• Des étranges oeufs en pierre en Chine…

      

     

     

     

     

    Un chantier de construction dans la province chinoise de Hunan a permis de découvrir une épée de cuivre et plusieurs centaines de pierres en forme d’œufs ; de taille variable, la plus petite pierre est de la taille d’un melon, tandis que la plus imposante fait la même dimension qu’une table familiale !



    D’origine totalement inconnue, les ‘œufs de pierre’ sont toujours analysés par une équipe internationale d’experts.

     

      

    La science reste muette…

     

    C’est la construction d’une autoroute à proximité de la ville de Gongxi qui est à l’origine de cette découverte : en creusant les fondations, les ouvriers du bâtiment ont déterré un grand nombre de pierres ovales et régulières, dont l’origine est pour le moment totalement inconnue.

     

     

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    Certaines de ces pierres sont de très grande taille, et l’intérieur des ‘œufs’ est constitué d’une étrange matière sombre et compacte. La composition exacte de ces étranges formations de pierre est actuellement en cours d’analyse dans différents laboratoires internationaux ; le mystère devrait donc être percé d’ici quelque mois.

     

    D’après certains spécialistes, ces pierres de tailles variables se sont formées à partir d’un minuscule noyau dur de carbone, puis la matière s’est accumulée autour du centre au fur et à mesure que la pierre roulait, charriée par le courant d’un fleuve ou d’une rivière sur des centaines, voire des milliers de kilomètres.

     

    Pour d’autres, les boules de pierre présentent des traces d’usinage et semblent avoir été façonnées par la main de l’homme…

     

    Reste donc une énigme de taille pour les géologues : dans quelle région du monde a démarré la formation de ces étranges œufs de pierre ?


     

      

      

    Une épée bien mystérieuse…

     

    Quant à l’épée de cuivre retrouvé également au cours de la construction de la route, elle a malheureusement été dérobée peu après sa découverte, et une enquête policière est en cours pour tenter de déterminer l’identité des voleurs. Il est primordial de retrouver cette épée, dont le poids lors de sa découverte a été estimé… à environ 450 kilos !

     

    Quelle pouvait bien être la fonction d’une arme d’un tel poids ?

    Servait-elle au cours de rituels ?

    S’agissait-il d’un objet sacré ou de culte ?

     

      

      

      

      

    Ces questions resteront sans réponse tant que cet objet d’une inestimable valeur archéologique ne sera pas retrouvé…

     

    De nombreux œufs en pierre – baptisés ‘Volcano Eggs’ par les autochtones - ont également été ‘pillés’ par la population locale, qui en a déjà vendu plusieurs exemplaires sur les marchés des villes avoisinantes.

     

    D’autres habitants s’en servent pour décorer leur habitation ou leur jardin…

    À noter enfin que Le maire de Gongxi, Yao Ji, a également annoncé que beaucoup d'oeufs en pierre semblables avaient été déterrés sur un chantier de construction du village de Moshou.

     

    Ces oeufs vont également d’une taille aussi petite que la paume d’un homme à plus d’un mètre de diamètre. Une large zone géographique serait donc concernée par ces curieuses formations géologiques… Il est encore trop tôt pour apporter une explication valable à l’énigme des œufs en pierre.

     

    Les différentes analyses pratiquées en laboratoire devraient nous en apprendre beaucoup sur les véritables origines des ‘Volcano Eggs’. Quant à l’épée de cuivre volée dès sa découverte, le mystère ne sera peut-être jamais résolu…

     

     

      

      

      

      

    Des sphères similaires au Costa Rica… et en Bosnie !

     

     

    Des centaines de boules de granit de forme parfaitement sphériques ont déjà été retrouvées dans la jungle et les forêts du Costa Rica. Le diamètre de ces sphères est variable : de quelques centimètres à près de 3 mètres, pour un poids moyen de…12 tonnes !

     

    Là aussi, les spécialistes se sont interrogés : s’agissait-il d’un caprice de la nature ou ces sphères parfaites d’un âge très avancé avait-elles été taillées à dessein ?

      

      

      

      

    De nombreuses boules sont en tous cas visibles au Musée National de San-José, mais il semble que la grande majorité des ‘Bolas Grandes’ – comme les appelle la population locale - est toujours enfouie dans la jungle.

    Plus troublant encore, des œufs de pierre ont également été mis à jour en Bosnie, sur le site de la fameuse ‘pyramide’ découverte l’année dernière.

