•  

     

     Les Hutong de Pékin

    Les Hutong, quartiers historiques du centre de Pékin, datent pour la plupart de l’époque YUAN (1271-1368).


    Kūbilaï Khān fit de cette ville (« Dadu »), la capitale de l’Empire sino-mongole et y apporta le concept de ses habitations typiques : une maison de plain-pied constituée de bâtisses fermées sur une cour intérieure.

     

    Les « Siheyuan« , les fameuses « cour carrées » ou « Beijing quadrangles » :

    La porte laquée rouge est ornée d’une paire d’éléments en pierre, elle s’ouvre au sud, perçant les murs gris, vers une chicane destinée à empêcher les mauvais esprits de pénétrer dans la demeure, laquelle pouvait abriter jusqu’à six familles.

     

    Les « Wangfu« , les fameux « Palais des princes »

    Il s’agit d’une vaste demeure construite sur une terrasse de pierre.

    La toiture est prolongée par un auvent qui laisse apparaître les poutres de soutènement de la toiture

    L’écart entre elles est le Jian dont le nombre était directement proportionnel au rang du propriétaire : 3 pour un haut fonctionnaire et jusqu’ à 7 pour un dignitaire de haut rang.

    Ces demeures sur-dimensionnées ont souvent été transformés en établissements publics ( écoles, hôpitaux…) ou réorganisées afin de livrer de nombreuses habitations aux dimensions plus modestes.

    ———–

    Certaines de ces demeures sont réhabilitées en hôtel :

    Beijing Double Happiness Courtyard Hôtel :

    4 Banqiao Courtyard Hôtel :

    Ces quartiers composés d’habitations traditionnelles et de ruelles étroites étaient jusqu’à peu détruits pour faire place à d’imposantes nouvelles constructions.

    Ils font depuis peu l’objet de protections et de vastes chantiers de réhabilitation apparaissent, en relation avec l’intérêt croissant qu’ils suscitent.

    —————————-

    ( article rédigé pour auxportesdelempire.com et publié dans sa rubrique

    « L’Asie et l’art » )

    PAR  YANNICK GUEHO

    auxportesdelempire.com

      

    sources

    http://auxportesdelempire.com/blog/chine-ancienne-les-hutong/

      

      

      

      

     

     

     

     

     

     


  •  

     

     Voila ce que j'ai trouvé pour l'expo de 1867 et 1900, en fait peu de choses, et je vais regarder si je ne trouve pas autres choses pour les autres expo, qui sait...

    pour l'expo de 1867

    Image

    Image


    et pour l'expo de 1900

    Image

    Image

     

    sources

    SUPER blog DE Avatar de l’utilisateur
    lemog

    http://www.worldfairs.info/forum/viewtopic.php?f=36&t=474

     

     

     


  •  

     

    voici quelques shots tirés du premier film, sur le Parc Chinois de l'Exposition de 1867 :

    Image

    Image

    Image

    Image

    Image

    Image

    Image

    Image


  •  

     

     

     
    Tous les pavillons sont maintenant texturés. On commence par la porte de Confucius.

    Image

    En espérant qu'avec les maigres références, je me sois le plus près possible rapproché de l'original.

    Image

    Le petit palais, qui hélàs se trouve dans l'ombre du Trocadéro, mais c'était souvent le cas dans la réalité.

    Image

    On aperçoit derrière le petit palais chinois la tête de pavillon Est du Palais du Trocadéro... je suis content d'avoir pu le faire figurer dans ce film.

    Image

    J'ai changé pour cette série de rendu les réglages par rapport aux 5 films précédents... pour le moment, je ne sais pas si je vais conserver ce style, mais ce n'est pas impossible, c'est quand même le film qui clôture la série, le film le plus étoffé des 6, et le seul présentant une présence officielle de la Chine.

    Image

    Je pense que la promenade et la vue devait être bien agréable en ce lieu de l'expo 1900... les visiteurs devaient d'autant apprécier qu'ils n'étaient pas blasés comme nous pouvons l'être actuellement ! Ils ne connaissaient pas Disneyland !

    Image

    Le deuxième pavillon commercial, qui devait contenir les collections de céramiques impériales anciennes, et derrière le premier, qui contient lui une exposition de céramiques artisanales privées, actuelles.

    Image

    Je ne suis que moyennement satisfait de celui-ci, je me suis inspiré d'un dessin préparatoire en couleur, mais du fait du peu d'intérêt qu'il suscitait, je n'ai trouvé aucune description texte qui aurait pu confirmer mes choix.

