Elle s’étendit progressivement à d’autres couches de la société chinoise.

      

    Cette coutume perdura pendant plus de mille ans.

      

    Son origine remonterait à la fin de la dynastie des Tang (dynastie la plus puissante de l’histoire de Chine) au Xème siècle, lorsque l’empereur demanda à sa femme de se bander les pieds pour effectuer la traditionnelle danse du lotus et accroître son désir.

      

    Environ un siècle plus tard cette coutume entra dans les mœurs et devint à la mode chez toutes les femmes de l’empire, devenant ainsi une tradition familiale qui symbolisait le richesse et la distinction.

      

    Cette tradition se perpétua de générations en générations. En effet, seules les familles les plus riches pouvaient respecter cette coutume car celle-ci obligeait la femme aux pieds bandés à se cantonner a des activités domestiques simples, que les familles pauvres ne pouvaient pas se permettre.

      

    A la fin de la dynastie des Quing (dernière dynastie imperiale chinoise), les femmes aux pieds bandés appartenaient à toutes les classes sociales de la société Han, excepté les plus misérables, ou à celles appartenant au groupes des Hakka où les femmes exécutaient une partie des travaux assurés par les hommes dans les autres ethnies. Au XIXème siècle, quelques empereurs tentèrent, mais sans succès, de faire bannir cette pratique.

      

    En 1912, après la chute de la dynastie Quing, le gouvernement de la République populaire de Chine interdit le bandage de pieds et força les femmes à enlever leurs bandages.

      

    Ce fut une étape très difficile et traumatisante pour ces femmes, auquel s’ajouta la douleur physique lorsqu’elles durent ôter leurs bandages.

      

    La pratique des pieds bandés se poursuivit quand même dans la clandestinité et son interdiction fut réellement effective après 1949, avec l’arrivée au pouvoir du gouverneur communiste Mao Zedong.

      

    En tout, un milliard de femmes ont vu leurs pieds ainsi sauvagement mutilés.

     

     

    Photo de pieds bandés dans leurs chaussures

    Photo de pieds bandés dans leurs chaussures

    -Technique de bandage

    Le bandage des pieds commençait environ a l’âge de cinq ans.

      

    Deux ans étaient nécessaire pour atteindre la taille d’environ 7,5 cm jugée idéale. Pour fabriquer ce bandage, les pieds étaient d’abord trempés dans de l’eau chaude ou du sang animal mélangé avec des herbes médicinales.

      

    Dans un second temps, la mère tirait les quatre petits orteils sous le pied , vers le talon. Ensuite le pied était cassé transversalement sur un cylindre de cuivre, pour que l’avant et l’arrière du pied se rejoignent. Seul le gros orteil était libre.

      

    À mesure que la voûte plantaire se brisait, le plat des talons et la plante du pied passaient l’un vis-à-vis de l’autre d’une position horizontale à une position perpendiculaire, de telle sorte que l’on finissait par pouvoir insérer une pièce de monnaie dans l’espace étroit qui les séparait. Le pied était ensuite placé dans une chaussure pointue de plus en plus petite au fil du temps.

      

    Les fractures, qu’elles soient volontaires ou non étaient très fréquentes, en particulier si le bandage commençait tardivement. Les bandes devaient être changées tous les jours et les pieds lavés dans une solution antiseptique.

      

    Suite à ces transformations physiques, la fille ne pouvait plus courir, et avait du mal à marcher.

      

    Une fois que les pieds avaient atteints leur taille minimum, la douleur disparaissait peu à peu, mais ces femmes devaient continuer à porter des bandages pour maintenir leurs pieds, mais aussi pour les cacher, tellement ils étaient mutilés.

      

    Les familles chinoises étaient persuadées que le bonheur était dans le pied. A leurs yeux, une jeune fille qui n’avait pas de petits pieds ne pourrait jamais trouver un mari qui fasse honneur à sa famille.

     

     

    Photo de pieds bandés après plusieurs années de bandages

    Photo de pieds bandés après plusieurs années de bandages

     

     


  • En 1908, Albert Kahn a voyagé au Japon pour un voyage d'affaires et a découvert un intérêt pour la photographie. Après son retour, il a rassemblé un groupe de photographes équipés du système de caméra les plus avancés de leur temps, l'autochrome, de créer une archive photographique du monde. L'autochrome est le premier de son genre à produire de véritables photos en couleur qui a généré des transparents lumineux. De 1909 à 1931, l'équipe a remporté 72 000 photos et 183 000 films en voyageant à 50 pays.

    Ayant passé de l'Est à l'Ouest, un projet de Kahn est devenu la plus importante collection photographique du monde. Il l'appelle «Les Archives de la Planète". La collection comprend des images du Cambodge, Inde, France, du Brésil au Bénin. Un siècle plus tard, son travail a été mis en lumière dans diverses galeries et musées.

    David Okuefuna (de la BBC) a publié un livre, Le Monde merveilleux d'Albert Kahn , contenant 336 pages de son projet autochrome. Les sujets vont de repères sacrés, les palais royaux de portraits individuels et de groupe. Un documentaire a également fait ses débuts sur la BBC après la sortie du livre en 2008. Le musée Albert Kahn à Paris a récemment lancé un site pour présenter des photos rares de «Archives de la Planète" pour le visionnement public ici .

    Les archives laissées par l'héritage de Kahn et ses efforts humanitaires sont remarquables car ils sont devenus une mémoire photographique du passé.

    Photos / Source: Albert Kahn (musée Albert-Kahn - Département des Hauts-de-Seine)

      

    SOURCES : http://albert-kahn.hauts-de-seine.net/

      

      

     


  • Ambroise Tézenas et les Hutongs de Pékin

    Que sont devenues les Hutongs ? Plus d’un demi-siècle après l’instauration du modèle communiste, les dirigeants de la Chine ont jeté les bases d’une nouvelle grande puissance remodelant à grande échelle le paysage urbain. En passant d’une économie étatique et planifiée à une économie de marché, d’une économie rurale à une économie industrielle urbaine, et enfin, de l’autarcie à l’ouverture au monde, la Chine est devenue l’eldorado des multinationales. Cette nouvelle ère impose la mise en chantier d’un nouveau décor.

    En moins de dix ans, l’équivalent de Paris intra-muros aura été rasé et reconstruit. Promue capitale de l’Empire en 1267, par la dynastie mongole des Yuan, Pékin connaît un tournant historique jusqu’alors inégalé. Cette capitale de 15 millions d’habitants était encore, il y a trente ans, un vaste village construit au ras du sol.

    Aujourd’hui, les ruelles étroites du vieux Pékin appelées Hutongs, où s’alignent les traditionnelles maisons collectives bâties autour d’une cour carrée, sont détruites pour laisser place à de grands immeubles modernes ou à de larges avenues. Dès lors que le signe « chai », qui signifie détruire, estampille les façades des maisons, il reste deux semaines aux habitants pour organiser leur déménagement. Les expropriés doivent ainsi quitter le centre ville, à l’habitat jugé malsain, pour les banlieues lointaines.

    Ambroise Tézenas a photographié ce qu’il reste de son coeur historique et populaire. Ses vues de nuit en saisissent l’âme. La lueur qui habite ces venelles est bien différente des néons fluorescents des nouveaux buildings qui envahissent leur territoire. Avec les Jeux Olympiques, c’est tout un pays qui s’est affairé à radicaliser son urbanisme. Nuit et jour des tours de bureaux, des complexes résidentiels et autres centres commerciaux sont sortis de terre comme pour donner à l’occident un gage de son développement. Mais, le théâtre du peuple n’est-il pas construit sur des sables mouvants ?

    source: agendeo.fr

    toutes les photos sont d’Ambroise Tézenas

      

    SOURCES BLOG LIEN : http://citizenzoo.wordpress.com/category/chine/

      

      


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    美  

      

    MIAN SITU


     

    Après avoir complété son baccalauréat, en conformité avec la Révolution culturelle, Sitou a ensuite été donnée une obligatoire de trois ans d'affectation à travailler à la campagne, dans son cas comme projectionniste montrant des films de propagande.

     

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    Mais en 1978, Sitou a été invité à revenir à GAFA et avec ce tour de formation, avec la mort de Mao en 1976, et les réformes de l'enseignement associée à la révolution abandonné,

     

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    il était maintenant libre d'étudier les travaux des maîtres modernes et expérimenté avec une variété de la peinture des approches,

     

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    s'installant enfin sur, comme il dit simplement, «mon propre style."

     

     

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    Après l'obtention du diplôme Mian Situ a ensuite enseigné à l'Académie de Guangzhou pendant six ans.

     

     

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    Avec ce poste, il a pleinement profité de son temps libre, des croquis et de photographier les habitants et la vie quotidienne des villages ruraux chinois dans le sud-ouest de la Chine.

     

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    Il a grandi dans un tel village dans le canton.

     

     

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    In Situ est arrivé à Los Angeles en 1987, mais bientôt déménagé au Canada, d'abord à Vancouver, puis à Toronto.

     

    De Toronto, il a soumis une de ses peintures à l'année 1995

     

     

    Exposition-concours national des peintres à l'huile d'Amérique et a remporté le Meilleur $ 10,000 of Show ainsi que le Prix du choix populaire.

     

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    Encouragé par son succès américain d'abord, il décida de retourner à Los Angeles en 1998 où il réside actuellement avec sa femme Helen et sa fille Lisa.

     

    Situ rejoint le California Art Club en 1999, et l'année suivante son 24 "x 20" peinture, un jour tout à fait , a été sélectionné pour le Prix de la Médaille d'or par les artistes

    exposant au salon annuel Médaille d'or 90e-concours .

     

     

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    Toujours en 2000, In Situ a remporté le Prix du choix du juge et le prix d'achat à l'Art pour la compétition des Parcs, et il a également reçu le Best of Show au festival Art Carmel.

     

     

     

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    En 2001, il a été invité à exposer dans la maîtrise de l'Exposition Ouest américain Fine Art et vente au Centre Autry National de Los Angeles, et l'année suivante, il a obtenu l'insigne honneur de recueillir le prix d'achat et le Musée Thomas Moran Memorial Award pour le mérite artistique, ainsi que le Prix du Patron. Situ continue à toujours gagner des prix importants.

     

     

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      http://www.trailsidegalleries.com/artists/mian-situ#2

      

    Incendie de SAN FRANCISCO 1906

     

      

     

     https://theautry.org/masters/2008/artist_page.php?queue=56

     

     

    San Francisco, avril 18,1906


    Merci de visiter Mian Situ Beaux Arts.

     

    Les travaux sur ce site représentent une sélection d'œuvres d'art magistrale Mian. La plupart des oeuvres affichées sur ce site sont déjà vendus.

    Pour déterminer quelles œuvres sont actuellement disponibles, s'il vous plaît contactez Galeries Trailside. Information de contact peuvent être trouvées en cliquant sur le "Galeries d'art" lien.

    Pour toute question concernant ce site, s'il vous plaît contacter le gestionnaire du site, Clint Watson à clint@webartsites.com.

     

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    MIAN SITU

     

     

     

     

     

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    MIAN SITU

     

      

      

     

      

    «C'est un marché typique chinoise dans le Chinatown de vieux, juste ici en Amérique.

     

    Dans un marché comme celui-ci, on pourrait trouver les ingrédients pour la même nourriture qu'ils mangeaient en Chine et le préparer exactement de la même façon », explique l'artiste Mian Situ."

     

    Le marché avait l'air très similaires à ceux de ma ville natale l'enfance dans le sud de la Chine, où j'ai été souvent envoyé faire des courses, donc cette peinture a été inspirée par les deux souvenirs d'enfance personnels et des photographies datant du 19è siècle de San Francisco.

     

    Il n'ya pas meilleur moment que maintenant pour commencer à recueillir Editions Mian Situ Fine Art Limited.

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    Art de theWest magazine a récemment désigné un in situ de la

     

    "8 vrais maîtres» de l'art today'sWestern monde.Le peinture originale du marché de Chinatown, à San Francisco, 1878 vendue pour 179 200 $ à la vente aux enchères d'art 2007 de Jackson Hole,

     

    près $ 90 000 au-dessus du plus haut estimé price.

     

    This exquise Fine Art Limited Edition, signée par Sitou Mian, et dans une édition de seulement 50 ans, est sûr de disparaître rapidement.
     
     


     

     

     

       

      

     

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    quartier Chinois à CHICAGO

     

     

    Les titres de plusieurs de peintures in situ de San Francisco Chinatown inclure les dates 1904, 1905 et 1906.

     

    Mian Situ-- ۝ Lanterne ۝ -:

     

     

    Le début du 20ème siècle a été une période charnière

    pour cette communauté.

     

    Mian Situ (/Chinese/American, born 1953) A New Beginning, San Francisco, 1910:


    Chinatown a été un centre commercial dynamique où les biens et services entre les deux cultures ont été échangés et le succès de la Chine a attiré une certaine attention aussi bien négatives.

     

    w h a t i n s p i r e s y o u ?: The art of Mian Situ:

     

    Lois anti-immigration chinoise avait été adoptée et renouvelé en 1904, une société cotée en bourse a été constituée dans le but d'acquérir la plupart des terres dans Chinatown et disloquant les résidents à une région périphérique.

     

     

     

    Ce but semblait facilement réalisable après le séisme et le feu de 1906.

     

    Chinatown est l'une des régions les plus touchées et les hommes d'affaires américain d'origine chinoise et les propriétaires organisés à reconstruire rapidement.

     

    mian situ artist - Google Search:

     

    Cet effort, combiné avec la reconnaissance de la valeur économique de Chinatown et de la pression internationale, a servi à s'assurer que la communauté chinoise de San Francisco serait rester dans le quartier où ils avaient commencé à revenir dans la ruée vers l'or de la moitié du 19e siècle.

     

     

     


    "Dans cette peinture Je me suis concentré sur les expressions des deux enfants chinois comme ils ont rencontré une jeune fille américaine »,

    a déclaré l'artiste.

     

    Mian Situ (Chinese born American, 1953) "Market Day in Chinatown, San Francisco", 1905:

     

     

    «Dans mes scènes Chinatown, j'essaie toujours d'incorporer un élément de carrefour culturel."

     

     

     

     

     

     

     

     

    Par la fin du 19e et 20e siècles, les missionnaires chrétiens avaient été en Chine pour plusieurs centaines d'années, ce qui signifiait que de nombreux immigrants chinois avait rencontré le christianisme avant qu'ils aient jamais mis les pieds sur le sol américain.

     

    Mian Situ (1953, Chinese):

     

     

    Les femmes et les enfants étaient connus comme "croyants faciles" par les missionnaires et deux enfants consacrent leur attention sur le prédicateur dans cette image alors que les autres chinois, particulièrement les hommes, de recueillir au-dessus de ponts et de la fumée de parler entre eux.

     

     


    Les peintures exquises de Mian artiste primé Situ offrent une fenêtre d'évocateur dans un point de l'histoire où la collision de l'Est et l'Ouest touchés l'avenir non seulement pour les immigrés,

    mais pour les deux cultures.

     

     

    Mian situ:

     

    Voyage de l'espoir et la prospérité est le troisième artiste majeur Mian Situ peinture chinoise immigrants dépeindre l'expérience à bord des navires.

     

    (Précédent art Greenwich Atelier beaux communiqués de La Montagne d'Or-En arrivant à San Francisco et Parole de Dieu sont à la fois sold out à Publisher).
     

     

     

    The Gold Nugget, Chinese Camp, 1850 By Mian Situ:

     

     

    Mian Situ sera de nouveau spectacle à la maîtrise de l'Exposition Ouest américain Fine Art et de vente, au Centre de Autry National à Los Angeles le Février 6 mai 2010.

     

    Mian Situ (1953, Chinese) | I AM A CHILD:

     

    Une peinture originale par Sitou a récemment vendu aux enchères pour plus de $ 575.000, mais avec une toile d'atelier de Greenwich vous pouvez vous permettre de ramener le travail de ce maître des temps modernes. 

     

     

     

    En raison des circonstances de la tour-de-la-siècle, les immigrants chinois en Amérique, beaucoup d'entre eux avaient peu d'alternatives à l'exploitation minière, travaillant dans des restaurants ou des laveries.

     

     

    L'exploitation d'une laverie capital requis relativement peu, d'éducation ou de maîtrise de l'anglais.

     

    Mian Situ  +:

     

    Souvent, des familles entières vivaient entassés dans le

    dos de leurs vitrines blanchisserie.

     

     

     

    Alors que les parents travaillaient, les enfants ont aidé comme ils le pouvaient.

     

     

    Artist Mian Situ Chinatown deliveries:

    Il faisait chaud, de 14 heures par jour de travail et après le déjeuner le repassage jeune homme a du mal à rester en alerte alors

    que la mère le raccommodage.

     

    La culture chinoise, la nourriture et des vêtements ont pu être reproduits dans les quartiers chinois sur la côte Ouest, et pourtant tout autour de la communauté soudée, c'était différent."

     

     

    Mian Situ (Chinese/American, born 1953):

     

     

    J'ai posé la fille curieusement essayant sur la robe de calicot

    amenés par leurs clients américains»,

    explique l'artiste.

     

     

    Mian Situ (Chinese/American, born 1953):

     

     

    Est-elle se demander à quoi cela ressemble d'être une jeune fille américaine ou est-ce seulement un étrange costume?

     

     

     

    Artiste d'inspiration Mian Situ pour l'entrepreneur, un portrait-dans-un-portrait, venait d'une vraie photographie datant des années 1890.

     

     

    Fine Art Connoisseur - Mian Situ, "Protection," oil0, 9 x 12:

     

    Comme beaucoup de personnes récemment arrivées aux États-Unis,

    l'homme dans le contexte aurait voulu quelque chose de l'Amérique à envoyer à sa famille à l'étranger et une photo comme celle-ci était commune.

     


    spécule Situ que la fleur dans la main de l'homme chinois a été très probablement le photographe idée, comme un homme chinois n'auraient pas pensé à tenir une fleur dans une chose aussi importante que la photographie.

     

    Mian Situ Fine Art | MIAN SITU, artiste peintre (né en 1953)

     

    Toutefois, dans une tentative d'apprendre et de s'intégrer avec les coutumes de leur nouveau pays, un tel homme (et sa famille) seraient enclins à faire ce qui était demandé d'eux ou ce qu'ils ont dit "devrait être fait en Amérique."

     

    Mian Situ Chinese Figurative Paintings - Fine Art Blogger:

     

     

    Cet homme et sa famille sont arrivés en costume traditionnel chinois pour leur visite à la "moderne" studio photo américaine.

     

    La jonction des mondes anciens et nouveaux, entre Orient et Occident, est un thème central dans le travail Situ.

     

     

     

    Les immigrants chinois âgés ont apporté leur commerce

    de la Chine de sculpture de petites figures de la pâte, qu'il chiffres colors.

     

    These la main sont très prisés et achetés par les enfants de Ross Alley dans le coeur de Chinatown.

     

    Initialement connu pour les maisons closes et de jeu, Ross Alley est la plus ancienne ruelle de San Francisco.

     

     

    Aujourd'hui, il est le foyer de la Cookie Factory Porte Golden Fortune et de peintures murales représentant la vie quotidienne

    de la communauté chinoise américaine.

     

     

    Il n'ya pas plus unique une icône américaine que le cow-boy.Quel enfant à un moment ou un autre n'a pas rêvé de l'opportunité de vivre la vie d'audace et de liberté qui incarne le cow-boy?

     

    Avec la subtilité, l'élégance et la grâce d'un maître d'art, Sitou Mian fait une déclaration épique sur l'expérience d'émigrants, éplucher le rideau sur le processus par lequel mélange de cultures.

     

    L'importance de ce travail n'a pas échappé à ceux qui ont assisté à la maîtrise 2004 de l'Exposition Ouest américain Fine Art et vente où il a été honoré avec le Prix du choix des mécènes.

     

    In Situ est renommée pour les oeuvres d'art majestueuse convoyage l'expérience asiatique-américain d'émigrer et de l'ouverture d'un nouveau monde.Ici nous sommes témoins de l'autre côté de cette expérience, l'assimilation du rêve américain.

     

     



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    L'artiste américain Mian Situ est né en 1953 dans la province du Sud-Est de la Chine du Guongdong (anciennement Canton) dans la capitale du Canton.

     

    À l'âge de treize ans un ami artiste l'a présenté à l'art.

     

     

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    Situ se souvient:

     

    «Le processus [de la peinture] m'a surpris et, finalement, m'a donné un canal pour libérer l'énergie."

    Dans le cadre de la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne président Mao verrouillé les bibliothèques et détruit de nombreuses œuvres d'art, et les informations se rapportant à cacher d'autres cultures.

     

    Première exposition in situ à l'art classique européen a été quand un ami avec un jeu de clés à une bibliothèque a ouvert la porte et a montré des livres d'art in situ de la Renaissance italienne.

     

    Les deux prochaines années Situ passé la copie de ces livres et ensuite, en puisant dans la vie, en absorbant tout ce qu'il pourrait éventuellement sur la peinture.

     

    Avec ses talents de dessinateur apparente, Sitou a été acceptée dans les langues officielles Académie des Beaux-Arts de Guangzhou (GAFA) où il a étudié de 1972 à 1975, gagnant d'un baccalauréat.

     

    Classes durant ces années a suivi la bonne vieille programme établi dans les académies de Paris et du 19ème siècle adopté par les académies d'art russe, où le réalisme traditionnel développé en réalisme socialiste, et est devenu le style officiel de l'art en Chine.

     

     

    Un des professeurs Situ au GAFA a Guo Shao-gang, un ancien étudiant de la Russie maître Youri Neprintsev M..

     

    (Guo Shao-gang finalement devenu doyen de GAFA.)