     

    Ces boules parfaites sont-elles disséminées un peu partout de par le monde, s’agit-il d’un phénomène mondial ?

      

    Une civilisation a-t-elle façonné ces œufs en pierre dans un but spécifique ?

      

    Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !

    Il existe disséminées sur la planète des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois boules, certaines peuvent peser jusqu'a 12 tonnes, découvertes notamment dans les forêts du Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n'a pas trouvé la solution.

      

    On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières, de toute évidence elles seraient ouvres de la main de l'homme et l'on se demande encore comment en des temps anciens ceux-ci ont pu transporter ces sphères jusque leur position actuelle. 

      

    De nombreuses sphères découvertes On a localisé des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona, la Californie et l' Ohio. Le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre "Les fils du soleil" a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, une pierre ovoïde gigantesque de 100 mètres de long et 30 mètres de haut.

      

    Elle est couverte de symboles solaires qui ne sont pas un caprice de la nature, mais qui ont nécessités un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes.

      

    Dans le petit Etat du Costa Rica, en Amérique Centrale, au milieu d'une jungle inextricable, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées de manière aléatoire, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave.

      

    Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes!
    Le célèbre explorateur suisse Erich von Däniken nous rapporte en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines.

      

    Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé réunies et groupées selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis où règne une chaleur accablante, il découvrit 45 de ces sphères qui cuisent sous le soleil.

      

    Plusieurs possibilités
    Première hypothèse - Soit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisqu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 mètres de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ).

      

    Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt et abandonnées là, pour une raison incompréhensible. 

      

    Seconde hypothèse - Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous plonge, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
    Troisième hypothèse - Soit encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution.

      

    L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant : "La Lune clé de La Bible" paru chez l'éditeur "Julliard" en 1968 et en collection de poche "J'ai lu" (n°208) en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.

      

      

    Explications Aujourd'hui, on n'a aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que quel que soit leur diamètre aucune d'entre elles ne présente la moindre irrégularité.

      

    La perfection de ces objets prouve effectivement que les artisans qui les ont fabriqués, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus.
    A notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 mètres de diamètre qui représente environ une aire de 5 mètres carrés et un volume de 8 mètres cubes, dans une roche aussi dure que le granit, qu'à l'aide de machines-outils programmables perfectionnées. 

    Il nous reste à découvrir comment ces extraordinaires artisans sont parvenus à réaliser ces objets avec une telle maîtrise, comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but.

      

    Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil.
    Les archéologues réfutent cette interprétation, d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas que chez les Mayas ou les Aztèques.

      

    D'ailleurs les indigènes eux-mêmes rechignent à conduire les visiteurs sur les sites recelant ces boules parfaites, ils les considèrent comme des objets sacrés et les emplacements sont des sanctuaires interdits.

    Voilà donc encore un élément insolite qui nous invite une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seuls vestiges en pierre découverts de nos jours, sont déjà pour nous un inconcevable mystère...

    Voici quelques photos en vrac :
     

      

    Vous pouvez aussi en découvrir au Musée

    Et elles sont surtout nombreuses en pleine forêt

      

    Vous avez aussi bien sûr, celle de 12 tonnes, qui est analysée par le Dr Stirling et sa femme

     

      

    Quelques rares boules ont été sculptées, mais l'interprétation des symboles gravés ne fait pas l'unanimité, on s'en doute. Cette pierre brisée en deux morceaux possède un hémisphère sur lequel les chercheurs pensent reconnaître la réprésentation d'une constellation.

      

    Semir Osmanagic devant une des sphères découvertes sur le site de Visoko, en médaillon une sphère du Costa Rica

     

      

      

    Cliché pris dans le village de Mecevici (Zavidovici, Bosnie) qui contient plus de 20 de ces boules de pierre
     

    Sources : http://www.paranormal-info.fr/spheres.html http://rosamystica.kazeo.com/Mysteres-inexpliques-17,r249379.html

     
      
      
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    Le fait qu'un phénomène dépasse les explications rationnelles et outrepasse nos conceptions de la réalité ne devrait pas nous permettre d'ignorer son existence ou nous empêcher d'explorer ses dimensions et sa signification.

    (Citation de John E. Mack)

      

     

    « La famille royale des NGUYENJOHN RABE, NANKIN 1937 »