    Image

    Un angle un peu différent pour cette image, nous sommes à la limite du Parc Chinois... derrière nous se trouve le Parc Japonais... mais cela est une autre histoire... future je l'espère !

    Image

    On retourne maintenant vers les principaux pavillons, par le parc.

    Image

    En contournant les pièces d'eau, on aperçoit pour commencer les supports de l'escalier qui descend du restaurant chinois, ou paraît-il, la pièce de boeuf avait remplacé les nids d'hirondelles.

    Image

    Cette série de rendus suit la logique de l'animation prévue, on découvre maintenant le coin du Palais Impérial. Un angle très souvent vu dans les photographies de l'époque.

    Image

    Et voilà le morceau en entier. C'est vrai qu'il est impressionnant comme çà, sortant des frondaisons...

    Image

    ...et dire que s'il existait toujours aujourd'hui, il serait sur les pentes du Trocadéro, devant le bras Est du Palais de Chaillot ! l'effet serait saisissant !

    Image

    Une dernière image, tel qu'on découvre le Palais Impérial quand on arrive dans le Parc Chinois par la Porte de Confucius. La prochaine étape consistera à terminer l'environnement, et surtout, à placer les visiteurs de l'exposition. Dans les films des expositions précédentes, ces personnages étaient issus de gravures, cette fois-ci, en 1900, ce seront de vrais personnages photographiés.

    Image

     

     

    sources /

    http://www.worldfairs.info/forum/viewtopic.php?f=36&t=474&start=80

     

     

     


  •  Chaussures militaires et chaussures de soie anciennes

     

    Des archéologues ont déterré de ruines des dynasties Yin et Shang (14°-12° siècles av. J.C), à diverses reprises, une paire de protège-tibias en cuir et un personnage de jade, sans tête, agenouillé, dont les tibias montraient des traces d'enveloppement.

      

    Selon des archives historiques, avant que les bottes militaires soient inventées, les soldats enroulaient des morceaux de cuir et de rotin autour de leurs tibias pour les protéger, et certains spécialistes pensent que les bottes militaires furent développées à partir de ces débuts.

      

    L'examen des soldats de terre-cuite de la dynastie Zhou (1100-256 av JC) déterrés dans la ville de Houma (Shanxi) montre clairement que la couture soignée sur la semelle de leurs chaussures est exactement la même que celle observée sur les semelles cousues des chaussures de toile "fait-main" actuelles. Cette découverte indique que les chaussures de toile à semelle cousue furent inventées pour les habits militaires il y a plus de 2000 ans.

      

    Toutefois, avant que le coton ne soit introduit plus tard en Chine le long de la Route de la Soie, le chanvre et le lin étaient utilisés pour la couture des chaussures, quand la couture au lin, en particulier, faisait des semelles à la fois durables et stables.

      

    Au sein des rangs de l'armée de terre cuite de l'Empereur Shihuangdi de la dynastie Qin (211-206 av. JC), les généraux et les cavaliers portent des bottes de cuir alors que les archers portent des chaussures de toile à bout carré et à la semelle cousue, avec une lanière au dessus du coup de pied. Ceci montre que la standardisation des uniformes selon le rang et les services militaires avait déjà été adoptée à cette époque.

      

    Sous la dynastie Qing (1644-1911), les bottes militaires furent adaptées au vêtement civil et devinrent aussi une partie de l'uniforme des fonctionnaires. Les bottes étaient de deux sortes : à bout pointu ou carré, les premières servant pour un habillement de tous les jours et le second pour les audiences de Cour. Les semelles de ces bottes étaient faites de 32 couches de tissu, et furent plus tard utilisées dans la confection des chaussures de toile portées par les gens du peuple, qui sont depuis devenues les fameuses chaussures

    "aux Mille Couches ".

      

    Pour permettre à de telles semelles de respirer, ainsi que d'être souples, imperméables et ne se déformant pas, 100 points de couture par pouce carré de la semelle étaient nécessaires. En finition à cette couture, la semelle devait être trempée dans de l'eau à une température comprise entre 80 et 100°, puis martelée, mise en forme et séchée. De nos jours, ce style de chaussure est toujours populaire, aussi bien en Chine qu'à l'étranger.

      

    L'élevage des vers à soie a commencé il y a environ 5000 ans en Chine. Sous la dynastie Shang, il y a quelques 3000 ans, les gens ont appris à tisser la soie et à la colorer avec des minéraux et des teintures végétales. Le développement de la sériculture a grandement influencé la confection de chaussures Chinoises et des chaussures de soie aux couleurs vives ont graduellement remplacé les chaussures en paille.

