•  

     

     

     

     

    Fabrique de soie en Chine 

    LA SOIE 

     

     

    La soie est une fibre textile d'origine animale.

      

    Elle est issue du cocon produit par la chenille du bombyx du mûrier (ver à soie).
    La technique permettant de fabriquer la soie date de 2500 av. J.-C. et vient de Chine par la Route de la soie.

      

    A l'époque seuls les chinois en connaissaient le secret de fabrication.

    Le fil de soie permettait de confectionner des tissus luxueux très recherchés et très chers

     

     

    Retour en arrière

     

     

    Un projet de recherche qui a eu lieu entre 2004 et 2009 a permis la découverte de plus de 30 sites archéologiques d'épaves disséminées le long des rivages de la Chine.

    Ce Projet de recherche 908, a été réalisée par le département de la science et technologie du State Oceanic Administration qui a examiné plus de 676.000 kilomètres carrés d'eaux intérieures et d'eaux océaniques territoriale.

     

     

     



     
      
    Beaucoup de ces épaves appartenaient à des marchands qui transportaient une grande variété de marchandises le long de la Route de la Soie maritime, une route maritime célèbre qui date de près de 2000 ans et qui reliait la Chine à l'Inde, la mer Rouge, le golfe Persique et enfin la Méditerranée.

    La plupart des marchandises exportées pour le commerce se composait de soie, de porcelaine et de thé, tandis que les marchandises importées étaient des épices et du bois de cèdre du Liban.

    La route a d'abord été utilisée sous les dynasties Qin et Han (25-220 après JC), et elle a vu sa popularité augmenter de la période des Trois Royaumes (220-280 après JC) à la dynastie des Sui (581-618 Après JC).
     
     
     
     


    Jusqu'aux rébellions sous la dynastie des Tang Un shi (755-762), cette route a toujours été considérée comme une alternative secondaire à la Route de la Soie par voie terrestre; mais dans la seconde moitié du VIIIe siècle, les guerres font rage dans les vastes régions de l'Ouest, le volume du commerce le long de la Route de la Soie maritime subi alors une baisse.
     
     
     
     


    Les progrès technologiques dans la construction navale et la navigation a conduit à l'ouverture de nouvelles voies maritimes vers l'Asie du Sud, Malacca, l'océan Indien et le golfe Persique.
     

    Guangzhou est devenu le premier grand port en Chine à l'époque des dynasties Tang et Song, bien qu'il ait été plus tard remplacé par Quanzhou sous la dynastie des Yuan (1271-1368.
     
     


    Les gouvernements des dynasties Ming et Qing ont toutefois émis une interdiction sur le commerce maritime, contribuant à une baisse massive de son utilisation.

    Lorsque la guerre de l'opium a éclaté en 1840, la Route de la Soie par la mer a complètement disparu.


    Liu Wensuo, un archéologue à l'Université Sun Yat-sen, explique que :" Ces épaves peuvent donner des indices sur la Route de la Soie maritime, qui reliait la Chine à l'Inde, l'Afrique et l'Europe."

    Sun Jian, un chercheur de l'Académie chinoise de la culture du patrimoine, précise qu': "Il y a beaucoup de sites archéologiques subaquatiques près de la Chine de la côte sud-est et les pays voisins, comme le Vietnam."
     



    Cependant, ces sites d'épaves nouvellement découvertes ont encouragé de nombreux pêcheurs pillards à rejoindre ces eaux pour récupérer des trésors anciens... "Une épave ancienne contient généralement des milliers de reliques", explique Sun. "Et cette occasion d'énormes profits a incité un nombre croissant de personnes à plonger pour récupérer ces richesses."
     
     

    En 2006 par exemple, la police a traité 45 cas de contrebande d'antiquités comprenant 7.144 objets provenant de navires ayant coulés.

    Deux agences gouvernementales chinoises ont signé un accord visant à protéger le patrimoine culturel sous-marin du pays.

     
    Source:

      

      

      

      

      

      


  • Chine: découverte d'une momie de 700 ans dont le visage est incroyablement conservé

     

    C'est par pur hasard que des ouvriers chinois ont découvert cette momie vieille de 700 ans dans l'est de la Chine.



    Le corps de cette femme de haut rang que l'on pense être de la Dynastie Ming, le pouvoir en place en Chine entre 1368 et 1644, a été découvert par une équipe qui cherchait à élargir une rue.

    La momie, qui a été trouvée dans la ville de Taizhou, dans la province du Jiangsu, ainsi que deux autres tombes en bois, offre un aperçu fascinant de la vie telle qu'elle était à l'époque.

    Elle a été découverte deux mètres en dessous de la surface de la route.Les vêtements de la femme, de la tête aux pieds, ont conservé leur état d'origine, et sont à peine détériorés.
    Lorsque la découverte a été faite par les ouvriers, à la fin du mois dernier, les archéologues chinois, du Musée de Taizhou, ont été appelés pour fouiller la zone.

    Ils ont été surpris par le bon état remarquable de la peau de la femme, de ses cheveux, ses cils et son visage.
    Son corps, qui mesure 1,5 mètres de haut, a été retrouvé sur le chantier, immergé dans un liquide brun à l'intérieur du cercueil.

    Ce gros plan sur les chaussures de la momie montre l'excellent état de conservation de celle-ci.

    La main de droite de la momie révèle un anneau sur sa peau particulièrement bien préservée.
    Elle portait un costume traditionnel de la Dynastie des Ming; dans le cercueil, il y avait aussi des os, des céramiques, d'anciens écrits et d'autres reliques.

    Il s'agit de la dernière découverte après une accalmie de trois ans dans la région. En effet, entre 1979 et 2008, cinq momies ont été trouvés en bonne état de préservation.
    Ces découvertes permettent une meilleure connaissance des techniques d'enterrement et de préservation de cette dynastie, ainsi que les coutumes en cours pour l'enfouissement des morts.

    Le Directeur du Musée de Taizhou, Wang Weiyin, a déclaré que les vêtements de la momie sont faits principalement de soie, avec un peu de coton. Il a dit qu'habituellement la soie et le coton sont très difficiles à préserver et les fouilles ont révélé que cette technologie de momification était utilisée seulement pour des funérailles de très hauts dignitaires.

    La première découverte de la dynastie Ming à Taizhou date de mai 1979 et avait conduit à l'ouverture du musée.
    A cette époque, les corps ont été également retrouvés intact, mais en raison du manque d'expérience des archéologues, seuls les vêtements, ceintures et colliers ont pu être conservés.

    La dynastie des Ming, qui a construit la Cité Interdite et restauré la Grande Muraille, a été la derniére en Chine; elle a marqué une ère de croissance économique et de splendeur culturelle qui a produit les premiers contacts commerciaux avec l'Occident.
    Source:

  • Afficher l'image d'origine 

    Chine: une série de complexes rituels mis au jour sur le site de Wadian

     
     

    Des archéologues chinois ont découvert une série de complexes rituels disposés de façon symétrique sur un site de la culture Longshan à Wadian, près de la ville Yuzhou, dans la province du Henan.

     


    Les experts pensent qu'ils peuvent être considérés comme étant à l'origine d'un style architectural connu:

     

    le "temple des ancêtres sur la gauche tandis que l'autel est à droite"; la caractéristique de ces complexes rituels disposés symétriquement est qu'ils sont situés au sud des colonies ou des villes.

     

    La superficie actuelle du site de Wadian est d'environ 1 million de mètres carrés et est un gigantesque site de la culture Longshan au sein de la province du Hunan. La recherche pour comprendre la formation de ce lieu d'occupation fait partie du projet d'exploration de la civilisation chinoise.

    Ces dernières années, l'Institut d'Archéologie et des Reliques Culturelles de la Province du Henan et l'Université de Pékin ont mené conjointement une série de travaux sur le site de Wadian avec des enquêtes archéologiques, des fouilles, et des recherches multidisciplinaires.

    Sur la terrasse nord-ouest du site de Wadian ont été découverts d'énormes fossés arrondis: ils sont le signes de lieu d'occupation datant de la fin de la troisième culture Wangwan (début de la dynastie Xia) de la période Longshan.

    Son système de défense était formé à partir des fossés en trois dimensions (Est, Ouest et Sud) et la rivière Ying au nord.


    En se basant sur l'analyse de la forme et des conditions de création de ces immenses fondations en terre battue, les chercheurs ont pu démontrer qu'il y avait toutes les caractéristiques liées à des activités rituelles.

    Cette structure pourrait être à l'origine du style du "temple des ancêtres sur la gauche tandis que l'autel est à droite".

    Parmi ces caractéristiques, l'Est de la fondation en terre battue a été formé à partir de plusieurs fossés en carrés homocentriques, tandis que l'Ouest de ces fondations est formé de trois architectures indépendantes.

    L'une de ces architectures pourrait être un lieu de culte connu sous le nom de Shan: de forme rectangulaire avec une zone autour de mille mètres carrés, comme mentionné dans les littératures anciennes.


    Les archéologues ont découvert 10 restes de squelettes humains utilisés pour les fondation ou pour le sacrifice:
     
    leurs têtes ont été séparées de leurs corps. Certains de ces restes étaient mélangés avec ceux d'animaux et dispersés autour des fondations de chaque logement.

    Fang Yanming, de l'Institut d'Archéologie, pense que la découverte de ces gigantesques fossés arrondis et de ce complexe rituel permet de qualifier ce site comme une importante colonie sur le fleuve Ying.


    Avec ces récentes fouilles archéologiques, c'est une grande quantité d'objets extravagants qui ont été déterrés sur le site de Wadian, certains sont des poteries en forme de gobelet, de tête sculptée, d'oiseau à longue queue, d'autres avec des symboles gravés, des oiseaux, des spirales ou des motifs géométriques.

    En outre, un ensemble complet d'instruments à vin en poterie blanche, noire ou grise ont également été identifiés.
    Enfin, plusieurs artefacts rares, comme des objets de jade et d'énormes os utilisés pour la divination ont été trouvés.

    Source:

     


  •  

    Le mausolée de l'empereur Qin, qui s'étend sur environ 56 km2, est un mausolée dédié à l'empereur Qin Shi Huangdi (IIIe siècle av. J.-C.). L'ensemble archéologique, qui se trouve à proximité de la ville de Xi'an, comprend d'une part le tombeau proprement dit, et d'autre part les fosses où l'on a trouvé, à partir de 1974, l'armée enterrée formée par des milliers de soldats de terre cuite. Cette dernière est parfois appelée armée de terre cuite ou armée d'argile.

     

    La tombe proprement dite est recouverte par un tumulus haut de 115 mètres, mais n'a pas été explorée. On en connait le contenu légendaire au travers du récit de Sima Qian.

     

    Fichier:Xian museum.jpg

     

    À environ 1500 mètres se trouvent les fosses contenant quelque huit mille statues de soldats datant de -210, qui ont quasiment toutes un visage différent, et de chevaux en terre cuite. C'est « l'armée enterrée », destinée à garder l'empereur. Ces statues furent cuites dans des fours à une chaleur d’environ 900 °C, puis décorées et colorées.

     

    LES FOUILLES ET L'ARMEE ENTERREE

     

    La fosse n° 1, mise au jour par des paysans qui creusaient un puits en mars 1974, n'est qu'une fosse parmi d'autres. Certaines ont été retrouvées à plusieurs kilomètres du tumulus de sa tombe.

     

    L'édification de la nécropole a nécessité trente-six ans d'ouvrage, avec une main d'œuvre de quelque 700.000 personnes. D'après Les Mémoires historiques de l'historien Sima Qian, les ouvriers ayant préparé le tombeau et assisté à l'enterrement ont été emmurés vivants dans le mausolée à la fin de la cérémonie afin que les secrets de sa construction ne soient pas divulgués. Les sacrifices humains à la mort d'un empereur paraissent avoir été fréquents dans la Chine de cette époque. Certaines fosses contiennent d'ailleurs de nombreuses dépouilles.

     

    Détail d'une partie de l'armée enterrée

     

    Les premiers guerriers ont été découverts par des cultivateurs qui creusaient un puits dans un village voisin. Rapidement, les fouilles ont commencé, et de larges bâtiments ont été édifiés pour les protéger. Le premier a été terminé en 1979.

     

    On trouve beaucoup de fantassins, mais aussi des archers, des chars, des cavaliers, des généraux, etc.

     

    Les personnages mesurent près de 1,80 m à 2 m, et ont tous un visage différent. Ils portent tous une arme (épée, arc ou arbalète) en bronze recouverte d'une fine couche de chrome, afin de les empêcher de rouiller (raison pour laquelle certaines de ces armes sont toujours affûtées) ; certaines d'entre elles auraient été pillées ou en partie retirées par des archéologues pour les analyser ou les exposer dans un musée, mais on peut encore distinguer leur trace dans la forme des mains.

     

    Fichier:Terrakotta 2006 2.jpg Fichier:TERRACOTTA ARMY @ Gdynia 2006 - 07 ubt.jpeg

     

    Depuis cette grande découverte des fosses n° 1, 2 et 3, remontant à quelques dizaines d'années, les archéologues en ont trouvé de nouvelles qui ont été mises au jour. L'une d'elles contient des milliers d'armures en pierre d'une finesse incroyable, même pour notre époque. Une autre, appelée la « fosse aux juges », présente des notables, des scribes, probablement des hommes de loi. La dernière découverte, fouillée récemment (vers 2004), contient des musiciens et une grue longeant un ruisseau factice.

     

    Il semblerait que l'empereur ait souhaité être entouré, jusque par-delà la mort, de toutes les choses qu'il aurait appréciées de son vivant et d'avoir des moyens pour affronter l'éternité.

     

    LA TOMBE

      

    La tombe elle-même se trouve à environ 1,5 kilomètre à l'ouest de l'armée enterrée. Selon les sources historiques, elle contiendrait, outre le corps de l'empereur Qin Shi Huangdi, une reproduction de son empire, avec des rivières de mercure coulant éternellement, et un plafond constellé de perles, pour représenter la voûte étoilée. On dit aussi que la tombe de l'empereur contiendrait les tombes de 48 concubines, enterrées vivantes avec lui. Deux chariots de bronze somptueux ont été déjà déterrés près du tumulus contenant la tombe.

    La tombe elle-même n'a pas encore été fouillée. L'État souhaite en effet attendre le développement de technologies qui garantissent que le contenu, en particulier la momie de l'empereur, ne subira aucun dommage. De plus, les archéologues cherchent à s'assurer que les pièges et les trappes équipées d'arbalètes, installées, pense-t-on, par l'empereur pour protéger sa dépouille des pillards, ne constituent pas un danger.

     

    Fichier:TERRACOTTA ARMY @ Gdynia 2006 - 01 ubt.jpeg

     

    L'ARMEE

     

    Selon l'architecte chinois Chen Jingyuan, qui a examiné l'armée enterrée, celle-ci ne serait pas celle de l'Empereur, mais celle de son arrière arrière grand-mère, l'impératrice douairière Xuan, comme le montreraient certaines caractéristiques stylistiques. Cette théorie fait l'objet de débats.

     

    Des doutes ont été émis à propos de l'authenticité de l'armée enterrée : en 1988, Guy Debord qualifie l'armée de terre cuite de « faux bureaucratique ». Jean Leclerc du Sablon, correspondant de presse à Pékin 30 ans durant, évoque ses doutes dans son livre L'Empire de la poudre aux yeux - Carnets de Chine, 1970-2001. En 2007, le diplomate et sinologue suisse Térence Billeter considère l'armée comme fausse, se fondant principalement sur la découverte du site au moment où Mao Zedong se comparait lui-même à Qin Shi Huang, sur l'absence de mention de cette armée dans la description pourtant détaillée que Sima Qian fait de la tombe, et sur le style artistique des statues. En 2010, le sinologue Jean Levi reprend ces affirmations dans son livre La Chine est un cheval et l'univers une idée.

     

    Cependant, ces contestations pèsent peu face à la reconnaissance internationale accordée à l'armée de terre cuite par son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

     

    D'après Wikipédia



  •  

    Culture du bambou en Chine

      

    Culture du bambou en Chine

     

     

    La culture du bambou existe en Chine depuis plus de 7000 ans. Elle est profondément enracinée dans la vie quotidienne des Chinois. Durant la dynastie des Shangs ( 16 – 11 siècle avant J. C. ), les bambous ont été utilisés pour fabriquer des articles ménagers et des armes comme par exemple les flèches. Avant l’invention du papier, les morceaux de bambou étaient les supports les plus importants pour l’écriture. Les pousses de bambou, riches en vitamines, font partie des ingrédients les plus utilisés dans la cusine chinoise. Aujourd'hui encore, de nombreux instruments musicaux chinois sont fabriqués en bambou, comme le DI ( flûte chinoise ), le SHENG ( anche chinoise ) et le XIAO ( flûte ¨verticale¨chinoise).

    A travers les siècles, le bambou a inspiré l’imagination de nombreux artistes, admirant sa pureté et son élégance. Avec la prune ( Mei ), l'orchidée ( Lan ) et le chrysanthème ( Ju ), le bambou est l'une des quatre plantes favorites chinoises, elles sont appelés les quatre hommes d'honneur ( 4 Junzi ). Les qualités de ces quatre plantes sont fortement admirés par les chinois au point qu'ils souhaitent en avoir leurs vertus. A tour de rôle, les plantes possèdent une certaine nature humaine. C'est un exemple de l'harmonie entre la nature et l'être humain.

      

    Culture du bambou en Chine

      

     

      

    Généralité :

    A l'heure actuelle, on dénombre environ 75 genres pour au moins 1 500 espèces et variétés de bambou.
    Il pousse sur tous les continents. Il a la capacité d'obtenir sa taille adulte en moins de 20 ans (certaines espèces de bambou sont capables de grandir de plus d'un mètre par jour). Son utilisation permet ainsi de préserver des essences de bois mettant plusieurs dizaines ou centaines d'années pour obtenir leur taille adulte.

    Vive le bambou!!!
    Historique :

    Il y a près de 2 000 ans, le bambou fut pour la dynastie Han en Chine ce que fut le papyrus pour les égyptiens dans la fabrication du papier.
    En Occident, le bambou a gagné ses lettres de noblesse grâce à Edison qui l'utilisa pour fabriquer le filament de la première ampoule électrique.


    Propriétés :

    Le bambou possède beaucoup de qualités :
    - Son bois est difficillement putréscible ;
    - Sa r&ésistance est comparable à celle de l'acier suivant les cas ;
    - Sa rapidité de croissance est unique ;
    - Sa structure fibreuse et sa grande flexibilité le rendent très résistant ;
    - Sa grande malléabilité permet une utilisation très variée...


    Utilisations :

    De nos jours, le bambou est toujours très utilisé en Asie. il permet de construire les échaffaudages des hauts buldings de Hong-Kong. Il constitue le matériau de base dans la construction navale et dans les accessoirs de pêche et de chasse (Cannes à pêche, arcs...). Nous le retrouvons aussi comme contenant et contenu tels que des bols, des saladiers, baguettes chinoises...

    Au niveau industriel, l'Asie a un savoir faire reposant sur des techniques ancestrales qui se sont modernisées. De nos jours, il constitue un matériau parfaitement adapté à la fabrication des meubles et des objets de décoration.

     

    sources ; http://www.ruyi-france.com/lire/article_details.php?rubid=25

     

     

     

     


     

     


  • Chronologie de l'histoire chinoise

     

     

    Néolithique : 5000-2000 av J-C
    Dynastie des Xia : XXIIe-XVIIe siècle av J-C
    Dynastie des Shang : XVIIe-vers 1050/1025 av J-C
    Dynastie des Zhou de l'Ouest : vers 1050/1025-771 av J-C
    Dynastie des Zhou de l'Est : 720-256 av J-C
    Dynastie des Qin : 221-206 av J-C
    Dynastie des Han de l'Ouest : 206 av J-C - 8 ap J-C
    Dynastie de Xin (Wang Mang) : 8-23 ap J-C
    Dynastie des Han de l'Est : 25-220
    Trois royaumes (san guo) : 220-280
    Dynastie des Jin de l'Ouest : 265-316
    Seize royaumes des 5 barbares et Dynasties du Nord et du Sud : 304-589
    Dynastie des Sui : 581-618
    Dynastie des Tang : 618-907
    Cinq Dynasties (Nord) : 907-960
    Dix royaumes (Sud) : 902-979
    Dynasties des Song : 960-1279
    Song non chinoises du Nord : 907-1234
    Song du Nord-Ouest : 1036-1227
    Dynastie Yuan (Mongols) : 1276-1368
    Dynastie des Ming : 1368-1644
    Dynastie des Qing : 1644-1911
    République de Chine : 1911-1949
    République populaire de Chine : depuis 1949


  •  

    Histoire de l'éventail chinois

    Histoire des éventails chinois

     
    L'histoire de la fabrication des éventails chinois traditionnels remonte à partir de la dynastie des Han. Si aujourd’hui en Chine, l'utilisation pratique des éventails a diminué avec la venue des ventilateurs électriques et du climatiseur ; ils restent comme les métiers traditionnels, aimés pour leur qualité artistique.
    La Chine fabrique des éventails depuis 200 av. JC. Pendant la dynastie des Han (206 av. JC – 23 après JC), Ban Jieyu, une célèbre femme écrivain, a écrit par admiration des éventails cette poésie: « La soie nouvellement tournée de Qi est aussi blanche que la neige, les éventails ronds sont faits d’éclats de soie comme la pleine lune ». Les éventails pliables sont apparu dans les dynasties nordiques et méridionales (420-581) et sont devenus très populaires pendant les dynasties de Ming (1368-1644) et de Qing (1644-1911) parce qu'il était commode de les porter.
    Les premiers éventails en Chine étaient en plumes, de ce fait le caractère chinois pour le mot « éventail » est le même caractère que pour le mot « plume ». Dans les temps anciens les éventails étaient utilisés pour maintenir l’air frais ainsi que pour écarter la lumière du soleil et la poussière. Wang Dao, un premier ministre de la dynastie Jin (317-420), dit un jour « j'utilise souvent mon éventail pour me défendre de la poussière et pour me refroidir en été ». Les gens de toutes conditions sociales aimaient les éventails pour leur usage pratique. Les plus couramment employés étaient les éventails en feuille de palmier. Quelques éventails étaient décoratifs, fait avec des matériaux de qualité et une grande compétence artistique. Des éventails d'ivoire, par exemple, ont été utilisés comme des hommages à la cour impériale et ont été considérés comme des symbôles de puissance et de haut rang.
     
      
    Histoire de l'éventail chinoisL'utilisation pratique des éventails a diminué avec la venue des ventilateurs électriques et du climatiseur. Comme les métiers traditionnels cependant, les éventails sont encore aimés pour leur valeur artistique, particulièrement ceux avec de belles peintures. Les éventails peuvent être faits de beaucoup de matériaux, tels que l'ivoire, le bois de santal, les plumes, le papier, la soie, le bambou...
    Ainsi il n’y a pas qu’une variété d’éventail mais plusieurs, comme les éventails de palais, les éventails pliables, les éventails de papier noir, les éventails de plume, les éventails en feuille de palmier, les éventails de gong, les éventails d'ivoire ou en bois de santal, etc. Le contour des peintures de la toile des éventails peut être rond, se plier.... Ces éventails à la valeur artistique élevée sont habituellement peints par des artistes très connus avec de la peinture, de la poésie, de la calligraphie, et certains d'entre eux sont même décorés par de l'ivoire, du jade ou des perles.
     
    L' éventail sur cette photo est vendu par la boutique RUYI, vous pouvez le trouver sur le site :
    http://www.ruyi-france.com/
     

     


  • costume traditionnel chinois ( II ) 

      

      

    costume traditionnel chinois

    Les Chinois ont différents costumes pour plusieurs occasions. Chaque costume a des motifs, des couleurs vives et une façon bien particulière de se porter. La soie est une matière très utilisée pour leur confection. Le costume du Chinois représente son rang social ou la journée de la semaine. Par exemple, un kimono est un vêtement de tous les jours avec des teintes et des formes diverses.

    PRESENTATION

      Les objets retrouvés dans les vestiges archéologiques de la culture chinoise de Chang Ting Tong, qui fleurit près de Pékin il y a plus de 18000 ans, avec des aiguilles à coudre en os, des perles en pierre et des coquillages avec des trous forés prouvent l'existence d'une conception de l'ornement et d'une technique de couture dès cette époque. C'est pendant l'ère de l'Empereur Jaune et des Empereurs Yao et Shun (il y a environ 4500 ans) que la variété des habits et l'habitude de coudre furent établies. Plus tard, des débris de soie et de chanvre tissés et des statuettes anciennes en terre cuite tendent à prouver que l'habillement sous la dynastie Shang (XVIème-Xième siècles av. J.-C.) était déjà assez raffiné et sophistiqué.

    VARIETES

    Les costumes traditionnels chinois se regroupent en trois types principaux qui sont les suivants :
    * le pien-fou
    * le cheong-sam ou qi-pao
    * le chen-yi

      Le pien-fou est un ancien costume de cérémonie en deux pièces, composé d'une sorte de tunique descendant jusqu'aux genoux et d'une jupe cachant les chevilles (on devait porter une jupe à certaines occasions pour être considéré comme habillé correctement). Le pien est le calot de cérémonie de forme cylindrique ; le terme pien-fou sera employé plus tard pour désigner l'ensemble des vêtements de cérémonie.

      

      

    Le qi-pao (ou cheong-sam), longue robe, est un vêtement en une pièce qui va des épaules aux talons aussi bien porté par les hommes que par les femmes.

    Le chen-yi est en quelque sorte un compromis entre le pien-fou et la longue robe. Il est composé de deux pièces : la tunique et la jupe comme le pien-fou, mais les deux sont cependant cousus ensemble, ce qui donne une apparence de longue robe. Vu de plus près, toutefois, il ressemble davantage au pien-fou de par sa coupe ample et ses plis profonds qui se drapent largement sur le corps. C'est en fait de là que vient son nom qui signifie littéralement : « vêtement profond ». Le chen-yi était le vêtement le plus communément portés des trois styles de costumes différents : il correspondait à « l'habit du dimanche » pour les gens du peuple et la tenue quasi-officielle des fonctionnaires du gouvernement et intellectuels ; c'était un costume aussi bien adapté aux lettrés qu'aux guerriers.

    costume traditionnel chinois ( II )Ces trois styles en plus de la coupe ample et des larges manches qu'ils ont en commun, ont comme particularité une conception fondée surtout sur les lignes droites ; le vêtement peut être porté tel quel flottant ou avec une ceinture à la taille en laissant tomber naturellement les plis. Tous les types de vêtements traditionnels chinois, tunique et jupe ou tunique et pantalons, emploient un nombre minimum de points de couture par rapport à la quantité de tissu utilisée. A cause de leur dessin et structure relativement simples, on ajoute souvent des liserés brodés, des bandes décorées, de la toile ou de la soie, des agréments sur les épaules ou des ceintures comme ornementation. Ces bordures décoratives, ces appliques et les diverses broderies élégantes et riches en couleurs sont devenues l'une des caractéristiques propres au costume traditionnel chinois.

    Pour les vêtements traditionnels chinois, on préférait les couleurs foncées aux couleurs claires, ainsi la tonalité principale des tenues de cérémonie tend vers le foncé et est accompagnée de dessins brodés recherchés ou de brocarts aux couleurs éclatantes. Les couleurs claires étaient plus souvent utilisées par les gens du peuple pour leur s vêtements de tous les jours ou habits de sortie.

    Les Chinois associent certaines couleurs aux saisons, par exemple le vert représente le printemps, le rouge l'été, le blanc l'automne et le noir l'hiver. On peut dire que les Chinois ont un système complet qui marie, coordonne et contraste les couleurs et les nuances du clair et du sombre dans le vêtement.


  •   

    l'âge d'Or Chinois

    CIVILISATION CHINOISE

     

    Les tendances esthétiques chinoises ordonnent les créations artistiques selon une hiérarchie profondément différente de celle de l'Occident : elles tiennent compte de leur lien plus ou moins direct avec l'esprit.

    L'écriture – et donc la calligraphie, véhicule par excellence de la pensée – prend ainsi la première place qu'elle partagera avec la peinture. Architecture et sculpture sont en revanche considérées comme œuvres d'artisans, de professionnels, au même titre que la céramique, le bronze, le laque ou l'orfèvrerie. Cette distinction entre des arts gratuits, animés par la seule quête spirituelle, apanage des « lettrés », et des arts de commande liés à la religion, aux exigences du monde officiel ou de la vie quotidienne, demeure essentielle.

    Cette primauté de l'esprit n'exclut cependant pas l'amour des matières précieuses en ce pays qui révéla au monde la soie, le laque, la porcelaine, et qui porta à sa plus haute perfection la technique du bronze. Le connaisseur chinois, sensible au rythme de la ligne, le fut aussi au raffinement visuel et tactile qui seul peut donner à la jouissance esthétique sa véritable dimension.

    Si l'on excepte certaines manifestations religieuses de l'art chinois (les bronzes archaïques, l'art funéraire et la sculpture bouddhique), il semble que la création artistique soit ici marquée par la recherche de la pérennité à travers l'éphémère et le fluctuant.

     Les matériaux d'abord en témoignent, périssables par essence : papier, bois, laque, soie, porcelaine. Les thèmes en sont aussi l'illustration, goût du transitoire, importance accordée à la fluidité d'une sensation, à la fragilité d'un moment, thèmes à travers lesquels la poésie comme la peinture à l'encre atteignent l'intemporel.

    Sur le plan stylistique, enfin, l'animation constante de la ligne, la prédominance du mouvement, de l'aigu, de l'oblique, de l'onde apparaissent comme le dénominateur commun de créations très différentes.

    La première impression que laisse l'art chinois à celui qui tente d'en approfondir l'approche est peut-être celle d'une immense diversité temporelle et spatiale. Marqué, dès l'abord, par une continuité de trois millénaires, cet art s'est épanoui sur un continent dont les variations régionales se révèlent très marquées.

     La continuité temporelle n'a d'ailleurs jamais impliqué, en Chine, l'uniformité ; chaque siècle apporta ses innovations, ses dominantes, son potentiel d'évolution. Il ne faut pas oublier enfin que notre connaissance de cet art, liée aux découvertes archéologiques et aux recherches historiques, est encore dans l'adolescence, et que chaque jour apparaissent de nouvelles données éclairant des manifestations artistiques jusqu'alors ignorées.

    Michèle PIRAZZOLI-t'SERSTEVENS

     

    l'âge d'Or Chinois

     

    1. Évolution générale

    La critique picturale apparaît en Chine au ive ou au ve siècle de notre ère, mais les œuvres transmises de génération en génération, ainsi que les monuments, ne sont que rarement antérieures au xe siècle. Aussi, l'art qui s'est constitué avant la chute des Tang doit-il beaucoup de son histoire aux innombrables découvertes faites dans le sol chinois à partir des années vingt. Étant assujettie à l'archéologie, la connaissance que nous avons de cet art

      

    L'une des délicates sculptures Tang des collections du musée qui en compte plusieurs ( Tambour à cheval, dynastie Tang, Chine, terre cuite orange avec polychromie, 35 x 30 cm, acquisition du musée ).
     

    s'appuie sur des œuvres dont la beauté n'était, pour leurs contemporains, qu'un critère secondaire en regard de leur destination, de leur fonction rituelle ou de leur caractère symbolique. Dans leur majorité, les pièces qui jalonnent l'évolution de l'art chinois sont en effet associées à des pratiques funéraires.

    Elles reflètent souvent le goût des classes favorisées de la société à des époques et en des lieux où ces classes jouissaient d'une relative quiétude.

     

    Enfin, leur appréciation esthétique ne saurait faire oublier qu'elles sont d'abord des documents sur un passé que seuls des textes anciens permettaient naguère d'approcher.

    • De la légende à l'histoire : les Xia et les Shang (env. fin du IIIe millénaire-XIe s. av. J.-C.

    La mise au jour de vestiges attribués à la légendaire dynastie des Xia apporte une révélation comparable à celle qu'avaient fournie, à la fin des Qing, la reconnaissance et le déchiffrement des os divinatoires des Shang, puis, à partir de 1928, la fouille du site d'Anyang. Os divinatoire, civilisation ShangAujourd'hui, tout donne à penser que les Xia – une dynastie ? un État ? une population ? – ont bien précédé les Shang ; contrairement à ces derniers, ils semblent ne pas avoir laissé d'écrits rendant possible l'identification de leur culture parmi l'ensemble des vestiges du début du deuxième millénaire.

    Si des légendes se rapportent à eux dans quelques régions de la Chine centrale, c'est près de Luoyang qu'une culture pré-Shang ne relevant plus du Néolithique offre une certaine consistance. En effet, deux établissements de cette région annoncent la formation de la cité : les ruines d'une enceinte en terre damée découverte à Wangchenggang et les fondations de deux bâtiments, palais ou temples, à Erlitou (vers 2200-1600 av. J.-C.).

    Originaires de Erlitou, les premiers bronzes sont des couteaux et des vases aux parois minces, imitant souvent des terres cuites.

      

    Cette soumission à un modèle révèle bien la naissance d'un art dont la gestation n'a cependant pas encore été reconstituée.

    boite en émail cloisonné

    Des tombes du début des Shang (Erlitou, périodes IV et V) ont livré de belles armes rituelles en jade, des fragments de laques rouge de cinabre et deux plaques en bronze incrusté de turquoise dont le décor préfigure le motif énigmatique du taotie, masque animalier fantastique aux yeux globuleux, dépourvu de mâchoire inférieure.-2000 à -1000. Les empires du Bronze

      

    sources précieuses :

     

    http://www.universalis.fr/encyclopedie/chinoise-civilisation-les-arts/

    photographies : google.

     


  •   

    Les cloisonnés... Art Chinois

      

      

    La technique des émaux cloisonnés remonte au XVe siècle, mais ce sont les objets chinois du XVIIIe siècle qui restent les plus prisés.

     

    À commencer par les pièces impériales.   

    Importée de Byzance, la technique des émaux cloisonnés a été introduite et développée en Chine au début du XVe siècle.

     

    Elle consiste à poser des cloisons sur une pièce en bronze pour former des alvéoles où sont appliqués les émaux.   

     

     

    Afficher l'image d'origine

    Elle se différencie de la technique des émaux champlevés, venue de Limoges en France au Moyen Âge, dans laquelle les alvéoles recevant l’émail sont directement creusées dans le métal. 

     

    Les premiers cloisonnés chinois sous les Ming sont issus des commandes impériales pour le culte tibétain.

     

    Par la suite, ils sont principalement destinés aux temples et à la cour de l’empereur.

     

    Leurs formes s’inspirent des bronzes archaïques, des laques ou de la céramique chinoise.

     

    Leur élégance dépasse de loin leur caractère utilitaire.

     

    La palette de couleurs visant à retrouver les nuances des pierres fines s’étend au fil des siècles.

     

    Elle s’enrichit de rose, de violet, de brun clair et de verts nuancés. 

     

    Afficher l'image d'origine
      

    Au XVIIIe siècle, la technique s’affine :

    c’est l’âge d’or des cloisonnés qui permet la réalisation d’objets plus grands, dans un répertoire de formes et de décors encore plus riche.

     

    La profusion des décors, associés aux règnes végétal et animal, reflète l’univers symbolique du bouddhisme, du taoïsme et du confucianisme.

     

    Le dragon représente l’empereur, et le phénix l’impératrice.

     

    Le lotus incarne la pureté ; l’éléphant, la paix...



     Emaux


cloisonnés

    Le critère impérial :
      

    Depuis le XIXe siècle, les cloisonnés chinois sont collectionnés par des amateurs occidentaux, surtout les plus belles pièces du XVIIIe. Depuis quelques années, les pièces impériales en cloisonnés intéressent aussi les collectionneurs asiatiques. Du coup, les prix ont décuplé.

    Tout objet portant une marque impériale est pris d’assaut à prix d’or. 


       Mais tous les cloisonnés impériaux n’étant pas forcément marqués, d’autres critères tels que la rareté, les dimensions, la finesse d’exécution et la qualité du décor indiquent une provenance impériale.

     

    Ainsi, le 13 juin 2007 à Paris, une exceptionnelle paire impériale (non marquée) de personnages de 68,5 cm, d’époque Qianlong (1736-1795), a été vendue au prix record de 6,5 millions d’euros.  

    Armelle Malvoisin

      

    La technique des émaux cloisonnés a été introduite et développée en chine au début du XVème siècle. elle consiste à poser des cloisons sur une âme en bronze pour former des alvéoles où seront appliqués les émaux.

     

    Après les cuissons des émaux et les ponçages, les parties en bronze sont dorées au mercure.
    Les premiers cloisonnés chinois sous les Ming sont issus des commandes impériales exécutées pour le culte tibétain.

     

    La couleur des émaux : bleu turquoise et bleu lapis-lazuli , noir, blanc, vert, est franche. Au 16ème, la palette de couleur s’enrichit du rose au violet, du brun clair et de verts nuancés, et les représentations végétales, animalières reflètent l’influence taoïste. On trouve des objets utilitaires et décoratifs en émaux cloisonnés et bronze doré :

     

    Cloisonnés et émaux peints

    vases de forme yenyen, hu, gu, zun, double-gourde, bassins, brûle-parfums, aquariums, meubles (tables, paravents et écrans) plaques, bols, assiettes, et même des animaux.



    Au 18ème siècle, les techniques nouvelles permettent la réalisation d’objets de plus en plus grands et plus précis dans les détails. Les émaux cloisonnés sont partout en tabourets de jardin, en d’imposantes garnitures, sur les jouets, en représentation de personnages…

     

    A 19ème siècle, les cloisonnés chinois déclenchent une mode en Europe, certains recevront une monture de style Barbedienne.

    Les émaux peints sur cuivre résultent de l’assimilation d’une technique étrangère, celle des émaux peints, venue directement de Limoges, en France.

     

    Elle fut introduite en Chine à la cour par un jésuite français.

     

    Les premiers missionnaires français en rapportèrent pour les faire copier.

     

    Ces émaux polychrome peints sur cuivre sont employés dans la fabrication des services à vaisselle, les boites à gâteaux, à fruits, à thé, les coupes et verseuses à vin, les vases.

     

    Au 18ème siècle et au 19ème siècle, Canton est le plus grand centre de production. Le commerce des émaux de Canton s’affirmera avec la création des Compagnie des Indes Orientales.

     

    La grâce du dessin et le charme des émaux exécutés dans les ateliers du palais impérial ou les ateliers du Guangdong sous le règne des empereurs, Kangxi, Yongzheng et Qianlong, et exécutés à leur dessein, ne trouveront nulle part leur égal. Tabatières, boites, et pièces de formes en firent l’objet.



    Laque de Pékin, Laque de chine, Laque du japon, Laque asiatique, Compagnie des Indes, Namban, Maki-e, coromandel, inro Acceder à la collection Cloisonnés et émaux peints>>
     
     
     Emaux


cloisonnés
     
      
    Photographies :
    Google - images.

      


  •  

    Le costume traditionnel chinois ( I )

     

      

      

    Dans la Chine Impériale, les vêtements correspondaient à une situation sociale bien précise. Les gens de la cour Impériale ainsi que les hauts dignitaires et les lettrés étaient vêtus de tuniques de soies luxueuses. Redécouvre avec nous un court aperçu de l'histoire du costume chinois.

      

      

     

      

      

    Le Hanfu (Sinogramme traditionnel: 漢服; Sinogramme simplifié: 汉服; Pinyin: hànfú; Wade-Giles: hanfu; Minnan: hànho̍k ou hanhok; Cantonais: hɔn˧fʊk˨ ou honfuk), aussi appelé Hanzhuang (漢裝, "costume des Hans"), ou Huafu (華服), est le vêtement traditionnel porté par les Chinois Hans avant la dynastie Qing.

     

    Cependant, il ne faut pas confondre avec qipao, costume souvent considéré comme typiquement chinois, mais en réalité un costume des Mandchous modernisé par les Européens, à l’origine pour les prostituées du vieux Shangai ; Ni Tangzhuang, Tangzhuang signifie littéralement “Costume de dynastie Tang”, mais c’est aussi totalement faux. Tangzhuang est aussi un costume des Mandchous apparu dans la dynastie Qing. Il ne faut pas nous plus le confondre avec le kimono, le costume traditionnel japonais, qui est à l’origine un dérivé de Hanfu.

     

    Histoire :

     

    L'origine du Hanfu remonte à plus de trois millénaires ; il aurait été porté par le légendaire Empereur Jaune. Depuis le début, l'histoire du Hanfu (surtout dans les élites) est inséparable de celle de la soie dont on dit que la culture fut découverte par l'épouse de l'Empereur Jaune, Leizu. La première dynastie historique stable connue en Chine, la dynastie Shang (- 1600 à - 1000), a mis en place les bases du Hanfu : il est constitué d'un yi, une tunique resserrée aux poignets allant jusqu'aux genoux et tenue par une large ceinture, ainsi que d'un chang, une étroite jupe allant jusqu'aux chevilles portée avec un bixi, une longueur de tissu qui atteignait les genoux.

      

    On employait le vert et des couleurs primaires vives en raison de l'avancée technique de l'époque. Le Hanfu est le costume traditionnel des Hans chinois. Il est apparu dans l’époque de Yandi et Huangdi, les deux empereurs qui vivaient au XXVe (ou XXVIe) siècle avant J.-C. (Yandi et Huangdi sont des ancêtres des Hans). Le Hanfu a régné jusqu’à la fin de dynastie Ming. Son existence a duré environ 4000 ans. Pendant cette période, les Hans n’ont pas changé les principales caractéristiques de leurs costumes. Les costumes portés pendant ce temps-là sont appelés Hanfu.

     

    Durant la dynastie Zhou, qui met l’accent sur les politesses et costumes, le Hanfu prend des formes précises et formelles, surtout les Hanfu pour les occasions professionnelles. Lors de la dynastie Han, le Hanfu est complètement achevé et vulgarisé. C’est à la dynastie Han qu'on doit le nom de groupe ethnique Han et le nom de leurs costumes Hanfu (Han signifie la voie lactée en chinois, même si la majorité des Hans d’aujourd’hui ne le savent pas).

     

    Cependant il faut bien noter que le Hanfu n’est pas seulement le costume de la dynastie Han, mais plutôt de la dynastie Yanhuang à la dynastie Ming.Le costume traditionnel chinois ( I )

     

    Durant les dynasties qui suivent, les détails du Hanfu ont un peu changé ; des nouveaux genres de Hanfu se popularisent, mais les principales caractéristiques restent toujours invariables, à l'image de ce qu'elles furent pendant la dynastie Han.

     

    La dynastie Han est une époque importante et remarquable de l'histoire chinoise, le peuple Han se forme durant cette période. Avec la progression de la société, la culture des Hans se développe de façon florissante, atteint un niveau inégalé dans les arts, les sciences, l'économie et l'agriculture. Sous la dynastie Han, la Chine était alors le pays le plus avancé dans le monde.

     

    Utilisé à la fois durant l'ère classique et l'ère moderne, et de par sa longue durée et son histoire, le Hanfu est une pièce importante du patrimoine culturel du peuple Han. Mais malheureusement, à cause de l’invasion des Mandchous et l’interdiction de porter le Hanfu au XVIIe siècle, beaucoup de Hans pensent aujourd'hui encore que les costumes de Mandchous tels que le Tangzhuang et le Qipao sont les costumes traditionnels des Hans chinois.

     

    Mais le Hanfu n’a pas complètement disparu dans le monde moderne. Durant des fêtes traditionnelles chinoises, et des jours importants dans l’histoire chinoise, on peut encore voir une minorité de Hans habillés en Hanfu, commémorer les ancêtres et patriotes, ou participer à la crérémonie de la majorité (成人礼). Il s'agit d'une cérémonie traditionnelle durant laquelle les jeunes Hans, généralement de 16 à 22 ans, passent de l’adolescence à l’adulte. Traditionnellement c’est après cette cérémonie qu’on les considère comme de vrais adultes avec des responsabilités familiales et sociales. Anciennement, tous les Hans adultes y participaient. Actuellement très peu, on estime à moins de 1 sur 1000 le nombre de Hans adultes ayant participé à cette cérémonie.

     

    Plusieurs costumes nationaux de pays d'Asie de l'Est et d'Asie du Sud-Est se sont développés sur la base du Hanfu : tels que le kimono japonais, le hanbok coréen, l'áo tứ thân vietnamien.

     

    Exemple de hanfu

     

    Exemple de hanfu féminin

     

    Caractéristiques principales

     

    Les caractéristiques principales du Hanfu sont le col croisé (交领) et le rabat du tissu côté droit (右衽). Il comporte souvent une ceinture à la taille. Il donne aux gens une allure naturelle et fringante. Ces caractéristiques le rendent différent des costumes traditionnels des autres ethnies.

     

    Généralement, le Hanfu se divise en deux grandes catégories : la version grand public, que l'on porte tous les jours pendant le travail et la vie quotidienne, et celle que l'on porte pour des occasions plus spéciales. Il y a plusieurs sortes de Hanfu de cérémonie : le Shenyi (深衣) comportant le Zhiju (直裾) et le Quju (曲裾), le Ruqun (襦裙), le Duanda (短打), le Paoshan (袍衫), le Aoqun (袄裙), etc.

     

    Parmi ces catégories, le Mianfu (冕服) est la tenue la plus solennelle portée par l’empereur et ses principaux ministres. Le Shenyi est une tenue de tous les jours pour les fonctionnaires locaux et les intellectuels, et peut aussi être porté par les travailleurs ordinaires. Le Ruqun est réservé aux femmes. Les travailleurs agricoles et industriels, ainsi que les soldats, portent presque exclusivement le Duanda durant le travail.

     

    • Les Hans traditionnels roulent leurs longs cheveux en chignon. La façon la plus simple de les fixer est avec un Zan (簪). Les hommes portent aussi des Guan (冠) et des Jin (巾), de types très variés. Les femmes peuvent avoir des coiffures de plusieurs formes au lieu du seul chignon pour les hommes, décorées par exemples de diverses sortes d'épingles en métal et de pierres précieuses. Les Hans affectionnent également les ornements en jade.

     

    Aujourd’hui, sous l’influence de la culture occidentale, très peu de Hans portent le Hanfu ou se coiffent encore de manière traditionnelle.

     

      

      

      

    sources wikipediaContenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Hanfu de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Hanfu).

    photos ajoutées : google

      

      

     


  •   

    les Courtisanes

      

    Les «fleurs», jardin pas secret de l'élite chinoise. Un sinologue décrit la tradition ancestrale des courtisanes.

      

      

    Le monde des courtisanes chinoises au siècle dernier: le sujet

     

    méritait quelques explications éclairées. Gilles Guiheux, maître de conférences en histoire de la Chine contemporaine, nous explique les us et coutumes des «maisons de fleurs», «espace culturel lointain, pour nous bien sûr mais aussi pour les Chinois d'aujourd'hui».

     

    Afficher l'image d'origine

     

    «L'action du film se déroule sous la dynastique mandchoue, qui se caractérise par son extrême pudibonderie. Désormais, les choses du sexe sont dissimulées, les corps dans l'iconographie et la littérature ne se touchent plus.

     

    «De 1860-1945, Shanghai est composé de trois municipalités juxtaposées:

     

    une concession française, une autre internationale (anglaise et américaine), une troisième chinoise.

     

    Le gouvernement Qing interdit les maisons closes sur le territoire chinois.

     

    Elles se sont donc installées dans les concessions internationales où elles ont toute liberté de prospérer.

     

     

    Regroupées dans le quartier des plaisirs, avec les restaurants, les théâtres, ces maisons de courtisanes sont fréquentées par la crème de la société chinoise. En particulier, l'élite bureaucratique, ces hauts fonctionnaires, fins lettrés, qui détiennent le pouvoir politique et le prestige social.

     

    Les courtisanes font partie de tout un art de vivre sophistiqué sans équivalent en Occident. «Les hommes avaient une épouse légitime et des concubines qui coexistaient, cloîtrées, dans la même résidence. Le rapport avec la courtisane était le seul vraiment libre que ces hommes pouvaient avoir avec une femme, en dehors de toutes les contraintes de l'étiquette mondaine. Ils pouvaient s'afficher avec elle, aller au restaurant, parler librement.

     

    les Courtisanes

      C'est un lien complexe à la fois d'équilibre des sexes et de dépendance des femmes qui sont quand même là sur commande! «Comme les acteurs de l'Opéra de Pékin, les courtisanes occupaient un statut social ambigu, étant à la fois respectées, alimentant les pages "people de la presse de l'époque (suicide, scandales") et d'un autre côté totalement marginales. Le client, avant de pouvoir coucher avec l'un d'entre elles, devait passer par toute une série d'étapes de séduction, avant d'être sélectionné et de devenir client privilégié. L'essentiel de l'activité de ces femmes était de distraire les hommes par la conversation, la musique, le chant.

     

    «Les maisons closes étaient des endroits clés de la vie sociale, on y fêtait les anniversaires,

     

    les promotions hiérarchiques, les nouveaux contrats"

     

    Etaient facturés au client la sortie, les banquets, les jeux, puis venait la note de la consommation sexuelle, si d'aventure elle avait lieu.

     

    Les revenus d'argent étaient entièrement reversés aux maquerelles, les courtisanes gardant les cadeaux.

     

    «Ces femmes étaient des filles enlevées dès l'enfance dans les campagnes ou vendues par leurs parents.

     

    La maquerelle les éduquaient aux arts de la conversation et de la musique. Mais on ne leur apprenait ni à lire ni à écrire. Robert Van Gulik a une belle expression à propos des courtisanes au Xe siècle:

     

    "Si les hommes conversent avec les courtisanes, c'est non seulement pour se conformer à une coutume sociale mais très souvent aussi pour s'évader de l'amour charnel, pour trouver une sorte de soulagement loin des appartements féminins, de leur atmosphère parfois accablante et des rapports sexuels obligatoires.

     

    Ils sont affamés d'amitiés féminines spontanées sans obligations.

     

    «Les maisons de courtisanes disparaissent au début du XXe.

     

    Avec l'émergence de nouvelles classes moyennes, la chute du prestige de la fonction au profit de l'argent, c'est tout un pan de la culture du lettré qui s'effondre sans recours.»

     

     

    (1) Le livre de référence en cette matière est Belles de Shanghai, de Christian Henriot, CNRS éditions, 1997.

      

      

     

     

    sources :

    http://www.liberation.fr/culture/0101260486-les-fleurs-jardin-pas-secret-de-l-elite-chinoise-un-sinologue-decrit-la-tradition-ancestrale-des-courtisanes

      

     


  •  

    La CHINE IMPERIALE....

     

     C'est un tableau en Chine.

    Et maintenant cliquez sur le lien VERT suivant et bonne découverte :

     

    http://www.npm.gov.tw/exh9  6/orientation/flash_4/inde x.html

    導覽大廳:情境區-清明上河圖

    Virtual Media Area: Along the River During

    the Ching-ming Festival
     www.npm.gov.tw
     

    N'oubliez pas de cliquer à l'intérieur des carres blancs et mettez le son.

      

    Les gens font la queue pendant des heures au Musée de Shanghai pour le regarder. Il a été peint vers 1085-1145, pendant la Dynastie des Song du nord. Il a été repeint pendant la Dynastie Qing.

      

    Il mesure 5m28 de la...rge et 24,8 cm en hauteur. Il est considerécomme un des Grands Trésor de Chine et a été exposé dans le Musée d'Art de Hong-Kong l'année dernière

    Prenez votre temps et promenez-vous dans ce long tableau.
    Déplacez le curseur de long en large, de chaque cote du centre, il y a tant de détails à decouvrir.

    Pour arrêter le défilement et bien regarder, ramenez le curseur de la souris au centre de l'ecran.

      


    Lorsque vous verrez apparaitre des cadres blancs, cliquez sur ceux-ci...

      

    C'est fabuleux!

    PS : Contrôlez la vitesse de déplacement avec votre souris

      

    (ralentir en allant vers le centre du tableau).

      


    N'oubliez pas de cliquer à l'intérieur des carres blancs et mettez le son.

     

     

     

     

     

     

     

      

      

      

     


  • Ma balade sur la Grande Muraille

     

    sources : http://amour-chine.blogspot.com/search/label/Voyages%20Chine



  •  

    Hsin Ying

     

    Distant d’une quarantaine kilomètre du centre, le vieux Temple Tangzhesi se situe dans la banlieue de Beijing. D’une taille de 121 hectares, ce temple légendaire est entouré par une chaîne de neuf monts.

    HISTORIQUE

    Tanzhesi s’appelait Jiafusi qui était une petite temple au départ, En passant par les deux Dynastie : Wei Nord et Cho Nord qui écrasaient la croyance bouddhique ; Tanzhesi devenait alors presque une ruine.

    La renaissance de Tanzhesi commença entre 696 et 697, à la dynastie Tan. Sous la règne de l’impératrice Wu Zetian, croyante, le bouddhisme a repris son souffle. Un moine de l’école Huayan. faisait l’appel à d’autres moines durant cette période, pour reconstruit et élargir le temple, ce fut la base de Tanzhesi aujourd’hui. Et ce moine de Huayan est aujourd’hui considéré comme le fondateur de Tanzhesi.

    Durant la dynastie Ming (1368-1644 ) et Qing (1644-1911) Le Temple Tangzhesi atteint son épanouissement. Du Empereur Zhu Yuanzhang, fondateur de la dynastie Ming, lui-même croyant bouddhisme, les princesse, ainsi que chaque empereur qui le succède ont la croyance bouddhiste. En plus les eunuques qui ont un grand pouvoir, mettaient beaucoup l’argent dans la reconstitution des temples pour avoir un lieu de demeure confortable après leur retrait.

    La dynastie Qing qui succède la dynastie Ming avait aussi beaucoup de respect envers le bouddhisme. Quatre empereurs ont visité le temple Tangzhesi : Empereur Kangxi, Yongzheng, Qianlong, et Jiaqing. Depuis, le temple Tangzhesi devenait le plus grand temple royal aux alentour de Beijing. On comptait entre 400 moines et 1000 moines au Tangzhesi. Le don de nourriture des moines vient des villages, 100 km autour du temple devaient donner. Jusqu’à aujourd’hui, le temple a toujours gardé l’ustensile de l’époque : une casserole de 3 mètres de long et deux mètres de profondeur. Dans la légende on dit, Les moines de Tangzhesi mange un village par jour, qui explique la grandeur du temple à l’époque.

    l’Arbre de l’Empereur

    Dans le temple Tangzhesi, il y a énormément de vielles arbres : Arbre aux milles écus ( Ginkgo biloba ), Cèdre, Magnolia denudata...etc. Parmi ces arbres un plus connu : Un arbre aux milles écus. Cet arbre agée de plus de 1000 ans est aujourd’hui plus de 40 mètres de haut, avec un diamètre de 4 mètres, il faut sept personnes pour pouvoir l’entourer.

    Dans la légende, à chaque trône de nouvel empereur de la dynastie Qing, cet arbre poussait une nouvelle racine, et rejoindrait petit à petit à la racine principale. Pour cela, lors la visite du temple Tanzhesi, l’Empereur Qianlong (1711-1799 ), lui a donné un nom : l’Arbre de l’Empereur. C’est la plus haute distinction pour un arbre dans l’histoire de la Chine.

    Forêt de pagodes

    Devant le chemin qui mène à l’ entré de Tanzhesi, il y a un forêt de 75 pagodes ( cimetière des moines qui décédaient au temple ) , Ce sont des pagodes les mieux conservées autour du capitale. Parmi ces pagodes, il n’y a non seulement les moines chinois mais aussi les moines qui venaient du Japon et de l’Inde, ce sont les traces de l’échange culturelle de l’époque.

    Entrant dans le temple Tanzhesi c’est comme entrer dans l’histoire bouddhisme de la Chine ; Après 1700 hivers, il est toujours pleins de vie. Depuis 1997, la permission d’établissement des moines est requise, et le temple Tanzhesi est revenue un temple à l’activité religieuse.


    Source : Tanzhesi

    Traduction de Hsin ying pour www.buddhachannel.tv

    http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article4074


  •  

    LIVRES

    Wu Zetian (625 - 705)

    Le pouvoir envers et contre tout
     
     
     

    Femme d'humble extraction, l'impératrice Wu Zetian arrive au sommet par le charme, la ruse et le crime. À la cour de Chang'an (l'actuelle Xi'an, sur la rivière Wei), elle assume le pouvoir suprême d'une main de fer pendant un demi-siècle, de 655 à 705, d'abord dans l'ombre de son mari puis de son fils, et enfin en son nom propre.

    André Larané.
    Orient, Occident

    Le règne de Wu Zetian est postérieur d'environ un siècle à celui de deux autres femmes au caractère tout aussi trempé, les reines franques Frédégonde et Brunehaut. Avec une différence majeure : l'impératrice chinoise gouverne un État solide, prospère et d'une civilisation raffinée ; les autres doivent composer avec un environnement barbare qui n'a pratiquement rien conservé de l'antique civilisation romaine.

    L'ascension

    Entrée au harem en 637, à l'âge de 12 ans, Wu Zetian devient rapidement la favorite de l'empereur Taizong le Grand, fondateur de la prestigieuse dynastie Tang. Elle attire aussi l'attention du fils et héritier de celui-ci.

    À la mort de Taizong, le 10 juillet 649, la favorite est expédiée dans un monastère et son histoire aurait pu s'arrêter là si le nouvel empereur Gaozong n'était allé visiter ledit monastère. C'est ainsi qu'il revoit Dame Wu.

    L'impératrice, qui souffre de la concurrence d'une rivale, prend l'initiative de réintroduire l'ancienne favorite à la cour. Mal lui en prend. Wu Zetian conquiert le cœur de l'empereur mais, intelligente et ambitieuse, ne se satisfait pas de ce succès...

    En 655, venant d'accoucher d'un premier enfant de l'empereur, une fille, elle l'étrangle discrètement juste après que l'impératrice en titre soit venue la visiter ! Là-dessus arrive à son tour l'empereur. Avec horreur, il découvre le bébé inanimé. Feignant l'indignation, la jeune mère jette le soupçon sur ses suivantes, lesquelles sont bien obligées pour se défendre de rappeler la visite de l'impératrice. C'est ainsi que Wu Zetian se retrouve impératrice à la place de l'impératrice.

    La puissance

    Elle va désormais s'arroger la réalité du pouvoir, assistant à tous les conseils importants cachée derrière une tenture. Et comme l'empereur continue de visiter en secret l'impératrice répudiée, Wu Zetian fait couper à celle-ci les mains et les pieds !

    Gaozong, faible mais bienveillant et appliqué, prolonge l'œuvre de son père et assure à la Chine prospérité et grandeur. Au nord, ses généraux soumettent les trois royaumes qui occupent la péninsule coréenne. Mais, à l'ouest, ils doivent faire face à une offensive des redoutables Tibétains dans le bassin du Tarim, en 670, puis à des attaques redoublées des Turcs contre la Grande Muraille.

    À la cour de Chang'an, Wu Zetian consolide son pouvoir en usant de la délation et en attisant les jalousies. Elle fait décapiter les mandarins qui lui résistent et oblige leurs filles et leurs épouses à la servir comme esclaves. Ces malversations minent la santé de l'empereur. Il s'éteint à 55 ans, le 27 décembre 683, et Wu Zeitan va dès lors gouverner en lieu et place de leur fils, le petit empereur Zhongzong...

    L'apothéose

    En 690, lasse de faux-semblants, elle dépose le souverain et s'arroge le titre d'«empereur», une innovation que ne goûtent pas les membres de la famille impériale, mais leur révolte est noyée dans le sang. Sa puissance ne connaît plus de limites et, bien que d'un âge très avancé, elle s'octroie les faveurs d'un jeune bonze bouddhiste qu'elle fait nommer à la tête d'un monastère de Luoyang, l'ancienne capitale de la Chine.

    Comme on n'en est pas à un paradoxe près, Wu Zetian se montre par ailleurs très dévote ! Elle fait sculpter dans les grottes de Longmen, à quelques kilomètres de Luoyang, les grandes statues de bouddhas qui font la réputation du lieu et lui ont valu d'être classé au patrimoine de l'UNESCO. Elle protège aussi le moine Yi-tsing qui s'embarque pour l'Inde via Sumatra en 671. Il en revient en 695 avec un grand nombre de textes sanscrits à la traduction desquels il va consacrer le reste de sa vie.

    Chef de guerre, Wu Zetian reprend les «Quatre garnisons» du bassin du Tarim, à l'ouest de la Chine, essentielles à la sécurité de la Chine. Elle négocie aussi des trêves incertaines avec le khan des Turcs de Mongolie mais celui-ci remet sans cesse les accords en cause, prétextant de l'illégitimité de la souveraine.

    Finalement, dans la nuit du 22 février 705, des conjurés se précipitent les armes à la main dans les appartements de la vieille impératrice. Ils assassinent ses favoris et l'obligent à abdiquer.

    La vieille impératrice meurt quelques mois plus tard, laissant le trône à son fils, Zhongzong. Elle aura dirigé l'immense Chine pendant un demi-siècle ! L'Empire du Milieu aura au total connu trois impératrices : outre Wu Zetian, l'impératrice Lü, épouse de Gaozu (dynastie Han) et l'impératrice Cixi (dynastie Qing)...

    Épilogue

    L'histoire ne s'arrête pas là ! L'empereur Zhongzong, homme bien intentionné et pieux, a pour son malheur une épouse à la cuisse légère. Celle-ci s'amourache d'un neveu de Wu Zeitan à l'insu de son naïf mari. Indigné, un prince du sang assassine l'amant mais il est désavoué par l'empereur !

    Pauvre Zhongzong ! Le 3 juillet 710, il est empoisonné par sa femme. Elle prétend à son tour régner seule mais n'a pas l'envergure de la précédente impératrice. Trois semaines plus tard, des conjurés envahissent le palais et la criblent de flèches. Le chef des conjurés, le prince Li Longji, monte à son tour sur le trône le 8 septembre 712 sous le nom de Tang Xuanzong. Son règne est l'un des plus brillants de l'histoire chinoise.

    Bibliographie

    Il existe hélas très peu d'ouvrages en français sur l'Histoire de la Chine et plus spécialement sur les époques anciennes ! Citons l'indéracinable Histoire de la Chine par René Grousset (Fayard, 1942) et La Chine classique par Ivan Kamenarovic (Les Belles Lettres, 1999).

      

    sources : http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=485


  • Un moment à Pékin de Lin Yutang : De l’enfance à la maturité

     

    auteur_1136805640_1.1234027561.jpg

     

    41phc8abrcl_sl500_aa240_.1234027540.jpgEt voilà, je viens de terminer Un moment à Pékin de Lin Yutang, livre divisé en deux Tomes : 1, Enfances chinoises et 2, Le triomphe de la vie.

    Le roman, une vaste fresque historique, commence en Juillet 1900 avec la révolte des boxers encouragée par l'impératrice Tseu Hi et finit pendant l'invasion de la Chine par le Japon en 1937 qui lance sur les routes des milliers de chinois fuyant l'envahisseur. Les dernières pages du roman se déroulent au nouvel an 1938 et c'est là que nous laissons les personnages dans l'incertitude de leur destin (et pourtant heureux) non sans un certain regret.

    Après la chute de la dynastie mandchoue et l'abdication de son dernier empereur Pouyi-Yi, âgé de trois ans, Lin Yutang s'attache à nous décrire la situation politique de la Chine, dénonçant la corruption de régimes successifs, avides de pouvoirs et de richesses, incapables de faire l'unité nationale, souvent soumis au Japon et achetés par lui. Au cours de cette période troublée, la Chine avec son immense territoire et la diversité de ses cultures, déjà démembrée par les puissances étrangères qui grignotent son territoire, doit subir la domination de plus en plus brutale des Japonais. Très en retard au point de vue économique et refusant l'évolution des mentalités, la Chine voit s'affronter les libéraux, souvent des intellectuels instruits dans des universités américaines ou japonaises et les conservateurs, en particulier la caste des mandarins, qui défendent leurs privilèges et restent attachés aux traditions. Elle voit émerger aussi un sentiment national qui pousse le pays tout entier à résister à l'envahisseur japonais, ce que l'auteur décrit avec un certain lyrisme dans la dernière scène du livre où Moulane, l'une des principales héroïnes, fuyant l'armée japonaise, croise des soldats chinois se rendant au front et chantant : 

    "Nous ne reviendrons pas/Avant que nos montagnes et nos fleuves nous aient été rendus!" En se rapprochant d'eux, Moulane fut saisie d'une étrange et nouvelle émotion. Elle comprit que c'était un sentiment de bonheur, un sentiment de triomphe. (...) Il ne s'agissait pas seulement des soldats mais de cette grande colonne en marche dont elle était une partie. Elle avait un sens de sa nation comme elle ne l'avait jamais eu si fortement auparavant, d'un peuple uni par une fidélité commune, et qui, bien que fuyant devant l'ennemi commun, était pourtant un peuple dont la patience et la force étaient pareilles aux dix mille lis de la Grande Muraille et aussi permanente.(...) Car le vrai peuple chinois est enraciné dans ce sol qu'il aime. Elle fit quelques pas et prit sa place au milieu d'eux.

    5154dzqdh1l_sl500_aa240_.1234027550.jpgJe ne prétends pas résumer en quelques lignes l'Histoire de la Chine telle que l'a décrite Lin Yutang avec tant de minutie, tant de détails, tant de précisions et surtout de nuances, sachant qu'il s'agit d'un "pavé' de plus de 1400 pages. Ce qui me frappe surtout c'est qu'au-delà du sérieux de l'historien, il ne s'agit pas seulement d'un livre d'Histoire mais d'un roman qui nous amène à partager la vie des personnages, à vivre à travers eux les soubresauts qui agitent la Chine. Et c'est là, l'art de Lin Yutang, de faire en sorte que, en nous tenant en haleine, la vie quotidienne des gens, leurs sentiments, les évènement particuliers qui les affectent ne soient en réalité que le reflet des mouvements internes qui révolutionnent ce grand pays.

    L'auteur a choisi de peindre cette période historique à travers deux grandes familles (et ceux qui gravitent autour) assez représentatives de toutes les tendances mais d'une manière nuancée, sans systématisme.

    Il y a d'abord la famille YAO dont le chef est Yao Sseu-ane, riche marchands de thé et de médecines, assez ouvert aux idées nouvelles : c'est lui qui refuse que sa deuxième fille, Moulane, ait les pieds bandés, lui qui envoie ses fils, Tijen et Afei en Angleterre, lui qui encourage ses filles, Moulane et Mocho, à étudier.

    Taoïste, il réalisera son désir le plus cher, "la conquête du moi " "grâce à la contemplation", en s'exilant loin de sa famille pour vivre une vie ascétique. Sa fille, Moulane, connaîtra la même expérience, quoique dans des ciconstances, différentes au cours de l'exode, à la fin du roman, par un contact humain avec cette grande communauté d'hommes et de femmes. Et elle comprendra - c'est le sens de la philosophie de son père Yao mais aussi de Lin Yutang- que :

    Tel était le triomphe de l'esprit humain. Il n'existe pas de catatrosphe si grande que l'esprit ne puisse s'élever au-dessus d'elle, et par cette ampleur même, la transformer en quelque chose de grand et de radieux.

    Au cours de leur voyage vers le sud pour fuir l'arrivée des boxers à Pékin, au tout début du roman, Moulane est enlevée par une femme boxer. Elle est recueillie par la Famille TSENG dans laquelle elle entrera plus tard en se mariant avec le troisième fils, Sunya. Le père, Tseng Wampo, riche mandarin, haut fonctionnaire, confucianiste, représente la tradition et refuse la modernité et l'évolution des mentalités en particulier en ce qui concerne la conception de la famille. Jusqu'au bout ses belles-filles, Mannia, la veuve vierge, épouse du premier fils mort le jour du mariage, Moulane, Senteur vague, seconde épouse du deuxième fils, devront rendre à sa femme et à lui-même, qu'elles respectent d'ailleurs, les services qui leur sont dus.

    Autour des ces deux familles, gravitent la Famille FENG, Feng Tsé-ane étant le frère de madame Yao, et père de Jade Rouge, une des quatre beautés de la famille, extrêmement raffinée et érudite, la famille SOUN, neveu de grand-mère Tseng dont la fille est Mannia. Celle-ci est l'incarnation de la femme de l'ancien régime, les pieds bandés, élevée dans la pure tradition. La famille KOUNG, amie des Yao : la veuve Kuong a deux enfants, un fils Lifou qui joue un grand rôle dans le roman et une fille Houane-erth qui incarne les idées révolutionnaires.

    La dernière famille NIOU, est l'occasion pour Lin Yutang, de nous présenter cette classe de fontionnaires sans scrupules, entassant des richesses et opprimant le peuple : Niuo Sseuto, ministre des finances, dit le Dieu des richesses, madame Niou dite Grand'Mère cheval, qui régente son mari et le pousse au mal. Enfin leurs enfants qui sont tout aussi corrompus : Houaiyou, le fils vendu aux japonais, Souyoun, la fille qui mène une vie dissolue et fait, avec l'aide des japonais, le commerce de l'opium; Toungyou qui se rendra si odieux qu'il sera puni de mort.

    De tous dépend une foule de serviteurs et d'esclaves dont on devine aisément la misérable condition, soumis à des maîtres qui ont un pouvoir sinon absolu du moins exorbitant sur eux, même s'ils sont, chez Moulane, traités avec humanité. Mais le roman n'a pas pour but de nous montrer la souffrance du peuple.

    Un des grands plaisirs que j'ai retiré de Un moment à Pékin provient de la description des coutumes, des traditions, des légendes, de la philosophie chinoises. Lin Yutang, même s'il est gagné par les idées nouvelles - il a étudié aux Etats-Unis, à Leipzig et écrit son livre en anglais- est trop érudit pour rejeter en bloc la richesse, le raffinement extrême de cette grande civilisation. Il nous en fait un tableau coloré, plaisant et gourmet. Il nous amène à participer aux joutes d'esprit que disputent les jeunes gens dans la plus grande tradition de la littérature ancienne; il nous promène dans le luxe et la richesse des jardins et des maisons, nous invite aux mariages somptueux de Moulane ou de Mocho, ou aux longues et solennelles funérailles du père Soun ou du vieux Tseng, nous fait goûter non seulement au luxe de l'esprit mais des sens, cuisine raffinée de Moulane, caresse des étoffes fines et soyeuses, éclat des couleurs et des senteurs de la nature, perfection des bibelots de jade et des bijoux. D'autre part, il y a un personnage à part entière dans ce roman, c'est Pékin, ville éponyme, une cité qui sert de cadre à l'action pendant une grande partie du roman et qui est décrite avec beaucoup d'amour. Ainsi lorsque les parcs et les jardins du palais sont ouverts au public en 1912, une des distractions de Moulane est d'aller s'y promener avec son mari.

    Si comme on le dit, le but de Lin Yutang est de faire découvrir sa civilisation aux étrangers et de la leur faire aimer, il a pleinement réussi.

     

    sources : http://claudialucia.blog.lemonde.fr/2009/02/07/un-moment-a-pekin-de-lin-yutang-enfances-chinoises-et-le-triomphe-de-la-vie/


  • La sculpture sur ivoire.

    La sculpture sur ivoire.

    En Chine, la sculpture sur ivoire est un art très apprécié mais qui pose beaucoup de problème. La sculpture de l’ivoire en Chine et plus particulièrement à Beijing et surnommé l’ « un des trois trésors ». Cet art vieux de 2000 ans a été classé dans le patrimoine culturel immatériel de niveau national. Cependant cet art apparait comme une menace pour les éléphants.
     

    De nos jours à Pékin, il n’y a qu’une seule usine autorisée à produire et à vendre des sculptures en ivoire. Cependant le métier de sculpteur semble être en voie de disparition. Deux raisons expliquent cela, un le manque d’ivoire et la deuxième est que le savoir faire disparait de plus en plus. Il faut savoir que la plupart des sculptures d’ivoire représentaient des personnages, des fleurs et des arbres ou encore l’architecture. Le dernier sculpteur de fleurs étant mort récemment son savoir a disparu avec lui. A Pékin, le plus jeune des sculpteurs sur ivoire a 57 ans.
    Si l’on arrive à assurer la relève, ce qui semble être possible, il faudra par la même occasion essayer de trouver d’autres matériaux que l’ivoire comme le bois, la pierre ou autre encore afin que l’art chinois soit préservé, ainsi que les éléphants. En effet, la Chine fut un des pays signataire d’une charte afin de protéger les animaux en danger sur terre et à même arrêté l’achat d’ivoire entre 1990 et 1991.
    La sculpture sur ivoire.

    Certes il y a un atelier officiel en activité en Chine mais on peut quand même trouver environ 300 sculpteurs d’ivoire dans le pays, la plupart travaillant chez eux. Le prix d’une sculpture en ivoire est relativement élevé. Certaine pièces pouvant être plus cher qu’une voiture neuve.

      

      

      

      

      

      

      


  • LIVRES

     

    La théorie du YIN YANG découle du QI et en est le prolongement direct.

      

    Le YIN et le YANG ne sont pas : des énergies, des substances, des éléments mythiques ou ésotériques mais sont un concept de division, de classification des objets et des phénomènes dont l'intérêt est principalement dialectique.

    Explication sur le Yin et le Yang.

    Le Yin

    Il représente l’obscur, ce qu’on en voit pas. Il est creux et c’est lui qui reçoit la vie. Le Yin est obscur, froid. Il est l’énergie de passivité féconde, il donne la vie c’est pourquoi on dit qu’il est le symbole de la féminité.


    Une personne qui est plus Yin que Yang est quelqu’un d’introvertie, de calme et de plutôt timide. C’est une personne qui n’aime pas se mettre en avant et qui n’aime pas vraiment le changement. C’est une personne qui préfère la chaleur du foyer. Physiquement se seront des personnes plutôt bien portantes.

    Le Yang

    Le Yang est l’opposé du Yin et c’est lui qui le complète.

      

    Le Yang représente le lumineux, ce qui est dur et rapide. Il est actif et manifeste toute l’énergie accumulé. Le Yang est toujours en action, en mouvement. Le Yang est masculin et il est l’étincelle de vie.


    Si vous êtes Yang, vous êtes quelqu’un de plus extravertie, nerveux et qui aime se faire voir. Vous aimez être mis en avant et vous mettre en avant.

      

    Vous aimez l’aventure et les défis et la routine est la chose qui vous ennui le plus au monde. Pour vous la maison est un endroit ou on se repose après avoir passé une longue journée épuisante. Coté physique les Yang sont des gens mince vu qu’ils sont toujours en action ils éliminent ce qu’ils mangent.

    L’origine du Yin et du Yang

    On pense que le Yin et le Yang trouve son origine dans l’observation des paysans. Ils pouvaient voir s’alterner et cela tous les jours, le jour puis la nuit. Ensuite ils notèrent que le jour est synonyme de travail et d’activité, alors que la nuit est consacrée au repos.

      

    On associa donc le travail et le jour au Yang et la nuit et le repos au Yin. Ce sont deux phases cycliques en perpétuelle mouvement qui s’alterne.

    La nuit laisse sa place au jour et le jour cède sa place à la nuit.


    Comme le soleil se trouve dans le ciel, le ciel est Yang et donc par opposition la terre est Yin. Anciennement on pensé que le ciel était arrondi et que la terre était plate. C’est pourquoi on peut dire que ce qui est rond est Yang et ce qui est carré est Yin.

     

    Le Yin et le Yang.

    Tout le monde a déjà entendu parler du Yin et du Yang mais il faudrait quand même savoir ce que c’est. On a tous à l’esprit ces deux espèces de virgules, une blanche avec un point noir et une noire avec un point blanc, qui s’emboitent l’une dans l’autre pour ne former plus qu’un.

      

    Si l’on trouve un point blanc dans la partie noire ou un point noir dans la partie blanche, ce n’est en aucun cas le fruit du hasard. Au contraire, cela est censé montrer que tout élément mâle a une partie femelle et que tout élément femelle a une partie mâle.

      

    Le Yin et le Yang sont partout autour de nous et sont présents dans chacune de nos actions, le Yin complète le Yang et vice versa.

      

    Les termes de Yin et de Yang ont été créés par les anciens Chinois pour décrire la bipolarité qu’ils pouvaient voir en observant la nature. Ainsi on ne peut imaginer le Yin sans le Yang et bien entendu on ne peut pas imaginer non plus le Yang sans le Yin.

    Je vais vous donner un exemple qui montre ce que je suis en train de vous dire. Si je vous parle de la nuit, on pensera au jour. En effet, comment peut-on imaginer la nuit sans le jour ? La nuit (Yin) complète le jour (Yang).

    Yin ou Yang ?

    Il faut savoir que nous ne sommes pas uniquement Yin ou uniquement Yang.

      

    En nous ces deux forces existent et cohabitent.

      

    On a tous une part Yin et une part Yang qui est plus ou moins importante.

      

    Le Yin symbolise la partie féminine de chacun, l’inconscient, la nuit.

      

    Le Yang symbolise la partie masculine, le conscient, le jour.

      

    Entre le Yin et le Yang il y a une très petite partie de gris qui nous montre que l’on ne peut atteindre le Yin ou le Yang complètement.

      

    On cherche à l’atteindre mais il est impossible à atteindre. Les signes du zodiac chinois sont plus ou moins Yin ou Yang :

    •Sont à dominante Yin le Buffle, le Lapin, le Serpent, la Chèvre, le Coq et le Cochon. Ce sont des gens organisé et qui ont un sens pratique développé. Ce sont des gens au caractère changeant et qui dépend de l’humeur du jour.

    •Sont à dominante Yang le Rat, le Tigre, le Dragon, le Cheval, le Singe et le Chien. Ce sont des gens impulsifs et spontanés. Ce sont des gens qui ne se laissent pas influencer par ce qui les entoure.

    Comment sa marche ?

    Le Yin et le Yang doivent toujours être en équilibre. Donc si à un moment le Yin est trop fort le Yang le sera par la suite et cherchera l’équilibre.

      

    Toutes nos actions entrainent un certain déséquilibre que quelqu’un d’autre comblera par une action. Mais cherchons quelque chose de plus proche de nous en regardant la nature. Par exemple, en été, le YANG atteint son point culminant ; aussitôt après cette apogée, le YIN commence à croître alors que le YANG décline progressivement.

      

    Donc en hiver, le Yin atteint son point culminant et le Yang son point le plus bas. Le fait d’atteindre le point le plus haut, que ça soit pour le Yin ou pour le Yang, marque le début de leur déclin.

      

    Mais bon il faut tout de même savoir que le Yin ou le Yang est toujours en excès quelque part, l’équilibre parfait n’est que très rarement atteint

    (je dirais même jamais mais bon il ne faut jamais dire jamais). Mais comme je l’ai di auparavant, le Yin et le Yang se retrouve partout et cela même dans le corps humain.

      

    Par exemple le haut du corps est Yang alors que le bas est Yin, un muscle en contraction est Yang alors qu’un muscle au repos est Yin, même l’esprit peut être Yin ou Yang. En effet, l’esprit en état de veille est en phase Yang et l’esprit en état de sommeil et en phase Yin.

     

    Quelques exemples de Yin et de Yang:

     

     

    Yin

    Yang

    Position

    Bas

    Haut

    Temps

    Nuit

    Jour

    Saison

    Automne, Hiver

    Printemps, Eté

    Direction

    Nord, Ouest

    Sud, Est

    Element

    Eau

    Feu

    Sexe

    Féminin

    Masculin

    Chaleur

    Froid

    Chaud

    Humidité

    Humide

    Sec

    Luminosité

    Sombre

    Lumineux

     

    Ce tableau montre bien a quel point le Yin et le Yang sont complémentaire et indissociable. Il semble impossible d’en imaginer un sans l’autre.

      

    Bien entendu il y a encore un grand nombre d’exemple montrant cela il vous suffit de regarder autour de vous et vous en trouverez beaucoup.

     

     

     

     

     


  • Traditions

    Hubert Vos et l’Impératrice, réalisé par Micaela van Rijckevorsel, illustre la restauration du tableau du peintre de la puissante Cixi, impératrice de Chine tout en saisissant l’esprit de l’époque;

     

     

     


  • Traditions

    Les dates de Chine.

    Vous devez vous dire qu’il ya tellement de chose à découvrir en Chine en ce qui concerne la nourriture. En effet la Chine propose un choix énorme de nourriture emballé. Les chinois sont très forts pour utiliser beaucoup de couleurs dans leurs plats et mélangé plusieurs aliments alors que ce mélange ne nous serait jamais venu à l’esprit.
    La Chine a un nombre impressionnant de fruit mais l’un des fruits préférés par les chinois est la date. Vous trouverez les dates à l’aigre doux, les dates royales, les Ejiao dates sucrés, les dates tout court et bien d’autre encore. Il y a aussi les « Instant Honeyed Date Drinks » qui sont supposé être bonne pour le visage et la peau.
    Selon la nutrition Chinoise, les fruits et tous les autres nutriments généralement ont certaines fonctions et effets sur le corps humain et sur la santé. Les dates sont classées en Chine comme étant des aliments naturel et bon pour la santé.
    Un des produit en Chine est appelé « Viande de date séché ». Cela ne contient en aucun cas de la viande et c’est tout simplement des dates chinoises, et c’est quelque chose de collant et doux, très approprié lorsque l’on fait du porridge ou du riz. Cela est très bon pour la santé si on en mange tous les jours.
    Les dates chinoises rouges sont relativement humides, elles n’ont pas été complètement séchées, elles vous permettront d’avoir une bonne santé et vous rendront plus beau ; elles sont particulièrement bonne pour les femmes. Une autre version des dates chinoise est la date rouge et les Hawthorne hamburgers qui feront baissé la pression du sang et réduiront le taux de gras dans le sang.
    L’une des dates les plus intéressantes est la date qu’on appel « date divine » et qu’on appel aussi « fruit du roi » car elle était généralement donnée a l’empereur durant la Dynastie Tang. Elles contiennent des acides aminés variés, et des éléments tels que du fer, du calcium, du phosphore et elles ont des propriétés curative et désinfectante pour le corps.
    On se fout de savoir si vous aimez les dates ou non, mais vous devez a tout prix gouter les dates de la Chine et sentir les effets qu’elles peuvent avoir sur le corps humain.


  • Les peintures chinoises

    Les siècles d’histoire de la Chine ont engendré de nombreux dessins plus beaux les uns que les autres et tous ces dessins sont des pièces uniques. Lorsque vous avez la chance d’admirer l’un de ces dessins, vous pouvez vous imaginez dans le dessin et grâce à cela vous arrivez à oublier les problèmes de la vie pour un moment.
    Ce sentiment de paix que l’on peut ressentir en regardant un tableau chinois vient des choix de l’artistes lorsqu’il dessin tel ou tel motif. Les chinois, les paysages, les arbres, les fleurs, les pierres, les oiseaux ont été à plusieurs reprises le centre des peintures chinoises et c’est ce qui fait de nos jours l’art traditionnel Chinois.
    L’art traditionnel chinois trouve son origine à l’époque de la Dynastie Tang (618-907). A cette époque, la plupart des motifs chinois représentaient des gens vivant en Chine. A partir du milieu de la dynastie Tang, les peintures chinoises représentées plus la nature, les paysages chinois ainsi que tout ce qui pouvait avoir un lien avec la flore chinoise.
    Les artistes chinois étaient surtout soutenu par la classe supérieur durant les dynasties Tang et Song (960-1270) et ils pouvaient donc se consacrer pleinement sur leur travail de création. L’empereur Huizong de la dynastie Song fit construire une académie des arts afin de développer le talent des artistes Chinois et celui des nouveaux venus dans le cercle des artistes. C’était l’époque ou l’art était pris très au sérieux en Chine et les peintures chinoises.
    Pendant des années, l’art chinois était de plus en plus influencé par la littérature qui se développait. Bon nombre d’écrivains chinois commencèrent à s’intéresser à la peinture et commencèrent à peindre sur toile au lieu de faire seulement des livres. Le temps passa et les mongols renièrent sur la Chine durant la dynastie des Yuan (1271-1368). Ces derniers fermèrent l’académie des arts, la cour impériale perdit son influence sur les styles de peintures. C’est alors que quelques écrivains chinois créèrent un espace ou ils étaient libres de peindre la beauté de la nature.
    Les peintures chinoises sont souvent perçues comme irréel mais il faut chercher à voir la réalité que les artistes chinois ont voulu représenter. Les artistes chinois ne veulent en aucun cas représenté une réalité existant dans une troisième dimension, mais plutôt une réalité cachée que tout le monde ne peut pas voir. Les chinois ont toujours donné à la nature une place très importante et pas seulement comme étant quelque chose beau à voir.


  • Langue chinoise

     

     

    La langue chinoise

     

    La langue parlée chinoise consiste en de nombreux dialectes qui diffèrent tant l’un de l’autre, le Chinois de Beijing peut à peine communiquer avec un habitant de Guangzhou au sud de la Chine. L’élément d’unification du secteur culturel chinois n’est pas la langue chinoise, mais le script chinois.
    Donc il n’est pas étonnant que par exemple à la télévision chinoise (en plus des émissions en direct) chaque émission est transmise avec des sous-titres en caractères chinois. En 1955, le mandarin prétendu "Putonghua" (le discours commun) est déclaré langue officielle. C'est basé sur le "Beijing hua", le dialecte de Beijing.
    Les jeunes Chinois apprennent le mandarin à l’école, mais en parlant aux Chinois plus anciens ou à d’autres personnes de Chine, ces jeunes pourraient avoir des problèmes pour se faire comprendre. La langue chinoise, du moins les bases, sont particulièrement difficile à apprendre. La grammaire est assez simple. Il n’y a pas de déclinaison ou conjugaison, ni de genre et de pluriels.
    Les vrais problèmes de la maîtrise du chinois résident dans les 4 tons, les caractères chinois et le grand nombre de proverbes qui sont utilisés la plupart du temps par les personnes biens éduquées. Les proverbes chinois se composent habituellement de seulement quelques caractères mais on leur associe toute une histoire qui aide à comprendre le sens du proverbe.Langue chinoise

     

    Les quatre tons

    L’une des principales difficultés de la langue moderne chinoise sont les quatre tons. Cela requiert plusieurs entraînements pour les prononcer correctement et les distinguer au moment de l’écoute. Un exemple que la plupart des écoles linguistiques enseignent lors des tout premiers cours est la phrase suivante :

     Langue chinoise

     

      

      

      

      

      

    La phrase signifie : la mère insulte t-elle un cheval ?
    La prononciation des quatre tons peut être plus claire comme s’ensuit :
    « Mother » : premier ton, se prononce avec une tonalité élevée « Revile » : quatrième ton, ton tombant par exemple comme un ordre « Horse » : troisième ton, ton tombant - montant comme « vraiment » exprimant l’étonnement « Particle » : pas de ton inaccentué prononcé.
    Le seul ton manquant est le second ton, mais évidemment il y a un caractère pour celui-ci aussi.

     

     Langue chinoise
     

     

    Il se prononce « ma » avec un ton élevé signifiant « chanvre ». Pour les étrangers, les caractères semblent similaires. Cette similarité est due à la structure des caractères chinois, laquelle se compose d’une partie indiquant la prononciation et une partie exprimant la signification. Si vous voulez en savoir plus sur les caractères chinois, consultez la partie qui y est consacré.

     

    La langue chinoise et les étrangers

    Il est souvent impensable pour un Chinois que des étrangers comprennent ou parlent leur langage. Une fois, un touriste a demandé à un vendeur de Chengdu le prix de quelques articles en chinois courant. Le vendeur qui l’a bien évidemment compris, a sorti sa calculatrice, a tapé le prix et a montré l’écran à l’étranger exaspéré. Il a également utilisé des gestes avec sa main pour le lui faire comprendre. Aux yeux des Chinois, le Chinois est loin d’être si difficile que sa à maîtriser par les étrangers. Si un étranger dit « Ni hao » (Salut) la personne à qui on a dit cela sera très heureuse.


  • L’origine des 12 signes du zodiaque chinois

    Les 12 animaux viennent d’une légende qui raconte que Bouddha avait invité tous les animaux à venir passer le nouvel an avec lui. Seulement douze animaux vinrent et Bouddha leur promit de donner a chaque année un de leur nom dans l’ordre de leur arrivé qui était le rat, le buffle, le tigre, le lapin, le dragon, le serpent, le cheval, le mouton, le singe, le coq, le chien et le cochon.
    En fait le buffle aurait du être le premier arrivé mais le rat qui était sur son dos pour le trajet à sauté à terre avant leur arrivé et c’est pourquoi il fut le premier. L’apparition de 12 signes du zodiac chinois remonte a l’époque de la dynastie Han c’est à a dire a 2000 ans. Les signes du zodiaque chinois se sont étendus à tous les pays voisins de la Chine.

     

     

    Quelques remarques concernant le jour du nouvel an chinois.

    Le jour de l’an chinois est célébrait à la fin du mois de Janvier ou au début du mois de février. Selon le calendrier lunaire chinois, une personne qui est née en janvier 1974 n’est pas née dans l’année du tigre mais dans l’année du buffle. Le calendrier chinois n’est pas utilisé pour prédire l’avenir, mais plutôt pour avoir des informations sur le caractère d’une personne, sur ces talents, … .

     

    Les signes du zodiac chinois - Les 12 Animaux

    year of the rat chinese calender

    L'année du rat

    1912, 1924, 1936, 1948, 1960, 1972, 1984, 1996, 2008

    Une personne qui est née durant l’année du rat est dite maline et intelligente. Ces personnes sont sure d’elles et elles ont une vision de la vie très optimiste. Elles travaillent dure pour atteindre leurs objectifs et sont perfectionnistes. En ce qui concerne l’argent ce sont des personnes assez prudentes même radines et ne dépense pas beaucoup. Les rats s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du dragon, du singe ou du buffle

    year of the ox chinese calender

    L'année du buffle

    1913, 1925, 1937, 1949, 1961, 1973, 1985, 1997, 2009

    Les personnes qui sont nées durant l’année du buffle sont patientes, appliquées et assez silencieuse. Ce sont des personnes en qui on peut avoir confiance. Mais ce sont des personnes faciles à irriter et peuvent être obstinées et butées. Les buffles s’entendent bien aves les personnes nées durant l’année du serpent, du rat, ou du coq.

    year of the tiger - chinese lunar month chinese new year

    L'année du tigre

    1914, 1926, 1938, 1950, 1962, 1974, 1986, 1998, 2010

    Les personnes qui sont nées durant l’année du tigre sont sensées, sensible, et émotive. Mais elles sont également impatientes. On les respecte mais elles ont souvent des conflits d’autorité avec les personnes plus âgées. Les tigres retardent souvent leurs décisions importante ce qui fait que les tigres prennent souvent des décisions hâtives et irréfléchis. Mais ils ont aussi le gout du risque et leur but est de réussir. Les tigres sont méfiants et courageux. Les tigres s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du cheval, du dragon et du chien

    year of the hare - chinese calender

    L'année du lapin

    1915, 1927, 1939, 1951, 1963, 1975, 1987, 1999, 2011

    Les personnes qui sont nées durant l’année du lapin sont talentueuses et ambitieuses. Elles sont très populaires et s’entendent bien avec tout le monde ce qui fait qu’elles sont toujours au centre des choses. Ce sont des personnes pessimistes, et qui n’aiment pas le changement. Elles sont toujours de bonne humeur et sont des bons vivants. Dans le monde des affaires se sont des gens intelligents et qui prennent les bonnes décisions. Cependant les lapins ne sont pas joueurs. Les lapins sont réputés pour avoir une âme d’artiste et ces pourquoi ils ont la plupart du temps de belles maisons. Ils s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du mouton, du cochon ou du chien.

    year of the dragon chinese calender

    L'année du dragon

    1916, 1928, 1940, 1952, 1964, 1976, 1988, 2000, 2012

    Le dragon est le symbole de l’empereur Chinois. Le trône de l’empereur était appelé le « trône du Dragon ». Les personnes nées durant l’année du dragon sont en bonne santé, déborde d’énergie, vive longtemps, sont faciles à irriter, impatientes et obstinées. D’un autre coté, ce sont des personnes honnêtes, courageuse et ont confiance en elles. Elles sont perfectionnistes et demandent aux autres de l’être aussi. Dans la vie ce sont des personnes qui ont un fort caractère et réussissent dans tout ce qu’ils font. C’est le signe qui est considéré comme le plus excentrique. Les dragons s’entendent bien avec les personnes qui sont nées durant l’année du rat, du coq, du serpent ou du singe.

    year of the snake chinese zodiac

    L'année du serpent

    1917, 1929, 1941, 1953, 1965, 1977, 1989, 2001, 2013

    Les personnes nées durant l’année du serpent sont des gens profond et sage. Les problèmes sont réglés après une longue réflexion et non pas en se fiant à l’instinct d’une personne. Ce sont des personnes le plus souvent fortunées mais elles ne dépensent pas. Ce sont des personnes assez égoïstes même si elles sont sympathiques et aiment aider les autres. Elles n’ont pas confiance en ceux avec qui elles sont et n’ont confiance qu’en leur choix. Les serpents s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du buffle ou du lapin.

    year of the horse chinese zodiac

    L'année du cheval

    1918, 1930, 1942, 1954, 1966, 1978, 1990, 2002, 2014

    Les personnes nées durant l’année du cheval sont des personnes qui sont généralement aimées par les autres. Elles sont toujours de bonne humeur, ces personnes utilisent bien leur argent, et font des plans sur le long terme. Ce sont des personnes réfléchis et elles ont une âme d’artiste. Même si elles ont un énorme sex appeal, elles sont faibles quand elles rencontrent le sexe opposé. Ce sont des personnes impatientes et sont passionné quand quelque chose vient déranger leur vie quotidienne. Le cheval s’entend bien avec les personnes nées durant l’année du tigre, du chien, et du mouton.

    year of the sheep chinese zodiac

    L'année du mouton

    1919, 1931, 1943, 1955, 1967, 1979, 1991, 2003, 2015

    Les personnes nées durant l’année du mouton sont caractérisées par leur gentillesse et leur bonne nature. Ce sont des personnes qui ont une âme d’artiste et sont élégantes. Elles sont délicates, timides et pessimistes. Les moutons sont des personnes qui défendent leurs positions avec passion. Les moutons s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du lapin, du cochon, et du cheval.

    year of the monkey chinese calender

    L'année du singe

    1920, 1932, 1944, 1956, 1968, 1980, 1992, 2004, 2016

    Les personnes nées durant l’année du singe sont des personnes réputées intelligentes, malines et qui s’adaptent bien. Elles sont très inventives et résolvent les problèmes très facilement. Les singes sont des personnes censées et raisonnables et ont soif de savoir. Les singes ne repoussent jamais a demain ce qu’ils peuvent faire le jour même c’est pourquoi ils ont beaucoup de succès. Cela peut les rendre arrogant. Les singes s’entendent bien aves les gens nées durant l’année du singe et du rat

    year of the rooster chinese calender year of the cock

    L'année du coq

    1921, 1933, 1945, 1957, 1969, 1981, 1993, 2005, 2017

    Les personnes nées durant l’année du coq sont sensées et sont des personnes très capables. Elles font souvent trop de chose en même temps et c’est ce qui fait que ce sont des personnes stressées surtout si elles échouent. Ce sont souvent des personnes excentriques et ont des problèmes relationnel avec les autres car ce sont des personnes agressives. Les coqs sont rebelles et même si on les dit aventuriers, ils sont assez peureux. Les coqs s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du buffle, du serpent ou du dragon.

    year of the dog chinese zodiac

    L'année du chien

    1922, 1934, 1946, 1958, 1970, 1982, 1994, 2006, 2018

    Les personnes nées durant l’année du chien sont des personnes qui ont beaucoup de bons cotés pour les chinois comme l’honnêteté, la discrétion, ce sont de bons amis. Ce sont des gens assez prudent. D’un autre coté ce sont des gens excentriques, aux têtes dures et parfois égoïstes. Les chiens ne sont pas préoccupés par la santé et par l’argent mais sont très généreux. Ce sont des personnes qui aiment critiquer les erreurs des autres. Les chiens s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du cheval, du tigre, ou du lapin.

    year of the pig chinese zodiac

    L'année du cochon

    1923, 1935, 1947, 1959, 1971, 1983, 1995, 2007, 2019

    Les personnes nées pendant l’année du cochon sont des personnes galantes. Ils se donnent à fond dans tout ce qu’ils font. Ils sont la plupart du temps très chanceux et atteignent leurs objectifs sans perdre de temps. Ils choisissent bien leurs amis mais une fois qu’ils se lient d’amitié avec quelqu’un, leur amitié est sincère et loyal. Ils sont cultivés et tout le temps bien informés. Les cochons s’entendent bien avec les personnes nées durant l’année du rat ou du mouton.


  •  

     

    Personnages célèbres

    Qu'ils soient artistes, inventeurs, politiques, militaires ou autre, ils ont fait l'histoire de la Chine et ont contribué à la rendre célèbre dans le monde entier. Venez découvrir ces célèbres personnalités, leurs vies et leurs oeuvres...

     

    Kang Youwei

    Personnages célèbres

    Premier grand théoricien politique de la Chine moderne. Il est né le 19 mars 1858 à Foshan (Guangdong) dans une famille de fonctionnaires, dans une Chine en proie à des insurrections et des aggressions étrangères (guerre de l'opium contre la France et l'Angleterre) et dirigée par les Qing, dynastie contestée car non originaire de Chine (ils avaient été appelés à l'aide par le dernier empereur des Ming. Et depuis ils sont installés à Pékin).


    Personnages célèbresLi Bai

    Surnommé le Prince de la poésie. Connu pour son imagination extravagante et son amour pour la liqueur, il est sans doute l'un des plus grands poètes chinois. Son oeuvre est immense: il existe aujourd'hui plus de 1000 poèmes qui lui sont attribués. Li Bai est né en 701 et a vécu sous le règne de la dynastie des Tang (618-907). Son lieu de naissance reste par contre incertain mais on sait que sa famille (des riches commerçants) vivait dans la province de Gansu (nord ouest de la Chine) puis se sont installés dans la province de Sichuan lorsqu'il avait 5 ans.


     

     

     

    Yu le grand

    Considéré comme le fondateur de la dynastie des Xia (21ème au 17ème s. av. J.C.) Né en 2059 av. J.C., il reste célèbre pour Personnages célèbresses travaux d'irrigation et de contrôle des eaux. L'empereur de l'époque, Shun, fit mettre le père de Yu à mort en raison de son incapacité à trouver une solution pour les problèmes d'innondations en Chine.Yu sera recruté comme successeur de son père. En 13 ans de travail et avec une force ouvrière de 20 000 hommes, Yu fit creuser des canaux afin d'éviter les innondations et de porter l'eau à des terrains qui n'y ont pas accès.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    sources

     http://francais.chinaorbit.com/chine/personnages-


  • Histoire de Chine - Les cinq dynasties.

    La période allant de 907 à 960 est connu sous le nom de période des cinq dynasties. Les cinq dynastie font références au cinq dynastie du nord.

    1.Dynastie Liang (907-923)

    2.Dynastie Tang postérieur ou Hou Tang (923-936)

    3.Dynastie Jin postérieur ou Hou Jin (936-947)

    4.Dynastie Han postérieur ou Hou Han (947-950)

    5.Dynastie Zhou postérieur ou Hou Zhou (950-960)

    Dans le sud, les « dix empires » ont dominé suivant cet ordre. Shu antérieur, Shu postérieur, Chu Jing Nan, Han du sud, Han du nord, Min, Wu Yue, Wu, Tang du sud. La dynastie Liang fut fondé par Zhu Wen qui prit le pouvoir en 904 et le titre d'empereur en 907. La période des cinq dynasties et des dix empire fut marquée par de nombreuses guerres, par les soulèvements et par une désorganisation du gouvernement. Aucune de ces dynastie ne dura longtemps. Néanmoins, la dynastie Hou Zhou réussit a réunifié le nord de la Chine sauf une petite part (qui est le Shanxi que l'on connaît de nos jours) ou la dynastie Han avait encore un fort pouvoir.
    Après la mort du deuxième empereur et l'abdication forcé de son fils, la dynastie Song fut formé par le Général Zhao Kuang Yin. Ce premier empereur de la dynastie Song a été couronné par ces propres troupes a Kaifeng, et il a reconquit peu à peu toute la Chine. Tout d'abord il renversa l'empire Chu, puis Shu à Szechuan, puis le sud de la Chine en 970 et les petits empires. L'unification fut complète en 979 avec l'occupation de l'empire Han du nord.


  • Histoire de Chine - La dynastie Tang.

    En ce qui concerne la politique et la culture, elles atteignirent leur apogée durant cette dynastie. Durant l'ère des Tang, le bouddhisme a vu son pouvoir et sa richesse augmenter. Les religions étrangères comme l'islam, le Judaïsme et le christianisme purent faire leur premier pas en Chine durant le règne du second empereur Tang Gao Zong.
    Le premier empereur Tang monta sur le trône en 6182. Li Yuan était le leader du mouvement des aristocrate dans le nord de la Chine contre l'empereur de la dynastie Sui. Après ce dirigeant, Yang Di, fut assassiné et les Chang étaient alors occupés. Li Yuan se déclara lui même empereur Tang Gao Zu, aidé par son fils Li Shi Min qui fut lui même empereur de la dynastie Tang en 626 et prit le nom de Tai Zong (après avoir pendu son frère). Sa première action fut de supprimer tous les enfants de son frère car il avait peur qu'ils veuillent un jour venger leur père. Malgré son peu de scrupule, Li Shi Min est considéré comme l'un des meilleurs dirigeants de la Chine.
    Gao Zong étendit la guerre jusqu'au nord ouest et sécurisa la route de la soie pour de longue années. Le commerce devint très important sous les Tang. Les partenaires commerciaux de la Chine à cette époque état l'Inde, le Sri Lanka, la Corée, le Vietnam. Le christianisme tout comme le judaïsme et l'islam furent tolérés en Chine et l'empereur lui même était Daoiste. Sous le second empereur de la dynastie Tang, la Corée était sous l'influence chinoise et par la suite avec l'aide de la Corée, se fut au tour du Japon.
    L'empereur annula de nombreuses réformes administratives, sur le travail des fonctionnaires, sur les taxes, et les lois sur l'agriculture furent réformée et l'administration est réorganisé de la manière qui suit:

    •Département d'État divisé en 6 ministères (le conseil civil, les finances, les rites, la guerre, les sanctions et le travail).

    •La chancellerie impériale

    •Le secrétariat impérial

    •La censure.

    En ce qui concerne la politique et la culture, elles atteignirent leur apogée durant cette dynastie. Durant l'ère des Tang, le bouddhisme a vu son pouvoir et sa richesse augmenter. Les religions étrangères comme l'islam, le Judaïsme et le christianisme purent faire leur premier pas en Chine durant le règne du second empereur Tang Gao Zong.
    Le premier empereur Tang monta sur le trône en 6182. Li Yuan était le leader du mouvement des aristocrate dans le nord de la Chine contre l'empereur de la dynastie Sui. Après ce dirigeant, Yang Di, fut assassiné et les Chang étaient alors occupés. Li Yuan se déclara lui même empereur Tang Gao Zu, aidé par son fils Li Shi Min qui fut lui même empereur de la dynastie Tang en 626 et prit le nom de Tai Zong (après avoir pendu son frère). Sa première action fut de supprimer tous les enfants de son frère car il avait peur qu'ils veuillent un jour venger leur père. Malgré son peu de scrupule, Li Shi Min est considéré comme l'un des meilleurs dirigeants de la Chine.
    Gao Zong étendit la guerre jusqu'au nord ouest et sécurisa la route de la soie pour de longue années. Le commerce devint très important sous les Tang. Les partenaires commerciaux de la Chine à cette époque état l'Inde, le Sri Lanka, la Corée, le Vietnam. Le christianisme tout comme le judaïsme et l'islam furent tolérés en Chine et l'empereur lui même était Daoiste. Sous le second empereur de la dynastie Tang, la Corée était sous l'influence chinoise et par la suite avec l'aide de la Corée, se fut au tour du Japon.
    L'empereur annula de nombreuses réformes administratives, sur le travail des fonctionnaires, sur les taxes, et les lois sur l'agriculture furent réformée et l'administration est réorganisé de la manière qui suit:

    •Département d'État divisé en 6 ministères (le conseil civil, les finances, les rites, la guerre, les sanctions et le travail).

    •La chancellerie impériale

    •Le secrétariat impérial

    •La censure.


  • Histoire de Chine - La dynastie Sui.

    Fondation de la dynastie Sui.

    La dynastie Sui vient de l'empire Zhou, l'un des trois plus petits empires qui reste de la dynastie Wei, une des seize dynasties dans le nord de la Chine. En 577, le dirigeant de la dynastie Zhou du nord put unifier le nord de la Chine quand il conquit l'État du Qi.
    Un coup d'État mené par le Général Yang Jian, appartenant à la famille Zhou à cause de sa femme, se déroula en 581. Il tua toute la famille royal, déclara la dynastie Sui et prit le nom de l'empereur Wen Di. En 589, il mit fin a l'empire Chen, le derniers des six dynasties du sud. Grâce à cela la longue période ou la Chine était divisé en plusieurs état fut fini. Yang Jian règna jusqu'en 604. Il fut décris comme un dirigeants prudent et intelligent qui a mis en place de reformes sur les terres qui n'étaient pas forcement en faveur des riches propriétaires terriens, il investi dans les grains, et construit un système de canal qui améliora l'économie et le commerce de son temps.
    Son successeur, l'empereur Yang Di, était totalement son opposé. Il tua son père pour devenir l'héritier. Pendant son règne il effectua des constructions sur le canal au détriment des paysans. Il érigea une deuxième capitale avec des palais énormes ce qui fut un gaspillage. Il mena une campagne contre la Corée qui finit en véritable désastre entre 612 et 614. Il créa une énorme flotte de bateau de guerre.

    La fin de la dynastie Sui.

    Les campagnes menées par l'empereur Yang Di coûtèrent beaucoup d'argent et dégradèrent la stabilité intérieur. Le malaise éclata, chez les paysans, comme toujours pour ne pas changer l'histoire de la Chine, qui avait perdu leur terre à cause des inondations. En 613, la première révolte des nobles éclata, et Yang Di fut assassiné en 618.
    Il s'était retiré du sud après une défaite contre la Corée et il fut tué par un de ces adversaires, pendant que dans le nord un soulèvement d'aristocrate mené par Li Yuan éclatait. Li Yuan fut pousser par son fils Li Shi Min, qui allait être le futur héritier du trône de la dynastie Tang. Li Yuan monta sur le trône en 618 et prit le nom de l'empereur Tang Gao Zu. Il fonda la dynastie Tang ce qui fut une période de prospérité pour l'histoire de la Chine.