     

     
    michelem,
    Pour Chine Informations
      
     

  • Anciennes photos : la Chine 1900-1923

      

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

    Une série d'anciennes photos conservées dans la bibliothèque de l'Université de Californie du Sud ont récemment été révélées au public. Ces vieux clichés pris entre 1900 et 1923 ont immortalisé des scènes de la vie quotidienne de l'époque.

     

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

     

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

     

     

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

      

     

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923

    Anciennes photos : la Chine 1900-1923


  • Ancienne photo de Shanghai (1910)

    Une ancienne photo de Shanghai prise dans les années 1910 sur les bords de quai du fleuve Huangpu.
      
      

  •  

     

     Les OVNI dans la Chine ancienne

     

    ovni-20chine.jpg

    On pense souvent que l'apparition des OVNI, notamment en Chine, date de l'époque contemporaine. Pourtant des peintures rupestres en Chine ont représenté ce qui semble être des chiffres avec "en forme de dôme". Des peintures de la Renaissance ont montré des objets dans le ciel étrangement similaire à des soucoupes volantes.

    Dans la Chine ancienne, il ya eu des histoires et des écrits relatant l’observation d'OVNI, en voici trois majeurs :

    Tout d'abord dans le Dong Tien Ji

    Le Dong Tien Ji était un livre d'origine de la dynastie Tang. L'histoire raconte que sous la dynastie des Tang (618-907), un navire céleste, mesurant plus de cinquante pieds de long, a été retrouvé et placé dans le Hall de Ling De. Le navire avait un son métallique lorsqu'on frappait dessus, et était fait d'un matériau très dur qui résistait à la rouille. Li Deyu, le Premier ministre Tang, coupa sur un pied de long une mince baguette du navire et l'a sculpté dans une figurine d'un prêtre taoïste. La figurine Taoïste s'envola et revint. Dans les années de l'empereur Daoming, la figurine disparue et le navire s'envola.

    Dans un chapitre du Meng Qi Bi Tan

    Le Meng Qi Bi Tan a été un livre d'essais compilées par Shen Kua de la dynastie Song. Dans le chapitre intitulé "étranges évènements", il décrit dans les années de l'empereur Jiayou (1056-1064), un OVNI brillant comme une perle qui fit son apparition sur la ville de Yangzhou dans la province de Jiangsu. Au début, l'objet a été vu sur un lac dans le comté de Tienzhang et plus tard sur le lac Pishe du comté de Gaoyou dans le Jiangsu. Par la suite il a souvent été perçu par les habitants locaux près du lac Xingkai.

    Une nuit, un homme vivant au bord du lac a trouvé une perle brillante. Alors qu'il l'étudiait, l'objet a ouvert ses portes et un flot de lumière intense comme des rayons l’irradièrent. La coque extérieure ouverte était comparable à la taille d'un lit. La lumière blanche était d'un argenté intense trop forte pour les yeux de l'homme, mais montrant les ombres de tous les arbres dans un rayon de dix miles. Le spectacle était comme le soleil levant, illuminant le ciel et les bois en rouge. Puis tout d'un coup, l'objet a décollé à une vitesse vertigineuse et est descendu sur le lac comme le soleil couchant.

    Au travers de la peinture des flammes rouges dans le ciel

    En 1890, Wu You Ru, un artiste vivant sous la dynastie des Qing, a été témoin, avec des centaines de passants, d'une boule de feu rayonnant de lumière rouge dans toutes les directions dans le ciel. Il a ensuite peint la scène, la nommant flammes rouges dans le ciel. Dans la peinture, il y décrit une boule de feu en forme d'œuf avec la lumière rouge. Elle flottait dans le ciel, se déplaçant vers l'est. Elle y resta pendant une période d'une heure puis s'éloigna et perdue de son intensité peu à peu.

    Plus récemment, un scientifique chinois du gouvernement a fait une annonce en montrant la sculpture de ce qui semble être un OVNI près d'un site historique entre Guanxi et le Guangdong, La sculpture (en photo) date, dit-on d’au moins trois mille ans. Elle représente également l'imagerie technologique telle que les antennes et un alien dans une combinaison spatiale. Certains chinois considèrent que des aliens sont arrivés dans des OVNI et ont posés les fondations de la civilisation chinoise dans l'antiquité : on les appelait les fils du ciel.

     

     

    source : chinefantastique.enchine.frSources:

    *http://www.wikistrike.com/article-les-ovni-dans-la-chine-ancienne-84382888.html






    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires